"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


"Cela ne pourra que les rendre plus fermes dans leurs convictions"font>

Pratiquants de Falun Dafa de la ville de Wuhan

Les policiers de Wuhan ont illégalement détenu environ 80 pratiquants à Ertowan, "Ecole de travail et d'étude". Cette école s'occupe d'adolescents et de jeunes avec un passé criminel, qui purgent une peine pendant qu'ils continuent leur éducation.

Les pratiquants ont été envoyés contre leur volonté dans ces soi-disant "classes de transformation". Dans l'école, les pratiquants ont trouvé 8 règles calomniant le Falun Dafa affichées sur chaque porte de chambre. Les pratiquants les ont immédiatement arrachées. Les conséquences ne se sont pas faites attendre et les policiers ont entamé une impitoyable enquête. Les pratiquants étaient battus sauvagement pendant cette enquête. Un pratiquant âgé d'environ 70 ans leur a dit: "Vous ne pouvez pas ainsi battre les gens". L'officier a répondu: "Battre les gens est la responsabilité des policiers". Puis il se mit à frapper la tête du vieux pratiquant à coups de canne de bambou. Il continua de frapper même après que la canne se fut brisée et que la tête du pratiquant se mette à saigner. L'officier ne s'arrêta que quand il ressentit de la fatigue dans son bras. Dans ces circonstances, une pratiquante s'avança et prit toute la responsabilité des charges sur elle. Elle fut alors emmenée et placée dans une chambre à part et durement battue. Les autres pratiquants, y compris un homme de 78 ans, furent punis en devant affronter le froid avec une seule chemise. On les fit ainsi marcher sans arrêt dans la cour pendant environ quatre heures. Un pratiquant fut traîné dans la cour sur une trentaine de mètres parce qu'il protestait contre ce traitement injuste. Réalisant que tout ce qui se trouvait sur les portes pouvait être déchiré, les policiers utilisèrent un tableau noir pour calomnier le Dafa. Un pratiquant peu soucieux de sa sécurité, prit le tableau noir et le fracassa sur le sol. Il fut sauvagement battu et placé dans des toilettes, et on ne lui laissa qu'une chemise pour affronter le froid hivernal. On ne l'autorisa à sortir que quand les autres pratiquants eurent fait une grève de la faim de quatre jours. Après cet incident, les policiers transférèrent rapidement quelques pratiquants à une autre "Ecole de travail et d'étude" près du parc de Changqing. Ils craignaient la force collective des pratiquants.

Normalement les haut-parleurs dans les "classes de transformation" fonctionnaient de 5 heures du matin jusqu'à 9h30 du soir dans l'intention de transformer les pratiquants. A la surprise générale, le matin du Nouvel An on entendit la douce musique de Pudu (musique instrumentale du Falun Dafa) transmise par les haut-parleurs. Tous les pratiquants prisonniers étaient si heureux que les larmes inondèrent leurs visages. Ils chantaient doucement avec la musique. Toute l'affaire stupéfia les policiers.

Les policiers suspectaient que les pratiquants se passaient en douce du matériel Dafa dans les "classes de transformation" et se mirent à organiser une fouille. Ils se mirent à chercher partout, même sur le corps des pratiquants. Un pratiquant refusa de coopérer. Il fut isolé, transféré ailleurs et probablement envoyé en prison.

Cette impitoyable série d'événements dans l'"Ecole de travail et d'étude" de Wuhan fit émerger les plus barbares des policiers. L'un d'entre eux était Jing, un chauffeur de la police (portant aussi l'uniforme), Gao, un capitaine, et un fonctionnaire du nom de He. Une fois, Jing fut malade une semaine entière après avoir battu des pratiquants. Sans aucun doute, il subissait une rétribution directe de ses actes mauvais. Une autre histoire était celle du perfide ex-principal de Wuhan qui avait été invité par les policiers à "transformer" les pratiquants. Un pratiquant resta dans son lit parce qu'il n'avait pas envie d'entendre les calomnies de l'ex-principal. Celui-ci alla secouer son lit, et le tira par les cheveux pour le faire sortir du lit. Le principal confisqua le bol d'un autre pratiquant, après qu'il ait exprimé son opinion en mangeant. Tous les autres pratiquants arrêtèrent demanger en voyant l'attitude du principal.

En définitive, pas un seul des pratiquants ne put être transformé. Cinq pratiquants ont été renvoyés de force à leur résidence grâce à leurs familles qui ont écrit des lettres de garantie disant qu'ils ne pratiqueraient plus. De plus, quand les nouvelles de ce qui se passait dans les "classes de transformation" se furent répandues, des citoyens au cœur bienveillant firent des remarques. "Le gouvernement fait des choses d'une manière complètement fausse. Cette sorte de "classe de transformation" ne pourra que rendre les pratiquants plus fermes dans leurs convictions".