Agression sexuelle et viol à Pékin par la police du poste de Qianmen

"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)  

"Clarifiez la vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité, apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La Grande Loi est indestructible).

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Agression sexuelle et viol à Pékin par la police du poste de Qianmen

[Minghui Net] Pékin est la capitale de la République populaire de Chine. Habillés impéccablement avec l?emblème national sur leur casquette, les policiers Pékinois essaient de présenter une image digne et honnête de la nation chinoise. Depuis la fondation de la nation il y a quelques décennies, le bureau de la sécurité publique et les postes de police ont été les premiers endroits où les gens auraient pensé aller pour demander de l?aide en cas de meurtre, viol, pillage, vol, violence. Toutefois, pendant que la nation chinoise essaie de toutes ses forces de prouver sa courtoisie, son environnement convenable et l?amélioration de la situation des Droits de l?Homme, quelques officiers de police, parmi ceux que les gens de bon coeur appellent la police du peuple et les enfants innocents ?oncle policier?, quelques officiers de police du poste de Quianmen à Pékin en particulier ont essayé de commettre des viols et agressions sexuelles méprisables sous la direction de Jian Zemin et ses complices.

Vers le 20 décembre 2000, une pratiquante de Falun Gong faisait part à des amis pratiquants de sa pénible expérience du poste de police Qianmen à Pékin. Parce qu?elle ne désirait pas attirer des ennuis à d?autres personnes, elle refusait de donner son nom à la police. ( En Chine il est courant que la famille, les connaissances, les employeurs et les amis soient mis en cause dans ce que font les pratiquants.- note du traducteur.) Aussi le chef du poste de police lui a arraché ses habits, la laissant dans ses sous -vètements, et l?a battue violemment. La pratiquante refusait toujours de parler. Voyant qu?il ne pouvait pas obtenir d?information, le chef de police a eu l?idée obscène de la violer. La pratiquante a repoussé son agression de toutes ses forces. Voyant qu?il n?arrivait pas à ses fins, l?agent répugnant sortit son pénis et répandit son éjaculation sur elle.

Le 9 décembre 2000, six pratiquantes de Falun Gong ont été emmenées au poste de police Qianmen pour être déshabillées et fouillées parce qu?elles avaient declaré en bonne foi que ?le Falun Gong est bon?. Une pratiquante, surnommée ?numéro 100? a été intérrogée par le chef adjoint du poste , Ma Zengyong. Ma a fait agenouiller la pratiquante pendant qu?elle déclinait son nom et son adresse. Il l?a battue à coup de matraque , touché ses seins en riant insolemment. Il se servait même de sa matraque pour lui piquer les seins, ses parties intimes, et le reste de son corps pendant plus d?une heure, provoquant de grandes contusions violacées.

Plus tard, cet agent de police animal, qui portait sur sa casquette l?emblème national, a choisi une autre pratiquante d?un peu plus de vingt ans pour un ?interrogatoire?. Elle était surnommée ?C 105?. Deux heures plus tard la jeune pratiquante était de retour. Son pantalon était ouvert, ses yeux étaient contusionnés et ses cheveux en désordre. Des mêches de cheveux avaient été arrachées. Son pantalon était mouillé et son corps couvert de meurtrissures. Le plus choquant était qu?après cette agression sexuelle, les officiers de police demandaient à la victime C105 de payer une amende de 200 yuan.  (monnaie chinoise, le salaire mensuel d?un travailleur urbain est d?environs 500 yuan.) Ma Zengyong envoya aussi deux policiers pour dissuader la pratiquante de dévoiler à d?autres personnes cette agression sexuelle subie dans le poste de police de Qianmen.

Après avoir commis ces actes ignobles, inhumains, qui violent les principes du ciel, non seulement ces ?êtres humains ? n?ont pas eu de remords, mais ils continuaient de se comporter de manière péremptoire et incontrôlée. Ils menaçaient leurs victimes et leur faisaient payer des amendes. Leur travail leur donne-t-il le droit de violer les femme ? Les lois de ce pays soutiennent-elles les gens qui abusent de leur pouvoir et agissent tel des animau ? L?emblème national est-il devenu un bouclier protecteur pour les prédateurs sexuel ?

Lorsqu?une personne ne vit que pour assouvir ses désirs sexuels, lorsqu?un être humain est devenu si corrompu au point qu?il ne peut s?exprimer qu?avec ses organes sexuels, lorsque son âme est tombée si bas qu?il se comporte pire qu?un animal, sans montrer de remord, s?il ne subit pas une rétribution immédiate, ça doit être parce que les dieux craignent une contamination s?ils s?impliquent dans son châtiment. Alors, qu?elle se détruise elle-même rapidement, par la condamnation de sa famille, par l?humiliation de son entourage et en s?infligeant des maux physiques ! Ce dont ce monde nécessite est la pureté et la moralité humaine , non de vils et obscènes animaux en guise d?êtres humains.