"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser lasagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pourque la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de cemonde" (Rationalité)  

"Clarifiezla vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité,apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La GrandeLoi est indestructible).


"Tout cela sera noté dans l'Histoire del'Univers"

Parcoursde la rectification par la Loi d'un disciple de Dafa à Changchun

[Site Minghui]

Veuillez transmettre aumiséricordieux Maître la gratitude la plus sincère d'une famille entière dedisciples de Dafa à Changchun : Vénérable Maître, ce que vous me donnez et ceque vous avez enduré pour votre disciple, est indescriptible même en épuisanttout langage humain, je suis très reconnaissant que vous m'ayez permisd'accomplir ce voyage sanglant de la rectification par la Loi, et de rentrersain et sauf.

J'ai obtenu la Loi au momentoù ma vie atteignait presque son terme. Avant l'obtention de la Loi j'avait lecœur déformé, une foulure au ventricule du côté gauche du cœur, un cancer del'estomac, une thrombose cérébrale, une tuberculose pulmonaire résistant auxmédicaments, une déformation de 90% des vaisseaux sanguins, amnésie,insuffisance de sang dans le cerveau, dermatose opiniâtre, varices, et j'étaisincapable de marcher. J'avais un certificat d'invalidité au deuxième degré.L'hôpital m'avait condamné à mort. Au mois de Mars 1998, j'ai obtenu la Loi. Unmois après avoir lu le ZHUAN FALUN, j'ai pu descendre de l'immeuble et marcherpendant une heure pour aller au point de pratique (une distance de 5 minutes) ;après trois jours de pratique des exercices, j'ai pu même accompagner mabelle-mère jusqu'à la ville de Jilin ; au mois de mai j'ai commencé à faire destravaux physiques légers ; au mois de juin j'ai commencé à gagner ma vie entransportant des marchandises sur mon triporteur. Le Falun Dafa a sauvé toutema famille. C'est le miséricordieux (compatissant) Maître qui m'a donné unevéritable vie.

Pourtant, "l'homme peutrencontrer du jour au lendemain le bonheur et le malheur, le ciel peut sansprévenir se changer en vents et en nuages." Au moment où toute ma familleet les innombrables vies sauvées par la Grande Loi se réjouissaient de lalumière de Bouddha illuminant universellement, en Chine le groupe de vauriensde JIANG Zemin a commencé le 22 juillet 1999 sa persécution massive envers laGrande Loi et les disciples de la Grande Loi. Ils ont calomnié, fabriqué defausses accusations, et même attaqué directement notre vénérable Maître. Celaest inacceptable pour tous les disciples qui cultivent véritablement le FalunDafa. Ainsi, nous nous sommes sans hésitation engagés dans le chemin de larectification par la Loi, pour défendre la Loi. Je suis allé plusieurs fois àBeijing pour rapporter la réalité des faits, maintes fois frappé, arrêté,détenu, chaque fois je suis sorti loyalement.

Le 2 mai 2000, j'ai commencéà  avoir une élimination de karma demaladie, la partie inférieure du corps au-dessous des épaules ne répondaitplus. Je savais que c'était une épreuve encore plus grande pour moi. J'ai prisà cœur l'instruction du Maître : "...en même temps que s'élimine votrekarma accumulé dans vos existences antérieures, on fait élever le sens d'éveilde l'homme, c'est aussi mettre votre fermeté envers la Grande Loi à l'épreuve.Cela continuera jusqu'au Xiulian de la Loi au-delà du monde d'ici-bas, voilà unexposé général." (<<Le karma de maladie>>) Après avoir étudiésans cesse la Loi, j'ai une compréhension approfondie de ce que dit le Maîtredans <<les mots avertisseurs>> : " Il ne faut pas que ce soittoujours moi qui élimine votre karma, tandis que vous ne vous élevez pasréellement dans la Loi, ni ne sortez de la connaissance humaine et de laconception humaine." Au fur et à mesure de l'avancement du processus de larectification par la Loi, suivant la publication un après l'autre des Jingwendu Maître, surtout après avoir lu <<Effet de la pensée droite>> :"ce que supportent les disciples de Dafa n'est pas seulement leur proprekarma, mais ils supportent sous la persécution des vies perverses ce qu'ils nedevraient pas supporter, alors que ces vies perverses sont des chosesextrêmement inférieures et répugnantes, elles ne méritent de jouer aucun rôlependant la rectification par la Loi. " J'ai compris qu'il n'était passuffisant de le supporter simplement. Après avoir lu les articles sur le siteMinghui, en particulier le fait que ma femme soit sorti loyalement du centre derééducation par le travail de Heizuizi m'a beaucoup encouragé. Lorsque j'ai ludans <<A tous les élèves [participant] à la Conférence de la Loi del'Europe du Nord >> :" Donc, pendant qu'on clarifie la vérité, il nefaut pas attendre, il ne faut pas être dépendant, il ne faut pas compter sur lechangement des facteurs extérieurs. Chacun de nous est en train de créerl'histoire pour le futur, donc, à part la participation à des activitéscollectives chacun de sa propre initiative est en train de chercher du travailà faire, à condition que ce soit en faveur de la Grande Loi, il faut toujoursle faire activement, agir activement." Une idée a surgi du fond de moncœur : " même si je dois ramper, je vais ramper jusqu'à la place Tiananmen(à ce moment je ne pouvais même pas ramper)." C'est ce que doit faire undisciple de Dafa ! Lorsque j'ai parlé de mon souhait à ma femme, elle s'estinquiétée. Après que je lui ai expliqué raisonnablement et résolument, elleétait d'accord.

Le soir du 21 juillet 2001,après une simple préparation, ma femme allait m'accompagner jusqu'à la Gare. Jen'étais pas sorti depuis 14 mois, j'avais les pieds nus, peu à peu, non sanspeine je me suis approché de l'escalier. J'habite au cinquième étage, plein deconfiance, une marche après l'autre, je me suis déplacé sur les fesses. Il m'afallu une heure pour arriver jusqu'en bas. Puis, je me suis déplacé lentementvers la chaussée. Ma femme a appelé un Taxi, avec les voisins, ils m'ontsoulevé et mis dans la voiture. Arrivé à la Gare, l'endroit où je suis descenduétait à 100 mètres du guichet, j'ai mis deux heures pour y arriver. Lorsque jeme suis retourné pour voir, une traînée de sang était distinctement impriméesur le sol, et le sang coulait de plus en plus. J'ai récité dans mon cœur :" Endurer ce qui est difficile à endurer, faire ce qui est difficile àfaire." Ayant acheté le billet, j'ai commencé à me déplacer vers la salled'attente. Lorsque ma femme a expliqué au Chef de Gare, il nous a tout de suitefait passer au feu vert, il m'a accompagné à l'ascenseur jusqu'au premierétage, a trouvé un fauteuil roulant pour moi, a demandé à deux ouvriers deporter le fauteuil et moi-même jusqu'au quai. Nous étions très reconnaissants.Puis, nous avons attendu dans la pluie glaciale pendant 5 heures. Après que leshôtesses de train aient aidé ma femme à me porter dans le train, elle estrentrée. J'ai du passer longtemps dans le couloir pour finalement avoir unsiège. A 8 heures du soir le 22 juillet, je suis arrivé à Beijing. Après queles hôtesses m'aient porté pour descendre du train,  je n'ai plus su quoi faire. A ce moment, un monsieur âgé m'aaccompagné dans l'ascenseur jusqu'à la salle d'attente. J'ai trouvé un endroitet ai commencé à dormir.

A l'aube, j'ai commencé à medéplacer vers l'extérieur. Comme tout mon corps ne pouvait avancer qu'appuyésur mes bras et en tortillant mes hanches, à chaque pas une douleur medéchirait la poitrine. Je me suis rappelé que maître a dit : " Lorsqu'onendure la souffrance, on peut alors éliminer le karma." La salle d'attenteest au premier étage, j'ai descendu une marche après l'autre de cette façon.Lorsque je suis sorti de la Gare, 5 heures avaient passé. Le soleil dardaientsur moi ses rayons,  j'avais le cœurréconforté. Au moment où je traversais la rue, un agent a stoppé les voiturespour me laisser passer, beaucoup de bonnes personnes m'ont donné de l'argent,mais j'ai refusé en les remerciant. Je leur ai dit que j'étais un pratiquant deFalun Gong, que je ne voulais ni argent, ni bien, que j'avais de la nourrituredans mon sac. Après cette traversée, comme je n'arrivais pas à monter le bordde la chaussée, je me suis allongé pour me reposer un peu. Un policier ducommissariat de la Gare m'a donné méchamment deux coups de pieds, et m'aordonné de partir. J'ai dit : "je vais partir dans un moment, maintenantje ne peux plus bouger." Lorsqu'ils sont partis, j'ai continué à avancer.De cette façon, en avançant, en m'arrêtant, la nuit est tombée, il commençait àpleuvoir légèrement, j'avais froid, j'avais mal, j'avais faim. (car lanourriture que j'avais apportée de la maison était périmée à cause de lachaleur, je l' ai jetée)

Je suis venu à Beijing avectrois objectifs :

1. Avec la pensée droite aucœur aider le Maître à œuvrer à la rectification par la Loi.

2. prononcer "FalunDafa est bon", déployer la banderole de Dafa.

3. Vaincre ma propreinvalidité (à la maison, j'ai besoin que ma femme m'aide à me nourrir, à boire,et à faire mes besoins)

Je me suis rappelé queMaître a dit dans le ZHUAN FALUN : "Dès que votre état d'esprit s'élève unpeu, de mauvaises choses sont éliminées partiellement  de votre corps. En même temps, vous aurez à souffrir un peu afinde réduire en partie votre karma, alors vous pourrez vous élever un peu, end'autre termes, les caractéristiques cosmiques exerceront 

sur vous moins de restriction." Enpensant à cela, j'ai senti que je me réchauffais. Sans m'en apercevoir, je mesuis endormi dans la rue jusqu'à l'aube. Le lendemain, j'ai continué à avancer,quelque centaines de mètres, j'ai du ramper pendant deux jours. A midi, j'étaisà bout de force, j'ai vu des restaurants. J'avais vraiment faim. Un patron debon cœur m'a offert une soupe de nouille, je l'ai payé 4 yuans. Pendant que jemangeais la soupe, une Jeep est arrivée, les gens dans la Jeep m'ont dit que jenuisais à l'image de la ville, ils voulaient m'envoyer au centre d'accueil. Jeme suis dit que je devais aller place Tiananmen. Après maintes explications,j'ai dit que je ne mangerais plus, ils sont donc partis. A ce moment j'aioublié l'instruction du maître "Mangez sans savourer le goût, la bouchesera coupé de l'attachement." Je ne savais pas que dans le monde il yavait des nouilles aussi délicieuses.

J'ai appelé plusieurs foisle Taxi, mais les chauffeurs ne voulaient pas m'emmener. Mes chaussures entoile que j'avais mises seulement en arrivant à la Gare de Beijing, étaienttrouées, mes dix orteils sortaient chair et sang confondus, cela faisait effectivementpeur. Au moment où j'ai décidé de ramper jusqu'à la Place, Un tricycle estarrivé, le vieux monsieur avait peur que je ne lui donne pas d'argent, je luiai dit que j'étais pratiquant de Falun Gong, je ne mentirai pas. Autour, lesgens m'ont jeté un regard respectueux, je ressentais la puissance majestueusede la Grande Loi. Il m'a posé sur le passage piéton en dehors de la PlaceTiananmen. Là, il y avait une dizaine de fourgonnettes de police pour arrêterles disciples de Dafa. Mon avancée a déjà attiré l'attention des policiers. Aucœur une légèreté immense, dans ma pensée un vide total. J'ai récité en mon cœurla formule que j'ai récitée depuis le départ de ce voyage : "Fa Zheng QianKun, Xie E Quan Mie (la Loi rectifie l'Univers, La perversité est anéantietotalement) ". Un moment plus tard, une voiture de police s'élançait aprèsles disciples de Dafa, ces disciples femmes ont affronté la voiture, je les aiencouragées en pensée, elles ont sauté de l'autre côté de la balustrade, lavoiture n'a pas pu entrer, elles se sont sauvées. En voyant que les compagnonsde pratiques étaient repartis sains et saufs, j'ai été soulagé.

A ce moment la pluie tombaitde plus en plus forte, j'ai mis la musique de Dafa. Peu de temps après, unagent en civil s'est approché. Il m'a demandé si je pratiquais le Falun Gong,j'ai dit : Je pratique le Falun Gong. Il m'a dit hypocritement : il vaut mieuxarrêter de pratiquer. J'ai dit : " Dafa a sauvé toute ma famille, Dafa m'adonné ma vie, Dafa enseigne aux gens à être bon, pourquoi ne pratiquerai-je pas?" Un moment après, une voiture de police est arrivée, elle s'est arrêtée40 mètres plus loin. Plusieurs méchants policiers m'ont traîné vers la voiture,j'ai refusé. J'ai crié de toute ma force "Falun Dafa est Bon!" Mavoix a fait tressaillir le ciel, dans ma pensée un vide total, sans égoïsme, niego. Les individus pervers étaient extrêmement insignifiants. Dans le noir,certains de ces méchants policiers saisissaient mes vêtements, d'autressoulevaient mes pieds, d'autres saisissaient mes cheveux, ils m'ont jeté dansla voiture de police. J'ai vu que la fenêtre avait été ouverte, j'ai crié sansarrêt "Falun Dafa est bon !". Lorsque la voiture est arrivée auBureau de la sécurité publique du Tiananmen, ils ont été plusieurs à me jeteren bas de la voiture. Je leur ai dit que je ne pouvais pas marcher, alors ilsm'ont traîné, et m'ont donné des coups de pieds. Mes pantalons étaient tombés.Non sans peine, ils m'ont traîné jusqu'à l'endroit où on enfermait lesdisciples de Dafa. Un chef leur a dit : " Pourquoi le faites-vous venirici, où va-t-on l' envoyer, personne ne le veut, allez, dépêchez-vous de lerelâcher." Deux méchants policiers ont voulu me porter avec un bâton, j'airefusé sans ménagement. Je leur ai dit : "si vous osez me torturer ainsi,je vais rapporter ce fait à la Fédération des handicapés, traîner votre Bureaude la police en justice." Alors, ils se sont retenus.

Ces deux personnes m'ontporté dans le sens opposé de la Place Tiananmen, et m'ont jeté dans la rue.L'eau de pluie avait 6 cm de profondeur. Le sang sur mes pieds s'est dilué dansl'eau, mes pieds sont devenus propres. Sous la pluie, j'avançais lentement endirection de Tiananmen. A la fin, il ne me restait que quelques dizaines demarches, comme je ne pouvais pas m'asseoir, je suis descendu sur le passagepiéton. Je me suis allongé sous le toit d'un devanture de magasin fermé.J'avais encore un souhait qui n'était pas réalisé, c'est de déployer labanderole de Dafa. Au début j'ai pensé qu'il n'y aurait pas de monde pour lavoir. Aussitôt après j'ai aperçu que cette pensée était mêlée de choseshumaines. je me suis rappelé que Maître a dit dans <<Creuser à laracine>> : "...quelle que soit la chose humaine que vous ajoutiez auXiulian c'est extrêmement dangereux." Je dois avec le cœur le plus pur,déployer loyalement la banderole place Tiananmen. A ce moment, beaucoup de gensentraient sur la Place, il y avait aussi de nombreuses personnes quiattentaient les autobus. J'ai accroché la banderole en m' appuyant contre labalustrade, j'ai attaché les quatre coins avec des fils plastiques. J'aivérifié qu'elle était bien droite, que les passants et les gens dans lesvéhicules pouvaient tous la voir clairement, et je suis parti lentement.Lorsque je me suis retourné pour voir, beaucoup de gens l'entouraient et laregardaient. 50 mètres plus loin, se sont garées des voitures de police. Jen'avais aucune peur, il pleuvait, en plus je me suis déplacé presque enrampant, ils ne m'ont pas aperçu. Mon sang coulait sans arrêt, comme lecompatissant Maître endurait beaucoup pour moi, je ne sentais pas tellement ladouleur.

Arrivé à la station de busn°22, plusieurs méchants policiers sont venus vers moi, ils m'ont demandé si jepratiquais le Falun Gong, j'ai dit  :"Oui !" Ils m'ont dit de les suivre dans la voiture de police, j'aidit que je venais d'être relâché par le Bureau de police de Tiananmen, si vousne le croyez pas, demandez le leur. A ce moment le talkie-walkie a annoncé quequelqu'un avait dénoncé, "il y a une banderole de Dafa". Un méchantpolicier a arraché la banderole, et a couru vers moi pour me frapper sauvagement.Ils m'ont donné des coups de pieds, des coups de poings sur la tête, ont tirémes cheveux, m'ont injurié sans arrêt. Comme je ne pouvais pas lever les pieds,ils ont alors avec un imperméable en plastique étranglé mon cou pour me traînerjusqu'à la voiture. J'étais presque étranglé à ne plus respirer. Dans mon cœur,je récitais le poème de Maître <<Sans résidu (Wu Cun)>> :"Vivre sans désir, mourir sans regret ; balayer complètement les idéesabsurdes, le bouddha ne sera pas difficile à cultiver." et la formule du"Fa Zheng Qian Kun, Qie E Quan Mie". Dans la voiture, j'ai remarquéque mes jambes, mes fesses, mes pieds (sauf deux orteils) étaient tous érafléspar les pierres et la chaussée. Je leur ai expliqué le bienfait de Dafa, jen'avais aucune colère contre eux. Encore une fois arrivé au Bureau de police deTiananmen. Ils m'ont jeté de quelque mètres de hauteur en bas de la voiture.J'avais une douleur à déchirer la poitrine. J'ai récité dans mon cœur"Endurer ce qui est difficile à endurer, faire ce qui est difficile àfaire." Ces policiers m'ont jeté des coups de pieds en m'injuriant :" On va te torturer à mort dès ce soir, te casser les jambes, faire tombertes deux dents en avant, as-tu peur ?" J'ai dit : " s'il n'y avait pasFalun Dafa, je serais déjà mort en 1998, comment pourrai-je être vivant jusqu'àaujourd'hui. Si j'avais peur de la mort je ne serais pas venu Place Tiananmenpour défendre la Loi, pour rectifier tout ce qui n'est pas droit par laLoi." Plus tard, j'ai été traîné et roulé devant leur chef. Le chef a dit: " Encore toi ? ! " J'ai dit :" Ils m'ont frappé et injurié, étranglé pour me faire monter dansla voiture de police." Ils ont vidé mon sac, mes poches, pour l'examiner,ils ont pris mon argent (ils me l'ont rendu plus tard). j'ai été enfermé dansune cellule, ils ont commencé à me frapper et m'injurier, ils voulaient savoirmon nom, mon adresse. Je leur ai parlé de Falun Dafa. Le chef m'a donné descoups de pieds pour que je me déplace plus vite. Ils ont vu qu'ils ne pouvaientrien obtenir de moi, un policier d'une trentaine d'années de toute sa force m'adonné un coup de poing sur les tempes, jusqu'à maintenant cet endroit estencore douloureux. Puis il m'a lancé un coup de pied à la poitrine. J'ai récitéen mon coeur "Fa Zheng Qian Kun, Xie E Quan Mie." Le Lendemain,l'interrogatoire est devenu moins pervers que la veille. Je leur ai dit :"Avant de pratiquer le Falun Gong, j'avais plusieurs maladies incurables,après la pratique, j'ai été guéri. J'ai même remboursé la pension mensuelle de305 yuans au département des affaires civiles. Mais plus tard, les mauvaisindividus ont commencé à persécuter le Falun Gong, ils ont interdit la pratiquedu Falun Gong. J'ai fait facilement confiance au gouvernement et j'ai abandonnépendant un moment la pratique. Finalement les maladies sont revenues, jen'avais pas d'argent pour me faire soigner, j'ai perdu confiance envers legouvernement, et j'ai recommencé à pratiquer le Falun Dafa. Je suis allérapporter le fait réel au gouvernement, et j'ai été arrêté. Tant qu'il me resteencore un souffle j'irais place Tiananmen pour crier "Falun Dafa est bon !" "Falun Dafa est la Loi juste! " C'est ma responsabilité, mondevoir, mon honneur, ma fierté, il n'y a aucune autre forme pour remplacercela." Lorsqu'ils m'ont demandé mon nom, je leur ai répondu : " je nepeux pas vous le dire, vous les policiers de la capitale frappent aussisauvagement même un handicapé, on voit à quel point vous êtes 

cruels, vous voulez savoir mon nom, c'estpeine perdue." Le chef a dit : " si tu le dis, on te laisserentrer." j'ai dit : " c'est ma liberté de ne pas le dire."Finalement ils n'ont pas pu obtenir de moi le moindre aveux, ils m'ont ordonnéde ramasser tous les objets qu'ils avaient jeté par terre et de les mettre dansmon sac. Ils m'ont relâché.

Ils m'ont mis sur un balaipour me traîner dehors. Lorsque je suis passé par la cage aux barreaux de feroù on enfermait les disciples de Dafa, je leur ai fait Heshi, mais je suistombé, car je n'arrivais pas me mettre assis. J'ai dit à haute voix deux foisde suite : " Celui qui est déterminé, son karma sera éliminé." Cettefois-ci une dizaine de policiers ne m'avaient pas frappé, ils ont seulement dit: " vite, tu te dépêche de rentrer, ne parle plus." J'ai vu dans lacage trois ou quatre garçons d'une dizaine années, leurs visages étaient purset sincères, mes yeux étaient embués de larmes. Il y avait dans la cage unecentaine de pratiquants masculins. Il était 9:30 du soir. Le chef a dit : "que faire, on m'en envoie encore une vingtaine." A ce moment il pleuvaitdes cordes, en plus, il était tard. On peut imaginer que les disciples de Dafavenus à Beijing pour défendre la Loi sont vraiment nombreux. Les policiersm'ont traîné jusqu'à la porte principale et m'ont porté dans la voiture depolice. Dans la voiture les policiers essayaient encore de me faire dire d'oùje venais, sous prétexte qu'ils voulaient acheter un billet du train pour moi.Ils ont énuméré : Jinzhou, Huludao..., je leur ai dit " prenez votre tempspour deviner, ça peut être une énigme pour toujours. Il suffit que vous sachiezque je suis un disciple de Dafa." J'ai parlé toujours de Falun Dafa aveceux. Un chef m'a dit : " N'en parle plus, c'est votre Maître qui enduretout pour vous." les larmes coulaient comme d'une source. MiséricordieuxMaître, ce que vous avez enduré pour votre disciple est impossible à exprimeravec le langage humain. Arrivé à la Gare, ils m'ont porté pour descendre de lavoiture et m'ont posé prêt de l'entrepôt des marchandises. Ils sont partis.

Je me suis renseigné poursavoir où se trouvait le guichet. La pluie tombait très fort, l'eau atteignaitune certaine profondeur. j'étais déjà trempé au moment où j'étais sur la Place.J'ai avancé lentement dans l'eau, le sang se diluait dans l'eau comme desfleurs. Lorsque je pensais au Maître, les larmes coulaient et coulaient. Lapluie, les larmes, le sang se sont confondus, je me suis déplacé pendantpresque une heure. Un monsieur de bon cœur m'a donné 10 yuans, j'ai refusé enle remerciant, je lui ai dit que j'étais un pratiquant de Falun Gong, que je nevoulais ni argent ni bien, et que j'avais encore de la nourriture sur moi. Maisil insistait, lorsque je lui ai refusé en le remerciant, il avait les larmesaux yeux. Comme il était bienveillant ! Je faisais des allers-retour sous lapluie pour trouver le bureau du directeur de la Gare. Finalement je suisarrivé, j'ai donné l'argent à cette directrice jeune et bienveillante, elle aacheté un billet pour moi, et a demandé à un monsieur de me conduire par lapetite porte verrouillée pour entrer dans la salle d'attente. Cela a épargnépour moi deux heures de peine. Lorsque je me suis déplacé jusqu'à l'ascenseurroulant, je ne savais quoi faire, car j'étais incapable de monter. A ce moment,une dame en service m'a dit que je n'avais pas besoin de monter au premierétage, que je pouvais trouver un endroit où me reposer et le lendemain jepourrais monter dans le train au niveau du rez-de-chaussée. J'ai tordu mesvêtements, mon corps était tout mouillé, envahi par la fatigue, la faim, lefroid, la douleur. J'ai acheté un sachet de nouille instantané. Après avoirmangé, je me suis réchauffé. A une heure du matin, je me suis endormi. Jen'avait pas froid, je savais que Maître avait encore pris soin de moi ! En meréveillant le matin, j'ai aperçu que mes chaussures avaient disparu. Bienqu'elles soient trouées, ce sont quand même des chaussures.

A 9:50 du matin, j'ai étéporté par les personnes de bon cœur sur mon siège dans le train.

A minuit dix, je suisdescendu du train, et je suis arrivé dans mon pays natal Changchun.

Je me suis déplacélentement, mes pieds étaient chair et sang confondus. Je me suis trouvé au quain°3. Je devais affronter la situation tout seul. Seule la grandiose Loi m'adonné la force. Maître a dit : "parce que vous ne vous êtes pas effondrés devantles tribulations immenses. (<< La grandeur des disciples>>) Je mesuis précipité vers le tunnel du passage. Chaque marche est faite de pierre,chaque descente a provoqué une douleur qui déchirait ma poitrine (ou mon cœur).Arrivé en bas, je me suis même endormi. Quelque minutes plus tard j'ai étéréveillé par le froid. Cette foi-ci je devais commencé à monter. Face auxdizaines de marches aussi élevées, je ne savais que faire. Puisque "Chaquepasse doit être franchie" (une phrase d'un poème du Maître "Guan GuanDou Dei Chuang"), alors j'ai essayé de m'appuyer d'abord sur mes fessespour m'élever sur une marche et tourner le dos en suite. Au milieu de la montéeje me suis endormi. Finalement, la réalité a prouvé qu'un disciple de Dafa estomnipotent. Lorsque je suis arrivé à la sorti de la Gare, cinq heures s'étaientpassées. J'ai mangé un bol de riz. J'avais vraiment faim. C'était le troisièmerepas pendant 6 jours. J'ai pris un Taxi pour qu'il m'emmène jusqu'en bas dechez  moi. Je suis monté tout seuljusqu'au quatrième étage. Mon voisin m'a aperçu. Ma femme et mes enfants m'ontporté jusqu'au cinquième étage. J'ai achevé ce voyage (ou trajet) sanglant dela rectification par la Loi.

Arrivé à la maison, j'aipleuré : miséricordieux Maître, votre disciple est vraiment incapable de fairequoi que ce soit pendant la rectification par la Loi. Mais en tant que disciplede la Grande Loi pendant la période de rectification par la Loi, je vaisabsolument être digne du salut apporté si difficilement par le miséricordieuxMaître. Clarifier la vérité, révéler la perversité, éliminer la perversité onttous pour but la rectification par la Loi, et apporter le salut aux gens de cemonde et aux êtres. Le Falun Dafa a sauvé toute ma famille, le Falun Dafa m'adonné ma véritable vie, je vais défendre la Loi avec ma propre vie. Pourdéfendre la Loi, j'ai été mainte fois détenu. Depuis le 25 avril 1999, jusqu'àaujourd'hui, j'ai été détenu neuf fois à Beijing dans la brigade de défensecombinée de l'armée et de la milice devant la Gare de Beijing, dans lecommissariat de police Xiaohongmen, dans celui de Dongtieyingzi, dans le bureaudes affaires de Changchun (deux fois), dans le bureau des affaires de Yanji,dans le centre sportif Fengtai, dans le Bureau de la sécurité publiqueTiananmen (deux fois). J'ai aussi été détenu 7 fois à Changchun dans le centrede détention Balibao (deux fois), dans le centre d'intoxication, dans lecommissariat de police Ziqiang, dans le centre de détention Daguang, dans lebureau de la sécurité publique de Nanguan, et dans celui du N°24. Jusqu'àmaintenant je n'ai jamais écrit la moindre garantie à la perversité.

http://minghui.ca/mh/articles/2001/8/2/14172.html