"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser lasagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pourque la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de cemonde" (Rationalité)  

"Clarifiezla vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité,apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La GrandeLoi est indestructible).


La pensée est vraiment laréalité d' autres espaces

[Site Minghui] La pensée est dans d'autresespaces l'existence réelle, même plus réelle que notre espace matériel. Dansl'application de la rectification par la Loi, de la clarification de la véritéet de l'élimination de la perversité l'état d'esprit de nos disciples de Dafaest particulièrement important. Les disciples de Dafa sont supérieurs à l'êtrehumain, la pensée des disciples de Dafa a de l'énergie, en plus elle estimmense. La pureté de la pensée des disciples de Dafa n'a pas de comparaisonavec celle des gens ordinaire. Alors ce que nous pensons dans notre pensée,dans d'autre espace c'est une existence encore plus réelle.

Pourquoiplus les pratiquants ont peur plus ils ont l'occasion d'être arrêtés, en faitce qui se passe dans cet espace n'est qu'une manifestation de ce qui se passedans d'autres espaces, c' est cela qui est plus réel. Alors, face au policier,quel est notre état d'esprit ? Comment nous considérons-nous ? Maître a dit :"le bien et le mal dépendent d'une seule pensée." Si vous pensez : ilest policier, voilà j'ai été découvert, je ne peux plus me sauver, je vais êtrearrêté, ou même que dans l'esprit surgit le sentiment d'être un voleur. Dans cecas là à votre insue votre corps dans d'autres espaces se rétrécit, toute votreassurance perdue, il devient même plus petit que celui du policier. Et le corpsdu policier dans d'autres espaces le ressent : oh, vous êtes un voleur, alorsje dois vous arrêter, je peux vous frapper. Donc vous êtes pris par lepolicier. Si vous pensez : nous sommes le peuple bienveillant, nous n'avonsfait aucun mal, nous sommes en train d'annoncer la vérité aux gens, de révélerla perversité. Vous vous considérez quand même comme un être humain, si c'estun méchant policier qui vous fait face  alors il maltraitera quand même le peuple innocent. Même s'il n'apas d'assurance, il se peut que vous subissiez la persécution. Si vous pensez :je suis une divinité grandiose, je suis en train d'accomplir l'affaire la plusgrandiose et la plus compatissante dans l'Univers, je suis en train d'apporterle salut aux êtres, d'œuvrer à la rectification par la Loi dans le mondehumain, y compris de vous sauver. Si vous m'arrêtez, ce sera votre tort, vousêtes en train de persécuter la justice, vous n'êtes que des vies misérables etpitoyables dupées par la perversité. Alors, la situation sera différente. Dansd'autres espaces, vous êtes une divinité incomparablement grandiose etmajestueuse, et vous fait face une vie ignorante et misérable, votre cœur estrempli de  compassion, il estindestructible comme le diamant, même votre corps d'autres espaces est un corpsindestructible comme le diamant, comment serait-il possible qu'il vous touche ?La perversité derrière lui peut se dissoudre devant votre compassion, tandisque lui, devant vous, il ne peut avoir que du respect et de la frayeur,même  être confus pour son comportementerroné, car il a en face de lui une divinité.

J'aientendu une anecdote, un jour, un pratiquant était en train d'afficher lesdocuments de la vérité, un agent en civil s'est approché de lui et a hurlé prèsde lui : "cette fois-ci je t'ai eu, finalement c'est toi qui a affichétout ça, tu vas me suivre !" Mais ce pratiquant l' air droit, sans aucunepeur, lui a dit avec compassion et majesté : " sais-tu de quoi parle ceque j'ai affiché ?" l'agent a dit "non". "Dans ce cas jet'emmène le regarder." ce pratiquant l'a emmené devant l'affiche, et l'alue à haute voix, puis il lui a demandé : "as-tu compris ?" l'agent arépondu : " non", le pratiquant a encore lu une fois, lui a demandé"et cette fois-ci ?" l'autre a répondu "toujours pas compris." Ce pratiquant lui a dit : " bien, tu peux rester pour le lireattentivement. moi, je pars." Donc il est parti, une fois loin, il s'estretourné pour voir : l'agent était toujours là debout, en réalité il a étéfixé.

Àtravers cet exemple, j'ai compris qu'en tant que particule de Dafa notre cœurest très important. Maître a dit : "le cœur doit être absolumentdroit." Plus notre cœur sera droit, plus il se conformera auxcaractéristiques de l'Univers, plus notre corps dans d'autres espaces seragrandiose, plus il sera rayonnant de splendeur, plus seront infimes les démons,nul sera leur rôle. Dans le passé les gens doués de pouvoir de Gong disaientque, lorsque les deux armées s'affrontent, dans d'autres espaces elles mènentaussi le combat, souvent il faut d'abord qu'en l'autre espace une armée remportele combat, sur terre, il y aura en conséquence la manifestation d'une armée quil' emportera sur l'autre. 

Aujourd'huidans la rectification par la Loi et l'émission de la pensée droite, Maître nousa demandé de nous imaginer en une divinité digne qui se dresse jusqu'au ciel,en fait c'est pour aider notre côté qui a réussi la cultivation à sedébarrasser de la restriction venant de notre côté humain, pour nous amenerdans un tel état. Si nous pouvons le faire réellement, dans d'autres espacesnous sommes vraiment une divinité digne qui se dresse jusqu'au ciel, alors, laperversité dans les trois mondes ne sera rien du tout, ne vaudra même pas unegrain de poussière. Notre action d'éliminer la perversité n'est-elle pasjustement semblable à balayer les poussières dans l'Univers ? Lorsque nousdistribuons les documents expliquant la vérité, ne s'agit-il pas de divinitésqui marchent sur la Terre, tout notre corps rempli de droiture, la perversitén'arrive pas à le pénètrer, c'est la perversité qui a peur de nous, mais nonpas nous qui aurons peur de la perversité. Une divinité n'a pas d'ennemi,l'homme ne mérite pas non plus d'en être un, ni les démons. Les démons nepeuvent qu'être objet d'élimination, les hommes ne sont que des viessusceptibles d'être sauvées. Si nous nous considérons seulement comme un êtrehumain, c'est seulement un homme qui effectue le travail de Dafa ; Si nous nousconsidérons comme divinité, il s'agit alors des divinités qui œuvrent à larectification par la Loi.

Jeme souviens qu' une fois, les traitres dans le camp de Masanjia m'avaiententouré dans le but de me faire abandonner ma croyance juste envers la GrandeLoi avec leurs mensonges perfides. J'avais à ce moment un état d'esprit trèsdroit. Je me suis dit : je suis une grande divinité droite, mais vous êtes lespetits démons et diables pitoyables, dégénérés et inférieurs. Je ressentais àce moment que j'étais immensément grand, je les regardais jouer leur spectacleridicule, comme au cirque. Mon cœur n'a été nullement interféré, même leur parolesprononcées devant moi ressemblaient à des divagations, et ne méritaient pas d'entrer dans mes oreilles. Un pratiquant qui se dirige dans le sens opposé de laGrande Loi ne vaut même pas un être humain. Pour les personnes qui ont chuté àcause de l'illusion nous n'avons envers elles que compassion et pitié, nouspouvons utiliser notre côté bienveillant pour les réveiller, utiliser tout cequ'il y a de plus droit pour les rectifier, mais nous ne pouvons pas avoirl'idée que nous sommes à égalité avec elles. Certains élèves considèrent encoreces traitres comme des pratiquants, en réalité n'est-ce pas se mettre au mêmeniveau qu'eux, de ce fait certains élèves sont dupés par eux. En fait laplupart de ces gens sont contrôlés pas les démons. Ils doivent absolumentretrouver leur vrai soi, retourner dans la Grande Loi, et seulement ainsi, ilsseront digne d'être nos compagnons de pratique.

Maîtrea dit : les divinités ne considèrent pas les êtres humains comme leursemblable. Comment serait-il possible que nous nous confondions avec les gensordinaires ? Nous sommes déjà les divinités qui aident le Maître à procèder àla rectification par la Loi, ici, il ne s'agit pas de la question d'êtremodeste ou non, il s'agit de la croyance ferme vis à vis de la réalité. Nous nesommes pas dans le Xiulian personnel, en face de la persécution perverse, nouspouvons considérer les personnes utilisées par la perversité, mais chez quirestent encore la nature humaine, comme des vies susceptible d'être sauvéesavec la compassion, nous pouvons les traiter avec notre côté bienveillant, maisnous ne pouvons pas nous mettre à égalité avec ces vies, encore moins lesconsidérer comme une force pouvant nous contraindre, sinon, ce serait unoutrage envers nous-mêmes et envers la Grande Loi, en même temps, c'est aussiune des raisons qui fait que (nous-même) sommes persécutés, et que pendantnotre rectification par la Loi nous rencontrons des obstacles.

Ci-dessusn'est que ma compréhension personnelle, je souhaite que nous prenions tous laLoi pour Maître.

http://minghui.ca/mh/articles/2001/8/14/14730.html