"Clarifiez la vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité, apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La Grande Loi est indestructible).
(Minghui.org) Un gardien d'une trentaine d'années, transféré à partir du camp que de travail forcé Xishanping menace toujours les pratiquantes, "ou vous acceptez la 're-éducation' ou vous souffrirez la torture." Une autre garde dont le dernier nom est Li a également dit, "vous perdrez votre vie si vous refusez d'être rééduquées.'"
Actuellement, certains des gardes masculins, en plus de torturer les pratiquants dans le camp de travail Xishanping, aident également à torturer les pratiquantes du camp de travail forcé pour femmes de Maojiashan. Ils emploient toutes les sortes de méthodes de torture et les mensonges auxquels ils peuvent penser pour inciter les pratiquantes à écrire des rapports qui dénoncent Dafa.
Ils prennent leurs empreintes digitales et essayent de les contraindre à insulter la Loi de Bouddha. Ils imposent des exercices militaires aux pratiquantes qui persistent dans leur croyance dans le Falun Gong. Ces pratiquantes doivent courir chaque jour, et sont forcées de rester debout sur un pied, avec le poids du corps reposant sur la pointe des doigts de l'autre pied. On sent une douleur extrême après avoir gardé pendant longtemps cette position. On ne leur permet pas de passer d'un pied à l'autre. Elles doivent garder la position avec les deux jambes écartées, alors qu'on les pousse fréquemment. Ils torturent ces pratiquantes jour et nuit. Les gardes incitent également les toxicomanes à garder les pratiquantes sous surveillance continue. Elles ne peuvent s'endormir ou elles seront forcées de se réveiller tout de suite. Elles ne reçoivent jamais assez de nourriture.
D'autre part, des pratiquantes qui ne peuvent pas manger en raison de la torture sont gavées par l'intermédiaire de tubes. Elles subissent des claques au visage, des pincements violents du nez, et des coups de pieds et de poings. Une des manières de torturer les pratiquantes pour les gardes est de les tirer par les cheveux et de claquer leur tête contre les murs, ce qui les blesse sévèrement. Beaucoup de pratiquantes ont été mentalement traumatisées par la torture. Celles qui souffrent de blessures à la tête et aux jambes ont des difficultés à se déplacer, pourtant elles doivent encore participer aux exercices militaires.
Chaque jour, l'eau est rationnée, et les pratiquantes n'ont pas le droit de sécher entièrement leurs vêtements. La nuit, elles doivent sécher leurs vêtements avec la chaleur de leur propre corps. Un garde qui a été transféré à partir du camp de travail forcé de Xishanping contraint les toxicomanes à les torturer en utilisant des méthodes basses telles que de gifler les pratiquantes sur le visage, donner des coups de pied, leur marcher dessus, les menotter, les mettre en confinement solitaire, etc... Toutes ces choses sont devenues la routine quotidienne des gardes.
Huang Sulan, une pratiquante d'une cinquantaine d'années, est très ferme dans sa croyance dans Dafa. En dépit de la torture brutale, elle persiste dans sa croyance. Elle a été menottée, battue, et sans interruption maintenue en confinement solitaire. Sa tête a été sérieusement blessée et elle est maintenant maintenue seule dans le troisième peloton du camp de travail.
Les pratiquantes Yu Xunyong, Zhang Hong, Jiang Tao ont refusé d'écrire des lettres dénonçant Dafa. Elles ont constamment été battues en conséquence. Leurs jambes ont été blessées et elles marchent avec de grandes difficultés. Une autre pratiquante, Wang Aihua est très malade et peut à peine soutenir la douleur. Elle est sur le bord de la mort, pourtant les gardes refusent toujours de la libérer. Nous faisons appel aux personnes de bon coeur dans le monde pour aider ceux et celles qui sont emprisonnés et torturés dans le camp de travail forcé Xishanping et dans le camp de travail pour femmes de Maojiashan dans la ville de Chongqing.
Copyright © 2023 Minghui.org. Tous droits réservés.
Catégorie: Les faits de la persécution