La police se sert de toutes sortes de moyens de torture pour persécuter les pratiquants de Dafa dans la ville de Linhe, en Mongolie Intérieure

La police se sert de toutes sortes de moyens de torture pour persécuter les pratiquants de Dafa dans la ville de Linhe, en Mongolie Intérieure.  (Vraiesagesse.net) En 2001, les pratiquants de Dafa ont organisé trois activités de grande envergure pour valider le Dafa aux gens de Linhe, en Mongolie Intérieure. Des affiches avec des messages tels que "Falun Dafa est une voie juste" étaient accrochées aux arbres, aux poteaux électriques et sur les édifices. Des écrits comme "Falun Dafa est bon" étaient peints sur de larges murs de la rue principale et une grande quantité de documents clarifiant la vérité étaient distribués. Plusieurs éléments perfides dans les autres dimensions étaient éliminés par les pensées droites. Plusieurs pratiquants de Dafa dans la région pouvaient aller de l'avant pour valider le Fa et offrir le salut aux êtres. [Note: sans avoir eu accès aux moyens typiques de communication tels que les journaux, les magazines, la télévision ou la radio, les pratiquants du Falun Gong ont recouru a plusieurs méthodes créatives et parfois inhabituelles pour soulever l'attention de la population chinoise au sujet de la persécution.] Le Bureau de la Sécurité Publique de Linhe a conspiré dans le but de faire des représailles en arrêtant les pratiquants de Dafa. En juin, ils ont lancé une poursuite des pratiquants de Dafa sur une grande échelle. Plus de 30 pratiquants ont été arrêtés et envoyés à un centre de détention. La police a privé les pratiquants de sommeil et les a interrogé jours et nuits en se relayant continuellement à tour de rôle. Afin de forcer les pratiquants de Dafa à abandonner leur croyance en Dafa, la police les a assujettis à une torture brutale. Un exemple est la pendaison avec des menottes ou avec des cordes. Après peu de temps, les menottes ou les cordes coupent la chair des pratiquants, coupant quasiment la circulation sanguine. Une autre torture est d'attacher les pratiquants dans une position telle qu'ils ne peuvent s'accoter sur quoi que ce soit ou ni se tenir debout.  Parfois la police forçait les pratiquants à "piloter un avion". Dans cette torture, la tête est penchée jusqu'à ce qu'elle ne puisse aller plus loin, pendant que les mains sont tirées vers le haut et tenues en l'air à leur plus haut point. Les hanches doivent pointer vers le haut. Ils sont obligés de garder cette position pendant une longue période de temps. Le corps dans cette position à l'air d'avoir la forme d'un avion, d'où l'appellation pour cette torture. Parfois, quatre policiers soulevaient un pratiquant par les bras et les jambes et le jetaient par terre. Pour protester contre la persécution, les pratiquants de Dafa ont fait la grève de la faim. La police a ensuite ordonné à des criminels de nourrir de force les pratiquantes de Dafa. Ces criminels se sont servis de pinces pour garder la bouche des pratiquantes ouvertes. Après six jours, une pratiquante dénommée Liu avait des contusions partout sur son corps et était dans une souffrance insupportable. Une autre conséquence sérieuse était que l'alimentation de force causait du dommage aux dents des pratiquantes de Dafa. Les pinces causaient souvent de grandes douleurs aux dents et aux gencives, rendant certaines dents branlantes. Il y avait des formes de persécutions encore plus vicieuses qui se produisaient dans le centre de détention. Parfois les pratiquants de Dafa étaient embarrés dans des "compartiments solitaires" pour souffrir -- et tout ce qu'ils pouvaient entendre était les policiers qui maudissaient et les pratiquants de Dafa qui étaient battus. La condition physique de certains pratiquants s'est détériorée sévèrement. Certains d'entre eux ont même perdu la capacité de marcher, ayant besoin de deux personnes pour les aider à marcher à l'extérieur lorsque les membres de leur famille venaient les visiter. Les policiers qui ont persécutés les pratiquants de Dafa sont: Directeur Yang, Directeur Liu et Directeur Hu (prénoms inconnus). Comme ils ont arrêté plus de 30 pratiquants de Dafa à ce moment, ils ont reçu un bonus de dix mille Yuans de leurs supérieurs. En plus, le policier a pris l'occasion pour extorquer environ 10 milles Yuans [Environ 10 mois de salaire pour un travailleur urbain moyen en Chine] des pratiquants de Dafa. 7/3/2002