"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


L’expérience récente de pratiquantes du Falun Dafa détenuesillégalement dans le camp de travail de la ville de Shijiazhuang, province deHeibei

Selon unesource

[Minguinet]Le camp de travail de la ville de Shijiazhuang de la province de Heibei détientactuellement au moins 200 pratiquantes du Dafa, vingt-trois d’entre ellesviennent du comté de Jing. Elles ont été arrêtées pour avoir pratiqué le FalunGong en plein air, pour avoir distribué des dépliants afin de clarifier lavérité du Falun Gong et pour s’être rendu sur la place de TianAnMen afin deprouver la justesse du Dafa en déployant des bannières. Certains d’entre ellesont été détenues par police et arrêtées chez elles sans aucune raison. Ellesont été transférées secrètement sans passer par aucune procédure légalehabituelle et appropriée. La plupart d’entre elles se trouvent dans lesbrigades n°4 et n°5. La brigade n°5 est spécifiquement utilisée pour détenir etpersécuter illégalement des pratiquants du Dafa. Ce qui va suivre est le récitd’une source sur les expériences de pratiquants du Dafa à l’intérieur d’un campde travail.

Il y a untotal de 4 classes dans l’escadron n°2 de la brigade n°5. Chaque pratiquanteamenée ici a été forcée à se soumettre à une fouille corporelle complète. Pendantces fouilles, tous leurs habits ont été enlevés de force. Toute la literie aété éventrée et son rembourrage en coton a été déchiré et mis en pièces. Si destextes du Maître (Jingwen) était trouvés en possession d’unepratiquante, elle était torturée, menottée et frappée. Le bruit des giflesinfligées sur le visage des pratiquantes pouvait être entendu par les personnesdans des pièces adjacentes. Réprimandes et injures se produisaient tout letemps. La personne la plus malfaisante ici s’appelle Liu Zhiying, lechef de l’escadron n°2.

Troisactivités étaient spécifiquement interdites ici : la récitation de textesdu Maître, la pratique des exercices du Falun Gong et la méditation assise.Pour chaque classe du camp de travail, le surveillant désigne comme dirigeantun prisonnier commun. Les prisonniers dirigeants est assigné à surveiller etcontrôler de près la conduite des pratiquantes. Ils ne permettent pas auxpratiquantes de pratiquer les exercices ou de méditer. Même la postureordinaire de jambes croisées, qu’un pratiquant prend en temps normal afin des’assoire, n’est pas permise. Les jambes croisées doivent êtres critiqués. Lepratiquant peut même être puni de son erreur en se faisant menotter en étantobligé de rester debout durant une longue période. Les pratiquants doivents’assoire correctement sur des chaises désignées et il est interdit de faire dubruit. Même le chuchotement et les gestes sont interdits. Pour donner encoreplus une idée de ce qui se passe ici, regardons sur la période de janvier decette année jusqu'à aujourd’hui. Durant cette période, le fait de menotter,gifler et torturer les pratiquants n’a pas cessé. Chaque personne qui a étésurprise entrain de pratiquer le Falun Gong a été giflée, menottée, frappée pardes coups de poing ou par des outils, ou même ligotée. Les personnes pouvaientrester menottées durant 7 jours au minimum jusqu'à presque 20 jours parfois.Durant cette période, les pratiquantes menottées devaient rester debout jour etnuit et n’avaient pas le droit de dormir. Ceci était extrêmement cruel.Quelques pratiquantes étaient attachées tellement serré que les menottestranchaient leur chair. Leurs jambes devenaient aussi enflées. Les quelquespratiquantes qui furent torturées de cette manière étaient Zhang Suyu, TanXiuying, Wang Xincai, Li Mipeng et Cui Ying.

La détentiondans des cellules individuelles est un autre moyen utilisé afin de torturer lespratiquantes du Dafa. Sur le deuxième étage du bâtiment, où se situe l’escadronn°2 de la brigade n°5, il y a deux cellules individuelles. Elles sont sombreset humides. Elles ont été choisies en fonction de leur situation, car elles setrouvent juste en dessous des toilettes du troisième étage. Sur le plafond, desfissures ont délibérément été laissées à découvert afin de le permettre àl’urine des toilettes du dessus de s’infiltrer dans les deux cellules. De plus,durant l’hiver, les pratiquantes détenues à l’intérieur des cellulesindividuelles ne peuvent porter que des habits légers. Les pratiquantes torturéesde cette façon étaient Zhang Suyu, Wang Xincai et d’autres encore. Au sommet dela perte des droits de l’homme basiques, les pratiquantes du Dafa ont aussi étéprivées de leur liberté personnelle. Les pratiquantes soumises à des torturesn’avaient pas le droit de dire aux autres ce qu’elles avaient subi. Si ellesviolaient cette règle, elles étaient punies par une durée d’emprisonnementaugmentée ou par d’autres punitions aggravées. Li Mipeng a été menottée pouravoir pratiqué des exercices du Falun Gong. Deux jours plus tard, une foisdétachée des menottes, elle a parlé aux autres de ses souffrances. Un chef ducamp de travail s’est renseigné et elle a été menottée de nouveau durant 16jours. Pour l’anniversaire de Tan Xiuying, les pratiquantes ont tenu unecélébration. Puis Tan a voulu entendre " Pudu " (une descompositions de musique du Falun Dafa, ndt.) les pratiquantes ont commencéà murmurer la chanson de " pudu ", l’atmosphère étaitsolennelle et pleine de dignité. De manière inattendue, le prisonnier commun encharge de surveiller les pratiquantes a furieusement entraîné Tan Xiuying horsde la pièce, tiré jusqu’au bureau et puni en l’obligeant à rester deboutlongtemps. Le prisonnier commun ensuite les a menacées, " Je vousdéfie de chanter encore une fois ! " Après avoir entendu cela,avec détermination, Ju Jinhong et Liu Yan ont commencé à murmurer à nouveau lachanson. Ce voyou a renversé Liu Yan, les a poussés deux au-dehors et, commepunition, forcé à rester debout bien droite durant une longue période.

Afin de" Valider le Fa, révéler la vérité et sauver lespersonnes ", les pratiquantes n’ont jamais arrêté l’étude du Fa et lapratique des exercices, il n’y a pas de moyen dire comment les conditionsétaient dures. Après avoir étés continuellement battues et menottés, encore,dans leur compassion, elles ont parlé, au prisonnier commun et aux gardiens, duDafa et validé le Dafa. Elles ont demandé régulièrement la permission decommuniquer avec les gardiens et de leur écrire des lettres afin de leurrévéler la vérité. Les pratiquantes ont changé l’environnement ici avec leurcompassion, leur sagesse et leur courage.

Durant lafête célébrant la nouvelle année 2001, la pratiquante du Dafa Zhang Suyu,parlant au micro, avec tout son profond amour, a dit, " Le Falun Dafaest bon " et pris la tête de la récitation de Hong Yin [unecollection de poèmes de Maître Li]. Ensuite, Tan Xiuying a amené lespratiquantes à réciter " Lunyu " [vers l’avant dansLe Zhuan Falun].

Le 15 janvier2001, une validation du Dafa à large échelle s’est déroulée dans le réfectoire.Plus de 100 pratiquantes de la brigade n°5 ont commencé à suivre le chant deNan Bingyu, " le Falun Dafa est bon," "  le Dafarectifie le monde humain . " La voix des pratiquantes, qui étaiten vibration dans la salle du réfectoire, remuait ciel et terre en secouantl’univers. Quand elles ont crié " réhabilitez la réputation duDafa, " réhabilitez la réputation de Maître 

Li, " toutes les pratiquantesont versé des larmes. Elles ont parlé à cœur ouvert, avec leur voix intérieurequi avait été supprimée depuis longtemps. Elles se sont tenu chacune lesmains et ont fait face au mal sans peurs. Certains chefs du camp de travail,ainsi que quelques prisonniers communs surveillants qui étaient là, ont versédes larmes. En voyant cette scène splendide et cette action courageuse despratiquantes du Dafa, les chefs et les prisonniers surveillants du camp detravail qui étaient venus afin d’arrêter les pratiquantes ne savaient plus quoifaire. À la fin, ils sont allé chercher des hommes prisonniers afin qu’ilsemmènent de force les femmes pratiquantes. Une fois les femmes emmenées, ellesont dit aux hommes prisonniers, " le Falun Dafa est une voie decultivation vertueuse " et " les pratiquants du Dafa sonttous de bonnes personnes. " Plusieurs hommes prisonniers ne pouvaientpas aider, mais ils ont perdu leurs étreintes sur les pratiquantes. 

Durant Lenouvel an lunaire chinois [le 23 janvier 2001], il y avait aussi uneatmosphère de vacances dans le camp de travail. Liu Zhiying, le chef del’escadron n°2 est venu se joindre à la célébration. Les pratiquantes du Dafachantaient ensemble " la louange de la prune rouge " [unechanson populaire en Chine faisant l’éloge des héros]. Le noble esprit etla grande compassion des pratiquantes ont effrayé et paniqué les gardesprésents. Au moment du nouvel an, les pratiquantes du Dafa ont exposécérémonieusement quelques fruits et de la nourriture. Leurs mains se tenaienten position du " Heshi " [une position de mains des exercices duFalun Gong aussi utilisée comme geste de salutation] afin de saluer etaccueillir le Maître Li.  Pensant aux difficultés que le Dafa a traverséet aux injustices que Maître Li avait reçu, elles ont toutes crié. Après lesalut, elles ont récité " Lunyu ", et ont ensuite commencéla méditation assise. Ce champ d’énergie solennel a enveloppé tout le camp detravail. Mêmes les chefs du camp, incluant le chef le plus malfaisant del’escadron n°2 Liu Zhiying, qui sont venu vers les pratiquantes afin deles faire arrêter la pratique, n’osaient pas parler fort. Ils ontseulement essayé de persuader les pratiquantes à basses voix. Voyant que celane fonctionnait pas, ils n’ont eu d’autres choix que de regarder en silence lespratiquantes pratiquer les exercices du Falun Dafa. Afin de valider le Dafa etsauver les gens, les pratiquantes n’ont pas pris en considération leur propresécurité, ce qui a révélé la nature profonde et bienveillante du Deva. Lesforces du mal étaient étonnées. La durée de cette méditation a duré au moins 40minutes.

Les officielsdu camp de travail ont obligé les pratiquantes à regarder le reportagetélévision de la fausse " auto-immolation " de la placeTiananmen Toutes les pratiquantes du Dafa ont senti que ceci était l’incidentfabriqué le plus sérieux qui ébranlait le Dafa. Quelques pratiquantes restaientdevant le reportage et disaient, " Ils [les personnes quis’étaient immolées, ndt.] ne sont pas des vraispratiquants du Dafa. " Dans son livre et dans une de ses conférencesà l’étranger, le Maître Li a clairement indiqué que l’action de tuer et de sesuicider est un péché. Les véritables pratiquants du Dafa ne voudraient pascompromettre leur capacité à arriver à l’achèvement. Ils savent que lapoursuite de l’achèvement est aussi un attachement. Aucun pratiquant véritabledu Dafa userait l’excuse irresponsable du suicide pour arriver plus rapidementà l’achèvement. Duran leur longue période d’incarcération, lespratiquantes ont résisté à l’ébranlement du Dafa par les conversations avec lesgardiens, en leur écrivant des lettres et par d’autres moyens. Peu importeoù se trouvent les pratiquants du Dafa, ils fonctionnent entièrement comme desparticules du Dafa et font ce que des pratiquants du Dafa sont supposés faire.

Une source

Mai2001