(Minghui.org)
Dès le début du mois d’octobre de l’an 2000, le camp de travaux forcés des Femmes à Dalian persécute les pratiquantes sans un seul jour de relâche.
Des mots diffamatoires sont accrochés aux murs, les haut-parleurs et les vidéos diffament constamment Dafa et Maître Li. Si les pratiquantes pratiquent les exercices ou étudient la Loi, elles sont battues, et les policiers emploient des matraques électriques pour les torturer. Il y a une pratiquante qui est morte au camp de travaux forcés après avoir fait une grève de la faim et avoir enduré une torture horrible.
Le 19 mars 2001, pour forcer les pratiquantes à abandonner leur croyance, toutes les pratiquantes ont dû se tenir contre le mur et se pencher, leurs mains attachées à leurs chevilles, pendant un jour et une nuit. Si les pratiquantes bougeaient un tout petit peu elles étaient battues avec les matraques électriques. Quelques pratiquantes de Dafa ont violemment vomi, les deux jambes enflant et devenant d’une couleur sombre. Si les pratiquantes s’écroulaient, les gardes apportaient un crayon et du papier et demandaient à la pratiquante d’écrire une soi-disant “promesse” d'abandonner Dafa. Quelques pratiquantes ont écrit la lettre contre leur volonté sous une telle pression. Mais lorsqu’elles ont réalisé ce qu’elles avaient fait, elles ont écrit une autre lettre déclarant que la lettre précédente était annulée et vide. Les gardes hurlaient que si les pratiquantes n’écrivaient pas la « promesse », elles demeureraient dans la position penchée. Ceci a entraîné la mort d’une pratiquante et de graves blessures à une autre. Les gardes ont aussi invité des anciennes pratiquantes qui se sont retournées contre Dafa sous la contrainte du camp de travaux forcés de Masanjia, pour répandre des mensonges. Quelques pratiquantes ont été empoisonnées par leurs mensonges. Les pratiquantes qui refusaient de les écouter étaient battues 24 h/24. On employait des balais et des pieds de chaises pour les frapper et ceux-ci se cassaient quelquefois durant les raclées.
En juin 2001, une pratiquante de Dafa a été battue à mort par quelques anciennes pratiquantes qui se servaient de bouteilles de plastique remplies d’eau. Plus tard ce sont M. Chen Jiafu et M. Liu Yonglai qui ont été torturés à mort dans le camp de travaux forcés pour hommes.
Au début de l’an 2002, plusieurs pratiquantes de Dafa ont fait une grève de la faim. Quelques pratiquantes incluant Zhang Ming, ont quitté le camp grâce à leur esprit droit. Certaines pratiquants ont subi une grave persécution. Les gardes du camp ont employé des criminels prisonniers pour torturer les pratiquantes qui faisaient grève de la faim. Ils ont soumis les pratiquantes à un châtiment spécial appelé "pikua" (les pratiquantes étaient suspendues par les mains et par les pieds). Les méthodes de tortures suivantes étaient aussi utilisées : bâtons insérés de force dans leur vagin, être nourries de force avec des piments rouges et de brutales raclées. D’autres exemples incluent : de l’eau bouillante versée sur le corps des pratiquantes, privées de sommeil, périodes prolongées de station debout – jusqu’à plusieurs jours, forcer de se tenir pied nus en hiver avec les fenêtres ouvertes, placer un tube poussé dans l’estomac des pratiquantes et le laisser là, attacher à un lit. Zhang, une prisonnière criminelle a torturé les pratiquantes dans de petites cellules, pour réduire sa propre peine de prison. Il y en avait quelques autres qui participaient aux tortures contre les pratiquantes de Dafa, par exemple Sun Bo, Guo Lin, Wang Xin, et Ge Hong. Mais les pratiquantes comme Mme Wang Lijun, Mme Sun Yan, et Mme Man Chunrong n’ont pas abandonné sous la torture. En 2003 Mme Wang a été torturée dans une petite cellule, et a été blessées aux deux pieds au point qu’elle ne pouvait presque plus marcher. Mme Sun Yan et Mme Man Chunrong ont enduré plusieurs formes de grave torture pour ne pas avoir obéi aux gardes. Elles ont toutes deux persisté dans leur cultivation.
Les nouvelles pratiquantes de Dafa capturées sont envoyées dans les équipes criminelles, ou elles reçoivent un rude traitement et sont placées sous étroite surveillance. On leur ordonne de réciter les règles de la prison. Certaines pratiquantes refusent et sont battues dans des petites cellules spéciales, et sont forcées d’assister aux classes de lavage de cerveau.
En 2003 la police a employé des prisonnières criminelles pour surveiller les pratiquantes fermes. Dans le 2ème escadron, les pratiquantes devaient faire de durs travaux forcés pendant plus de dix heures par jour. Si elles ne finissaient pas leur travail, on les privait de nourriture et de sommeil. Aucune conversation entre pratiquantes n’était permise, et le chef du groupe avait reçu l’ordre de ne pas parler du Falun Gong avec les pratiquantes fermes. Les pratiquantes étaient souvent fouillées pour trouver des documents de Dafa. Si on en trouvait, les pratiquantes étaient envoyées dans de petites cellules pour être torturées. La police employait souvent des approches très dures pour augmenter leur taux de succès de « réforme ».
Les gens suivant ont tous personnellement battu les pratiquantes de Dafa: le Directeur du camp de travaux forcés de Dalian, Zhang, le Chef de Brigade Han Wan, le Chef d’équipe Yang, et Duan Huixian. Le Directeur Zhang a dit une fois: "N’avez-vous pas parlé de la perversité? Je suis en effet pervers."
Traduit au Canada le 25/10/2003
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