A propos du fait qu'il arrive plusieurs fois de suite que des points de fabrication de documents rencontrent des ennuis

A propos du fait qu’il arrive plusieurs fois de suite que des  points de fabrication de documents rencontrent des ennuis Ecrit par un  disciple de Dafa de la province de Liaoning 1.   Qu’est ce que «  bien agir » ? Le Maître a dit «  Que vous agissiez bien consiste à ne pas suivre le chemin arrangé par les anciennes forces, le but est de ne pas laisser les anciennes forces profiter d’une lacune . » (Enseignement de la Loi à la conférence de loi à Washington DC) Avons-nous vraiment compris cela ? En reconsidérant ce genre de situation, on voir souvent que les pratiquants concernés avaient ce genre de propos : « les documents pour notre région, une quantité considérable, viennent tous de ma propre main, c’est moi seul qui m’occupe de tout ça. » « Dans telle ou telle région il y a tant de banderoles suspendues, mais nous n’avons pas bien fait, nous n’avons pas fait ce qu’il fallait » « les documents qui sortent de tel ou tel endroit sont plus beaux que ceux de l’autre endroit, on voit que l’ état de leur Xiulian est meilleur que celui des pratiquants dans l’autre endroit. »  On voit qu’ils prennent « combien on fait » et « le résultat qu’on obtient » comme critère du « bien agir », ils sont très affairés dans le travail, certains pratiquent les exercices quelque fois seulement pendant tout un mois, ils ne peuvent pas non plus apaiser leur cœur pour lire la Loi, ceux qui sont très occupés à imprimer les livres, n’ont pourtant pas de temps pour les lire. Mes compagnons en cultivation, le maître a dit à maintes reprises, « ce n’est pas un travail mais le Xiulian ». Il ne faut pas penser qu’en faisant toujours le travail de Dafa votre cœur soit naturellement dans la Loi. Les anciennes forces voyant que les pratiquants ont un attachement au travail aussi fort, un esprit de se faire valoir et un esprit de compétition aussi fort, elles arrangent alors chacune des pensées et idées des pratiquants, pour qu’ils cherchent des choses à faire alors même qu’ils pourraient être moins occupés. Par exemple, des pratiquants impriment en grande quantité  les anciens Jingwen du Maître sans être sûr de qui en a besoin ; ou ils prennent soin de faire des couvertures pour un Jingwen de quelques pages. Certains points de fabrication de documents font des compétitions dans les travaux qu’ils entreprennent, par exemple, ils impriment les nouveaux Jingwen du Maître dans un esprit de compétition avec les autres, cela entraîne de multiple fautes dans les mots, et en étant très pris par ce travail les pratiquants oublient et ne peuvent pas apaiser leur cœur pour lire la Loi. Réfléchissez, bien que pendant un certain temps on a accompli une grande quantité de travail, on ne peut pourtant pas maintenir un état normal pour lire la Loi, pratiquer les exercices et émettre la pensée droite, est-ce cela « bien agir » ? Si on ne peut pas se corriger à temps, à la longue, ne sera-t-on pas sujet à laisser une lacune aux ancienne forces  et porter préjudice à Dafa ? Le Maître a dit : « Quelle que soit la quantité de travail que les responsables ont fait parmi les gens ordinaires, c’est toujours travailler bénévolement pour Dafa, le succès du travail n’est que la forme de manifestation parmi les gens ordinaires, tandis que pouvoir faire obtenir la Loi aux gens et populariser Dafa est la puissance de Dafa lui-même et l’arrangement concret du Fashen. S’il n’y avait pas mon Fashen pour faire tout cela, sans parler de la propager la Loi, même la sécurité de ces responsables eux-mêmes serait difficile à garantir, c’est pourquoi vous ne devez pas toujours penser combien vous-même êtes formidable. Dafa n’a ni renom, ni intérêt, ni dirigeant, c’est seulement le Xiulian. » (« Frapper un grand coup » Jing Jin Yao Zhi) 2.   Comment « bien agir » ? 1)   Les disciples de Dafa sont un corps uni, on doit avoir une vision globale des choses Je me souviens d’un article sur le site Minghui qui raconte qu’un pratiquant a vu que dans sa région il y a une difficulté à obtenir les documents, donc il a envisagé d’acheter des instruments pour créer un point de fabrication de documents, comme par hasard, dès qu’il a eu cette idée, un pratiquant qui a habituellement très peu de contact avec lui, est venu lui proposer de lui fournir à temps divers documents en grande quantité, celui-là a donc annulé son projet de créer un point de fabrication de documents, et a décidé de venir en aide à ce pratiquant. Je trouve qu’un tel pratiquant a un esprit lucide, raisonnable, il ne s’attache pas à ce qu’il voulait faire, il a une vision globale des choses, en se positionnant dans Dafa, il fait ce qu’il doit faire. Il y a des pratiquants qui savent utiliser les ordinateurs et veulent travailler pour un point de fabrication de documents. Ils pensent qu’« un point de fabrication de documents a une exigence élevée envers les pratiquants et que par conséquent le fait d’y travailler favorisera leur élévation. » Donc, ils n’ont plus le cœur de distribuer les documents ou de faire d’autres choses, Je pense que ce genre de pensée est un attachement à son ego. « Chaque travail de Dafa est important, car il joue son rôle particulier dans l’ensemble de la rectification de la loi. Mais si on exagère sans principe l’importance d’une tâche à cause de la position et d’une compréhension personnelle, on peut en revanche jouer un rôle perturbateur pour l’ensemble, les leçons dans ce domaine sont déjà nombreuses et en même temps très marquantes » (Editorial du site Minghui : « le principe de la Loi et le sentiment humain ») Un disciple de Dafa doit dans chaque chose qu’il fait prendre Dafa comme le plus important, placer Dafa en première position, placer le fait que lui-même est un disciple de Dafa de la période de la rectification de la loi en seconde position. 2)   Dans un travail de Dafa, il n’y a pas d’ordres ou de chefs comme chez les gens ordinaires, chaque disciple de Dafa doit prendre la responsabilité envers Dafa. Il y a peu de temps dans notre région circulait une brochure intitulée « Emettre la pensée droite », elle venait d’autres régions, on y trouvait tous les textes ou phrases du Maître concernant l’émission de la pensée droite, y compris « la pensée droite des disciples de Dafa est puissante », et un extrait de l’« Enseignement de la Loi pendant la tournée en Amérique du Nord » qui parle d’émission de la pensée droite , dans le but de rappeler aux pratiquants d’accorder de l’importance à l’émission de la pensée droite, le point de départ est bon, mais le Maître a déjà clairement expliqué la façon d'apprendre la Loi, il n’est pas permis de prendre dans la Loi des phrases hors contexte, si on le fait, cela équivaut à saboter la Loi. Mais ces pratiquants se sont dépêchés de les imprimer en grande quantité et de les faire circuler, le cœur de vouloir bien faire ce travail est bon, mais si on s’attache seulement à faire quelque chose, sans avoir jugé d’abord si cela était bon ou mauvais selon la Loi, n’est-ce pas inconsciemment créer un effet inverse ? Ici, je voudrais attirer l’attention des pratiquants qui ont un travail en cours, ne cherchez pas uniquement à l’accomplir rapidement, mais prenez plutôt la responsabilité envers Dafa, envers vous-mêmes, apaisez votre cœur, mesurez tout avec Dafa, si vous remarquez un problème, il faut l’indiquer tout de suite, combler cette lacune, ne laisser aucune faille à la perversité. 3)   Bien régler le rapport entre l’étude de la Loi et le travail Un pratiquant a eu une surcharge de travail pendant long temps, il avait peu de temps pour lire la Loi et pratiquer les exercices, un jour, avec deux autres pratiquants, nous étions quatre à dîner ensemble, il a reçu trois fois de suite des appels téléphoniques d’un pratiquant sans qu’il y ait de motifs importants, il a piqué une colère et jeté brutalement son portable par terre. A ce moment je pensais qu’il devait avoir une très forte pression de travail, il avait dû manquer l’étude de la Loi et son état d’esprit n’était pas stable, après, un autre pratiquant présent m’a signalé qu’il ne fallait pas parler avec lui d’une chose qui suscitait toujours un débat, en même temps il lui a conseillé d’arrêter pour un moment le travail de Dafa qu’il avait entrepris, d’apprendre davantage la Loi. Je ne sais pas si lui a écouté ou bien s’il a trouvé que son travail ne pouvait pas attendre, en tout cas il a continué à être très occupé. Une vingtaine de jours plus tard, il a été arrêté, et cela a impliqué l’arrestation de plusieurs pratiquants qui travaillaient avec lui, le résultat est vraiment regrettable. Sur le moment je n’y ai pas prêté suffisamment d’attention, maintenant lorsque j’y pense, j'ai le cœur affligé. Le maître a parlé dans le stage de neuf jours à Jinan (ce ne sont pas les phrase originales) d’ une vieille dame qui avait raconté son expérience d’avant qu’elle ne pratique Dafa, elle s’était disputée avec les autres à cause de quelque pommes, puis elle avait jeté les statues de bouddha par terre, et son Xinxing avait chuté. Il est difficile d’imaginer qu’ à cause seulement de quelque pommes on puisse devenir ainsi, auparavant personne n’avait enseigné la vraie loi, le Maître nous a enseigné le secret du ciel : c’est que le Gong d’un pratiquant est à la même hauteur que son Xinxing, s’il rencontre de nouveau des conflits et que son Xinxing ne puisse pas s’élever en conséquence, ne serait-ce que pour une toute petite chose, s’il ne peut pas l’endurer,  cela peut le faire aller dans le sens opposé, c’est vraiment dangereux. Ici je voudrais attirer l’attention de mes compagnons en cultivation, si vous rencontrez ce genre de situation, il ne faut surtout pas simplement penser qu’il faut nous travailler sur l’« endurance », ou la « tolérance », on doit voir l’essentiel en dépassant l’apparence, n’est-on pas tous les jours très occupé par le travail de Dafa mais sans suffisamment lire la Loi, de sorte que notre Xinxing ne peut pas s’élever et que nous stagnons longtemps à un même stade. En fait une chose insignifiante peut être le détonateur. Ce n’est qu'un signal d’alarme, si nous ne faisons pas attention, continuons à « travailler malgré la maladie », nous sommes sujets à être envahis par la perversité. Je pense que dans ce genre de situation on ferait mieux de laisser de côté le travail en cours, apaiser le cœur pour lire la Loi, émettre la pensée droite, régulariser son état, après cela lorsqu’on reprend le travail, on peut facilement bien le faire. Dans un environnement aussi pervers qu’en Chine continentale, on doit surtout assurer que nos pas sont droits et bien posés, je pense que ce n'est pas de l’égoïsme. Depuis des dizaine d’années, la plupart des travailleurs modèles promus dans la société des gens ordinaires sont des gens qui malgré leur maladies travaillent toujours diligemment et finalement meurent en plein travail. Ma compréhension personnelle est que c’est aussi une conception arrangée par les anciennes forces, elles nous fait accepter que soigner notre maladie et prendre un congé est quelque chose d'égoïste, tandis que travailler malgré sa maladie jusqu'à donner sa vie est totalement altruiste. « Les anciennes forces prennent les hommes pour rien, elles les tuent quand elles veulent, dans la rectification de la loi elles ne s’attachent qu’à leurs arrangements. » (Enseignement de la Loi pendant la tournée en Amérique du Nord) Ce genre d’arrangement à la base n’a ni bienveillance, ni compassion. Il faut que nous nous demandions si on nous a inculqué aussi ce genre de conception et si nous ne suivons pas à notre insu le chemin arrangé par les anciennes forces. La compassion du Maître est immense, il prend soin de chaque disciple, il nous chérit plus que nous-nous chérissons nous-mêmes. Le Maître ne cesse de nous recommander "seulement en apprenant bien la Loi on peut bien faire le travail", "il ne faut pas faire le travail de Dafa sans lire la loi ", chacun de nous doit s'interroger à quel point nous suivons son conseil,  et si nous avons bien réglé le rapport entre l’étude de la Loi et le travail de Dafa. Ce sont quelques unes de mes idées personnelles, s’il y a des points incorrects, veuillez, mes compagnons en cultivation, me l’indiquer et me corriger, merci.