(Minghui.org)

Par une pratiquante chinoise vivant à l’extérieur de la Chine

26 octobre 2003

Durant les quelques années passées depuis que j’ai commencée à pratiquer Falun Dafa, ma vie a été très uniforme sous tous les aspects. J’ai beaucoup profité de Falun Dafa, incluant être en bonne santé, bien m’entendre avec les autres, avoir un revenu financier solide, aidant et inspirant constamment les pratiquants à s’élever, et chacun de mes souhaits, qui était utile à la validation de la Loi, était rapidement réalisé. A chaque étape, j’étais capable de sentir la merveille de Dafa dans mon cœur, ce qui est difficile à décrire en paroles.

Cependant, je ne les chérissais pas. De plus, sans m’en rendre compte, j’ai graduellement développé des attachements à chercher le confort, être excessivement heureuse, l’étalage, etc. parce que je n’avais pas vraiment abandonnée mon moi et mes vues personnelles pour étudier la Loi. Ignorante du moment où ceci a commencé, je traitais tout comme étant naturel. Petit à petit, j’ai commencée à aimer cette uniformité et merveille dans ma vie quotidienne et même à l’occasion à les étaler devant les pratiquants.

Récemment, je n’ai pas bien fait sur des problèmes importants au moment crucial. La perversité a sérieusement profitée de moi, et c’était très pénible. C’est arrivé soudainement et a eu une forte répercussion dans mon cœur, me forçant à me re-évaluer. J’ai trouvée que plusieurs problèmes et lacunes existaient en moi-même, auxquelles je devais faire face et enlever un par un.

J’ai trouvée que je n’étais pas raisonnable et n’avais pas établie une bonne base lors de ma cultivation journalière. J’étais souvent dans une joyeuse disposition, me sentant tranquillement ravie en pensant aux choses intéressantes dans ma vie. Cependant, je ne l’ai pas décelée et j’ai nourri un attachement à être excessivement joyeuse. Lorsque je rencontrais un problème, je gardais encore avec moi ces choses déraisonnables, et ne pouvais pas me concentrer. La leçon était importante. J’avais toujours appréciée la bonté et la joie qui peuvent être obtenues dans le monde humain, et n’avais pas profitée des conditions favorables pour cultiver plus assidûment et faire mieux.

J’ai sentie que je marchais sur le bord d’un précipice et toute négligence me ferait tomber dans une vallée profonde. La cultivation est une chose sérieuse, mais je la traitais comme un jeu d’enfant. Je me suis calmée pour examiner combien d’efforts je mettais vraiment dans la Loi. J’ai réalisée que je ne mettais pas Dafa comme première priorité, mais à la place venaient mes buts et gains personnels.

Un pratiquant m’a rappelé en disant: « Ta situation est contraire d'être bonne. Tu nous assignes les tâches et alors tu vas dormir à la maison. » Pendant une longue période j’ai rarement envoyé des pensées droites quatre fois par jours en accord avec les pratiquants dans le monde. Une fois j’ai suggéré aux pratiquants que nous devrions faire les exercices à chaque matin comme les pratiquants faisaient sur le Continent dans le passé. Une demie année est passée depuis ma suggestion, et jusqu’ici je ne me suis pas une fois montrée à la hauteur de ma suggestion.

Lorsque les pratiquants de la Chine Continentale risquaient leur vie et faisaient de leur mieux pour s’avancer pour valider la Loi, je dépensais mon énergie à vivre une meilleure vie, à mieux cuisiner la nourriture, et à valider la Loi plus uniformément. Les choses que je pouvais faire aujourd’hui étaient remises au lendemain ou à plus tard. Je passais tout mon temps à clarifier les faits aux étrangers mais ignoraient mes amis proches et les membres de ma famille, puisque je trouvais difficile de clarifier les faits à mes proches et ne voulaient pas y faire face ou le résoudre, essayant de l’éviter en tout temps.

Chaque aspect indiquait que j’avais des problèmes fondamentaux. J’étais encore avec Dafa, validait encore la Loi et me demandait encore d’abandonner mes attachements. Mais derrière tout ça il y avait un attachement : je voulais obtenir tous les gains et profits du monde humain en cultivant et en m’améliorant. Je voulais bien étudier la Loi pour réduire la perte et la persécution. Je ne voulais pas résoudre le problème fondamental. En fait, je me chérissais plus que je chérissais Dafa. Ceci n’étais pas être responsable envers moi-même, et n’étais pas respectueux envers Dafa et envers notre Vénérable Maître. J’avais pris de la Loi mais n’avais pas régulièrement contribuée à la Loi. Mon esprit était très sale. En fait, c’était exploiter Dafa et jouer des jeux avec la bienveillance du Maître.

J’étais choquée lorsque j’ai triée tout ça. Tous les problèmes que j’avais trouvés et soulignés dans les pratiquants existaient en moi-même. Mais, je ne m’en étais pas rendue compte. En fait, les pratiquants proches sont comme un miroir qui peut refléter nos lacunes. Cependant, je ne m’étais jamais regardée, n’avais jamais regardé à l’intérieur mais toujours à l’extérieur. En fait, je ne restais pas concentrée sur la cultivation. Cette fois j’ai découvert un sale égoïsme, un individu égoïste et dégénéré. Je me sentais mal. J’ai alors réalisé que je ne devrais pas vivre dans la tristesse et le regret et que je devrais être ferme sur ma voie future. Qu’importe si j’avais mal fait dans le passé, je devrais y faire face aujourd’hui et ne pas accepter le prolongement de son existence. J’ai réalisée que je devrais renforcer ma confiance à enlever tous mes problèmes fondamentaux, corriger ma position et faire mieux.

En fait, ayant obtenue une grande loi universelle si précieuse, portant ce titre glorieux de « pratiquante de Dafa », je devrais faire le travail le plus glorieux avec un cœur dévoué et pur, être responsable envers moi-même, envers les êtres et envers l’univers du futur.

Date de Parution : 9/11/2002

Traduit au Canada le 10/11/2003