Les nouvelles de nouveaux décès injustifiés pleuvent pendant la visite de Jiang en Amérique du Nord

CNN égrenne la liste des morts chez le Falun Gong et les autres groupes persécutés, la réputation de Jiang se ternit de plus en plus

NEW YORK, 6 novembre 2002 (Centre d’Information du Falun Dafa) - Selon l’article de  CNN paru le 5 novembre sur l’héritage du dirigeant communiste chinois Jiang Zemin, en tête de la liste « des bavures insignes»  on trouve les violations des droits de l’homme et des religions. Les exactions commises contre le Falun Gong sont expressément citées comme étant le crime le plus abject de Jiang.

Cette analyse est publiée au moment où les nouvelles de morts en Chine pleuvent, pendant la visite de Jiang en Amérique du Nord. De nombreux experts sur la Chine ont comparé la persécution de Jiang contre cette pratique de méditation paisible aux campagnes sanglantes de l’ère de Mao qui ont terrorisé les chinois dans les années  60 et 70.

Cependant, il est triste de constater que la question de la persécution de Jiang contre les pratiquants de Falun Gong n'a pas été soulevée lors de la rencontre avec le Président Bush. Nous continuons à demander que le gouvernement des Etats-Unis et le Président Bush profite de chaque opportunité pour soulever la question du Falun Gong auprès de Jiang afin de mettre fin aux tortures et aux  massacres incessants de chinois innocents.

Vous trouverez ci-dessous l’histoire de 13 nouvelles victimes dans la campagne de terreur que Jiang impose à son propre peuple. Si les familles de ces treize morts avaient pu s’exprimer à Crawford au Texas, il y a deux semaines, leurs voix auraient sans doute été entendues.

Qu’est-il arrivé aux 100 millions de personnes qui pratiquaient le Falun Gong  en Chine il y a tout juste quatre ans? Jiang leur impose le silence aussi.

L’histoire d’un homme traqué: M. Sun est mort sous la torture

Sun Jihong était traqué. Dans l’incapacité de soutenir la pression que lui imposait constamment la police chinoise pour qu’il renonce à pratiquer le Falun Gong, il a été contraint à s’enfuir de chez lui dans la province de Heilongjiang, il y a de cela presque 3 ans maintenant. Ensuite Sun est allé à Pékin sur la place Tiananmen pour faire appel et défendre son droit à la liberté de croyance.

Arrêté à deux reprises pour ses appels, Sun a à chaque fois protesté contre ces arrestations arbitraires en entamant une grève de la faim. La première a duré quatorze jours et la seconde neuf jours. La police n’ayant pu le forcer à manger, il a été relâché. En septembre 2002, Sun a été détenu à nouveau et kidnappé par la police alors qu’il prenait le bus à Pékin.

Cependant cette fois ci Sun n’a pas survécu aux tortures atroces, il est mort fin septembre.

Lorsque sa famille a finalement été autorisée à voir son corps, il était dans un état terrifiant. Peu de temps après la police l’a incinéré sans en demander la permission à sa famille. Les détails sur la mort de Sun Jihong font l’objet d’une enquête mais la police empêche les informations de sortir du camp.

Le cas de Sun Jihong n’est pas isolé – en fait, les témoignages de harcèlement, de pillage chez l’habitant, d’agressions, de détentions arbitraires, et de décès sous la torture ne font que se multiplier. Les tentatives désespérées de Jiang Zemin pour éradiquer le Falun Gong font un nombre incalculable de victimes. Des familles sont brisées, des citoyens emprisonnés et les innocents torturés et massacrés.

Pour se laver de leur responsabilité les policiers renvoient chez eux les pratiquants torturés qui sont sur le point de mourir

Souvent les pratiquants de Falun Gong sont torturés, battus et soumis à des mauvais traitements au point d’être dans un état entre la vie et la mort. Le but est de les faire renoncer à leur croyance et à la pratique du Falun Gong. On demande au pratiquant de signer « une déclaration de garantie » en lui promettant qu’ il sera relâché si il signe. Mais les officiels et la police sont forcés de constater que la violence, la torture, les coups, les menaces et les abus répétés n’ont aucune prise sur les pratiquants. En conséquence, ce sont ces pratiquants là souvent qui souffrent beaucoup plus aux mains des policiers, au point qu’ils en meurent. Dans certains cas, lorsqu’ils se rendent à l’évidence et que toutes leurs méthodes et pressions diverses ont échoué, les policiers renvoient les pratiquants pour qu’ils meurent chez eux de façon à éviter toute responsabilité. Voici les cas les plus récents de pratiquants de Falun Gong maltraités envoyés au site Falun Info :

 La pratiquante de Falun Gong Wang Jijin a enduré une persécution indescriptible au camp de travail pour femmes de Chongqin Maojiashan. Après avoir survécu pendant des jours aux mauvais traitements infligés par les autorités du camp, elle a continué à résister pour survivre. La police a recruté 7 ou 8 prisonniers criminels pour lui administrer « un traitement médical » qui consistait à la forcer à avaler une substance non identifiée contre les blessures occasionnées par la torture. A ce moment-là, le corps de Wang est entré dans des spasmes violents et les autorités responsables se sont rendues compte de la gravité de son état. A la suite de quoi, les policiers ont renvoyé Wang chez elle pour tenter d’échapper à leur responsabilité. Elle crachait du sang, toussait, vomissait, elle avait la diarrhée et du sang dans les selles, souffrait de spasmes abdominaux, de caillots de sang sous la poitrine, d’insomnies et elle ne tenait plus sur ses jambes. Le 23 septembre 2002, Wang est morte à l’âge de 29 ans.

Zheng Yiqin originaire du village de Beihan dans le comté de  Laiyuan a été envoyé deux fois dans un camp de travail par la police de Laiyuan et le bureau  610 local pour une période totale de plus de deux ans. Alors qu’il était dans le camp de travail de Baoding, il a entamé une grève de la faim. Les policiers l’ont gavé de force avec des aliments toxiques qui ont provoqué chez lui une haematemesis. On a autorisé sa famille à venir le rechercher seulement quand il est devenu évident qu’il allait mourir. Il est décédé quelques jours plus tard, le 11 septembre 2002.

Zhang Jianxun, un fonctionnaire retraité âgé de 64 ans, a été kidnappé chez lui et emmené de force par les autorités locales pour assister à une session de lavage de cerveau parce qu’il continuait à pratiquer le Falun Gong. Lors de cette session, il a reçu des pressions pour qu’il signe une déclaration de garantie, promettant de renoncer au Falun Gong. Parce qu’il a refusé de coopérer il a été envoyé dans un camp de détention pour deux mois. Après avoir été transféré dans un autre camp, il a subi une nuit de tortures qui l’a laissé paralysé. Des mois après, dans des conditions inconnues et après avoir subi des persécutions qu’on ignore encore, Zhang a été renvoyé chez lui pour y mourir.

Les pratiquants visés par la persécution perdent leur travail, leur maison et leur vie

 Souvent les pratiquants de Falun Gong qui échappent à la prison et au camp de travail sont victimes d’autres formes d’emprisonnement: le harcèlement au quotidien. De nombreux pratiquants sont suivis en permanence, harcelés et soumis à diverses pressions pour qu’ils renoncent au Falun Gong et / ou assistent aux sessions de lavages de cerveau quotidiennement. Leurs moyens d’existence sont menacés directement ou indirectement par les pressions exercées sur leurs employeurs. Certains sont emmenés de force loin de chez eux et de leur famille, y compris les jeunes enfants et les personnes  âgées. Tous sont placés dans des conditions de vie extrêmement instables et parfois leur vie est mise en danger. Après de longues périodes de harcèlement et de persécutions, quand ils sont finalement capturés par les autorités, ils sont épuisés et il ne suffit parfois que de quelques jours de torture et de mauvais traitements avant qu’ils meurent.

La police locale s’est introduite sur le lieu de travail de Wang Jiaxian et elle lui a confisqué ses livres de Falun Gong. Alors qu’il tentait de les protéger, la police s’est jeté sur loi et le lendemain matin sa famille l’a retrouvé mort.

Licencié et force à s’enfuir

Zhao Dongmei a été licenciée parce qu’elle pratiquait le Falun Gong. En décembre 2000, elle s’était rendue à la Place Tiananmen pour déployer une banderole sur laquelle on lisait « le Falun Dafa, c’est Génial ». On l’a reconnue et renvoyée dans le centre de détention le plus proche de chez elle. A l’époque, elle était en bonne santé et continuait à pratiquer alors qu’elle était détenue illégalement. Les policiers l’insultaient et la rouaient de coups, ils l’ont menottée pour l’empêcher de vivre normalement. Elle n’avait plus le choix que d’entamer une grève de la faim. Une semaine plus tard, la police a requisitionné des prisonniers pour faire manger Zhao de force. Sans faire attention ils lui ont bouché la trachée. Le lendemain, Zhao est tombée gravement malade et a été envoyée à l’hôpital. Elle est morte peu de temps après le 27 décembre 2000.

 Zhang Zhongjie a été licencié pour avoir refusé de signer le document de garantie promettant de renoncer à pratiquer le Falun Gong. Il a été arrêté par la police mais a réussi à s’enfuir pendant l’interrogatoire, afin d’échapper à la surveillance et au harcelement des policiers. Juste avant le nouvel an chinois en l’An 2000, la police a de façon inattendue demandé à sa famille de venir reconnaître son corps. On pouvait voir qu’il était mort depuis longtemps, qu’il avait été enterré et exhumé, son visage était méconnaissable. Sa famille n’a pu le reconnaître qu’à une marque distinctive sur son corps. La  police a prétendu qu’il s’était jeté d’un train après avoir été arrêté.

Liu Fupa, une veille dame de la province de Hebei était détenue depuis 1999. En l’An 2000 elle a réussi à échapper aux sessions de lavage de cerveau. Elle a été contrainte de quitter sa maison pour ne pas être suivie et harcelée. En juillet 2001, elle est morte suite à des persécutions incessantes (détails non divulgués) pour sa croyance en Falun Gong.

Un pratiquant traqué pendant presque deux ans meurt après avoir été torturé pendant cinq jours

Sun Jihong de la province de Heilonjiang était traqué. Harcelé en permanence pour qu’il renonce au Falun Gong il a été forcé de quitter sa maison le 7 janvier 2001. Il a réussi à se rendre à Pékin pour révéler la vérité sur le Falun Gong et la persécution du régime. Lors de la journée de Falun Dafa à Pékin, le 4 février 2002, Sun est allé sur la place Tiananmen pour faire appel pacifiquement et a été arrêté peu de temps après pour avoir déployé une banderole. Il a protesté contre son arrestation en entamant une grève de la faim et a été relâché 14 jours plus tard. Dans la nuit du 10 mai, Sun a été victime de délation à Pékin et la police a pu le localiser. Ils l’ont traqué, puis ils ont pillé sa maison et l’ont emmené. Lors de sa détention, il a de nouveau protesté contre cette arrestation arbitraire en entamant une grève de la faim. La police a tenté de le forcer à manger sans y parvenir et ce pendant neuf jours consécutifs.  Bien que la police de Pékin ait eu l’intention d’envoyer Sun dans un camp de travail, en voyant que malgré toutes leurs tentatives ils ne pouvaient pas ébranler ses convictions, ils l’ont confié aux policiers de sa province. Sur le chemin du retour escorté par les policiers, Sun s’est échappé en sautant du train et est retourné à Pékin. Des mois plus tard, le 25 septembre 2002, alors que Sun prenait le bus à Pékin, la police l’a reconnu et l’a kidnappé. Vers la fin septembre, quelques jours après sa dernière arrestation, Sun est mort sous la torture. Lorsque sa famille a finalement eu la permission de voir son corps, ils l’ont trouvé dans un état effrayant. Peu de temps après la police a incinéré son corps sans avoir eu l’autorisation de sa famille. Les détails de  la mort de Sun Jihxng font l’objet d’une enquête mais la police empêche les informations de sortir du camp.

La police attaque des groupes paisibles de pratiquants chez eux

 Parce que les pratiquants de Falun Gong sont surveillés par la police et les autorités locales, ils sont souvent suivis jusque chez eux et dans des endroits où ils se retrouvent pour pratiquer les exercices de méditation du Falun Gong. Certaines traques deviennent macabres lorsque des pratiquants sont capturés et battus à mort sur place ou meurent en essayant de prendre la fuite. Dans la majorité des cas, pour ne pas dire dans tous les cas, la cause du décès est déclarée comme un « suicide ». Les cas récents cités ci-dessous sont ceux de pratiquants qui ont été suivis et capturés par la police dans des endroits où ils se retrouvaient en groupe..

3 morts après que la police ait pillé un lieu où se trouvaient des documents sur le Falun Gong

Le 18 septembre 2002, le pratiquant Mi Zhongsheng  a été suivi par la police alors qu’il transportait du matériel d’impression vers un lieu où étaient stockés des documents sur le Falun Gong. Mi et plusieurs autres qui étaient sur les lieux, y compris Jiang (nom de famille inconnu) et Yong Hongyan ont été arrêtés et envoyés dans un camp de travail forcé. Yang, qui avait été libéré d’un camp de travail quelques mois plus tôt, et deux autres avec lui ont sauté par la fenêtre et sont morts aussitôt. Mi, qui avait été arrêté auparavant et avait pu s’échapper, est mort alors qu’il était battu et entraîné de force par la police. Jiang est mort après être resté quelques jours dans le coma et trois autres pratiquants ont été battus et arrêtés par la police. Le matériel d’impression, d’une valeur de 20 à 30 000 Yuans ainsi qu’une grosse somme d’argent ont été confisqués.

Cinq pratiquants de Falun Gong sont tombés dans une embuscade de policiers et ont été kidnappés avec violence alors qu’ils étaient en train de pratiquer la méditation ; trois sont portés disparus, l’un d’eux est en camp de travail, un autre est mort.

Le 25 septembre 2002, la police est entrée par effraction dans la maison d’un pratiquant et a kidnappé Liao Zhaoqi ainsi que quatre autres pratiquants de Falun Gong alors qu’ils étaient en train de pratiquer leurs exercices. Les policiers ont confisqué les livres, les photos, les documents, les CD et des affaires personnels, dont 3500 Yuans en liquide, et a tenté de contraindre Liao à révéler l’origine des documents et à dénoncer d’autres pratiquants. Elle a refusé et entamé une grève de la faim. Pour tenter de torturer Liao sans laisser de trace, les policiers l’ont battue sur la poitrine, lui cassant des côtes et provoquant des hémorragies internes, ils lui ont injecté des drogues pour l’empoisonner, et ses gencives se sont infectées après qu’ils aient tenté de la faire manger de force. Finalement, dans la nuit du 3 octobre, le corps de Liao a été pris de spasmes violents et elle a été envoyée à l’hôpital. Elle y est morte peu de temps après. La police en a informé son fils le lendemain et sa famille a réclamé que son corps soit examiné sans délai. La police a prétendu que son corps n’était plus à l’hôpital et qu’il avait déjà été envoyé au crématorium. Ils ont dit à la famille qu’elle ne pourrait pas prendre de photos ni mener de cérémonie funéraire pour la défunte. Après maints efforts, la famille a finalement pu voir son corps, il était raide, noircit par endroits et couvert de bleus. Le médecin légiste a essayé de cacher les preuves de torture sur son corps, mais la famille de Liao a vu que du sang était sorti de sa bouche et que ses côtes cassées pointaient sous la peau des deux côtés de sa poitrine. Elle a vu des piqûres d’aiguille près de son oreille droite. Lorsque la famille de Liao a demandé une autopsie, la police a refusé et au lieu de cela a forcé le fils de la défunte à signer une décharge renoncant à l’autopsie. Dong Yuying  est détenu dans le comté de Dayi et le sort des trois autres pratiquants reste inconnu.

Des dirigeants de l’hôpital tuent un pratiquant qui avait entamé une grève de la faim

 Il n’est pas rare que des dirigeants d’hôpitaux qui sont responsables de l’état de leur patients participent à la mise à mort de leurs patients qui pratiquent le Falun Gong, plutôt que de les soigner. En conséquence, les pratiquants qui sont envoyés à l’hôpital risquent d’y être torturés et soumis à divers mauvais traitements plutôt que d’y recevoir une assistance médicale et de s’y faire soigner les plaies dont ils souffrent déjà. Les méthodes habituelles de torture à l’hôpital consistent à injecter des aliments par la force et des drogues non identifiées, attacher les gens à leur lit, les laisser sans assistance, les battre et les soumettre à d’autres mauvais traitements. Le cas suivant est celui d’un pratiquant qui a été tué par les dirigeants de l’hôpital dans la ville de Shanyang.

A l’hôpital Ankang de la ville de Shanyang, qui est un centre hospitalier de désintoxication, les responsables de l’hôpital sont tenus responsables de la mort d’un des patients au moins. Le directeur de l’hôpital et le docteur en chef ont gavé de force le pratiquant de Falun Gong Xong Xiangzhen alors qu’il était en grève de la faim, ils l’ont fait avec une telle violence que le pratiquant en est mort en septembre 2002.

Pour référence: les derniers cas de décès depuis le 18 octobre :

1.       Wang Jijin, femme de 29 ans, Zhongqing

2.       Zheng Yiqin, homme originaire du village de  Beihan , comté de Laiyuan

3.       Zhang Jianxun, homme de 64 ans

4.       Wang Jiaxiang, dans les 60 ans, originaire du village de Lujing, province du Shanxi

5.       Zhao Dongmei, femme de 28 ans

6.       Zhang Zhongjie, homme dont l’âge n’est pas précisé

7.       Liu Fupa, femme de 67 ans

8.       Sun Jihong, homme de la province de Heilongjiang

9.       Mi Zhongsheng, homme d’une trentaine d’années

10.   Jiang (nom de famille inconnu)

11.   Yang Hongyan, femme de 42 ans

12.   Liao Zhaoqi, femme de 57 ans

13.   Xong Xiangzhen


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Rappel: Le Falun Gong, ou Falun Dafa, est une pratique de méditation et d'exercices avec un enseignement basé sur les principes universels de "Authenticité, Compassion, Tolérance". C'est une pratique qui a été enseignée en privé pendant des milliers d'années avant d'être rendue publique en 1992 par Monsieur LI Hongzhi. Le Falun Gong a des racines dans la culture traditionnelle chinoise, il a permis à des millions de personnes dans plus de 60 pays du monde d'améliorer leur santé et d’élever leur critère moral. Le nombre de pratiquants en Chine ayant atteint les 100 million, le président chinois Jiang Zemin a interdit cette pratique pacifique en juillet 1999, de peur que le Falun Gong ne suscite plus d'enthousiasme que le Parti Communiste lui-même. Mais dans l'incapacité de faire renoncer les gens à des convictions qui leur avaient apporté une meilleure hygiène de vie et une plus grande richesse intérieure, le régime de Jiang a intensifié sa campagne de propagande pour monter l'opinion publique contre le Falun Gong et pouvoir ainsi tranquillement emprisonner, torturer et même tuer ceux qui le pratiquent. Depuis trois ans que la méthode est interdite en Chine, on constate que le régime chinois cherche aussi à imposer son discours diffamatoire à l'égard du Falun Gong auprès des gouvernements et des médias étrangers.

Site: http://falundafa.free.fr

Catégorie: Cas de décès