(Minghui.org)

Le centre de réadaptation pour drogués de Harbin (dans la province de Heilongjiang) emploie diverses méthodes pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. La police du centre demande aux pratiquants s’ils continueront à pratiquer Falun Gong; si les pratiquants répondent oui, la police ordonne à des prisonniers de les battre.

La police force également chaque jour les pratiquants de Falun Gong à effectuer des quantités de travail excessives. Parfois, afin de finir les tâches assignées dans les délais, les pratiquants doivent travailler toute la nuit.

De plus les pratiquants de Falun Gong sont forcés de passer quotidiennement à des sessions de lavage de cerveau. Ils ne reçoivent pas assez à manger et on les empêche de dormir. Les pratiquants déterminés sont mêmes soumis à un traitement encore plus vicieux ; leurs jambes sont attachées au lit et ils sont suspendus en l’air par leurs mains.

Certains pratiquants sont emmenés au sous-sol, dépouillés de leurs vêtements et forcés de s'asseoir dans un baril rempli d’eau. La police verse alors de l’eau froide sur le corps des pratiquants, couvre leur tête avec des bassines métalliques et insère des matraques électriques dans l’eau. Chaque choc percute les pratiquants, ils ont l’impression que leur tête va exploser, alors que leur bras et leurs jambes deviennent engourdis. Cette sensation est insupportable. Certains pratiquants en sont revenus totalement désorienté, leur corps entier et le visage gonflé et ils souffrent d’incontinence fécale et urinaire.

La pratiquante Mme Li Shufen, originaire de la ville de Hegang, a été illégalement arrêtée par la police le 14 mai 2002. Plus tard elle fut envoyée dans le centre de réhabilitation pour drogués de Hegang et y fut persécutée pendant longtemps. Suite aux tortures subies elle est maintenant paralysée.

Mme Jiang Rongzhen pratiquante du Falun Gong, originaire de la ville de Jixi, a été torturée à mort en décembre 2002.

Pourtant les pratiquants du Falun Gong n'ont pas succombé à la torture. Une pratiquante, Mme Li Lihua, a décroché le mal acquis « insigne d’honneur - du Centre de réhabilitation pour drogués, un acte qui a secoué la police.


Traduit en français le 12/20/03