Six adhérents du Falun Gong incluant quatre Suisses font face au tribunal à la première inculpation criminelle portée par Hong Kong contre des membres du [groupe] de méditation. L’avocat de la défense, John Haynes a fait remarquer qu’après que les adhérents du Falun Gong aient été éloignés de l’emplacement de la manifestation lors de l’échauffourée du 14 mars, la police avait barricadé la zone et occupaient plus d’espace que les manifestants. Haynes procédait à l’interrogatoire serré d’un officier de police qui avait filmé l’indicent en vidéo, mais l’officier, Lam Hung-kuen, a répondu qu’il ne se souvenait pas de l’espace occupé par les barricades de la police car il était alors trop occupé à filmé la scène. Le deuxième jour du procès un plaignant a passé la cassette vidéo de la démonstration. Le procès a soulevé l’inquiétude que Hong Kong ne soit en train de toucher à la liberté d’expression et aux autres droits garantis lors de la rétrocession de l’ancienne colonie Britannique à la Chine voici cinq ans. […] […] Le plaignant Robert Lee a montré la vidéo de la police
pour essayer de prouver que les manifestants causaient une obstruction
publique. Le plaignant a également prétendu que les manifestants créaient une obstruction potentielle en levant une banderole exhortant Beijing a arrêter de tuer les adeptes sur le continent. Le Falun Gong déclare que des centaines d’adeptes sont
morts lors de gardes à vue policières dans cette répression par les
autorités de Chine continentale. les arrangements lors de la rétrocession
du territoire à la souveraineté Chinoise ont garanti en 1997 50 ans
de libertés aux citoyens de Hong Kong, et la ville est la scène de fréquentes
manifestations des membres du [groupe]. Les défendants disent que leur manifestation pacifique ne peut pas avoir été illégale. […] |
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Catégorie: Persécution hors de Chine