(Minghui.org)
Xin Baodong, un pratiquant du Falun Dafa vivant dans le village de Nanguan, Ville de Sanhe, province de Hebei, a été arrêté illégalement et détenu en Centre de Détention du Département de Sécurité Publique de Sanhe. Il a été blessé grièvement suite aux agressions de la police. L'hôpital de cette ville a refusé de le soigner et l'a redirigé à l'Hôpital de l'Armée Chinoise de Libération du Peuple No.263 à Tongzhou, dans la ville de Beijing, où un docteur a diagnostiqué huit côtes fracturées, un tympan perforé et l'oeil doit sévèrement endommagé. Ses côtes ont été fracturées par neuf jours de raclées continuelles. Sa cage thoracique était remplie de sang et de liquide, ce qui a mis sa vie en danger. Dans ses premiers jours passés à l'hôpital il était semi-conscient. L'assistant-chef du département, Wang Weiyi, et le chef du Centre de Détention de Sécurité Publique, Geng Desheng, sont les responsables dans cette affaire.
Ayant peur que Xin Baodong ne s'échappe, quatre ou cinq agents de la Sécurité Publique le surveillaient quotidiennement. Pendant plusieurs jours, Xin Baodong continua de pratiquer les exercices et d'envoyer la pensée droite. Son corps récupéra très rapidement. Après dix jours il reçut congé de l'hôpital, qui refusa d'assurer un quelconque suivi. Étant donné que le Bureau de la Sécurité Publique payait les frais, l'hôpital n'a fait affaire qu'avec eux.
Pendant son séjour à l'hôpital, sa persécution fut publiée sur le site web Minghui (Clearwisdom.net), exposant ainsi les faits à travers le monde.
Après son congé de l'hôpital, Wang Weiyi et Geng Deshong ont produit un document d'entente écrite pour que Xin Baodong le copie. Ils l'ont alors menacé que s'il ne signait pas l'entente il ne serait pas dédommagé. Xin Baodong fut privé dans l'entente du droit de poursuivre légalement les criminels qui l'avaient persécuté. Seuls les frais d'hôpital et de nourriture lui furent payés. Sa libération fut attribuée à sa maladie pour masquer les faits.
Plus tôt cette année, la police a voulu arrêter Xin Baodong à nouveau. Xin Baodong était dans un magasin quand un néon a explosé soudainement. Après avoir expérimenté plusieurs "coincidences", il a senti le danger imminent et quitté les lieux. Quelques minutes plus tard la police arrivait pour l'appréhender, mais en vain.
La persécution illégale de Xin Baodong s'est étendue aux membres de sa famille, parenté, voisins et autres personnes. Une soeur aînée et une dame âgée de plus de 70 ans qui l'avaient aidé auparavant ont été arrêtées et emmenées au Bureau de la Sécurité Publique. la police est allée à leurs demeures et a illégalement interrogé les membres de leurs familles.
Le fils de Xin Baodong était en train d'acheter des items dans une boutique quand des policiers en civils ont pénétré dans l'établissement et ont arrêté toutes les personnes présentes sans explication. Ils ont été emmenés au Bureau de la Sécurité Publique, interrogés et la police a contacté leurs unités de travail. Finalement, tous ont été relâchés, à l'exception du jeune fils de Xin Baodong qui a dû demeurer debout dans le corridor jusqu'à ce que l'école soit presque terminée. Il put ensuite s'en aller. Quand il est retourné à l'école, son professeur lui a demandé ce qui s'était passé et il lui a décrit les événements. Le professeur a pleuré et l'enfant a sangloté aussi.
Le jour ou Xin Baodong et Gao Shuying ont été arrêtés, la sœur aînée de Mr. Xin et son mari sont arrivés à la maison de Mr. Xin. La police, qui gardait la maison de Xin Baodong, les ont détenus dans la maison pour deux jours et la police est demeurée à cet endroit pour plusieurs jours. Leurs actions ont créé une pression immense sur les enfants et les aînés de la famille de Xin Baodong. La police a fouillé la demeure à plusieurs occasions pour harceler la sœur aînée de Xin Baodong et elle a aussi été traquée illégalement. Les maisons des proches de Mr. Xin ont aussi été fouillées pour les harceler. La police a amené illégalement le frère de Mr. Xin et sa belle-soeur au Bureau de la Sécurité Publique pour les interroger et leur maison a été saccagée. La police a même saccagé des demeures de villageois n'ayant aucun lien avec Xin Baodong.
Pendant la période ou Xin Baodong était dans un camp de travail forcé vers la fin de l'année 2000, Gao Shuying était détenue illégalement. Elle commença une grève de la faim qui dura sept ou huit jours et fut ensuite relâchée. Ce matin même vers 4 ou 5 heures, le directeur administratif de la ville de Juyang, Shi Lijun, est entré de force dans la maison avec un groupe de personnes. La fille de Gao Shuying a bloqué leur entrée, mais ils ont pris la fille de force, qui ne portait que des vêtements légers.
Plusieurs policiers ont pénétré dans la chambre à coucher de Gao Shuying avant l'aube et ont tiré la frêle dame hors du lit avant même qu'elle ait le temps de se lever et ils l'ont emmenée. Sa fille a été forcée de se tenir nu pieds face à mur sur du ciment froid en hiver comme punition.
Tous les niveaux du Bureau de la Sécurité Publique ont exercé des pressions sous les ordres de l'assistant-chef de la Station de Police de Juyang, Ma Zhixing. Les membres du gouvernement responsables sont les membres du Comité du village de Nanguan. Le directeur du village, Feng Jianzhong, rôde souvent autour de la maison de Xin Baodong et intimide ses deux enfants. Sous une si grande pression, ayant à gérer les travaux scolaires en plus des tâches ménagères et aussi de veiller sur leurs grands-parents qui ne sont plus autonomes, ils ont tout de même eu de bonnes notes à l'école et sont passés au niveau supérieur.
Xin Baodong et sa femme ont enduré des menaces extrêmes jusqu'à être forcés de quitter la maison pour éviter la persécution. La mère de Xin Baodong, qui souffrait de cette terrible injustice, n'a plus pu supporter cet immense fardeau psychologique et a rendu l'âme
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