Par un pratiquant de Chine

(Minghui.org)

Il y a plusieurs choses honteuses qui se produisent au camp de travaux forcés de Masanjia à chaque jour, et les officiers du camp ont peur que ces choses là soient exposées.

Une fois, il y avait un groupe d’inspection venu de Beijing, faire  inspection au  camp de travaux forcés, accompagné de journalistes de Hong Kong et d’outre -mer. Le camp au complet a travaillé fort pour préparer  la visite. Pour cacher le nombre important de pratiquants de Dafa qui y étaient détenus là illégalement et dissimuler les conditions de vie  tellement pourries, les policiers du camp ont déplacé la plupart des détenus. À peu près cinq à six cents ont été envoyés par autobus à la  cafétéria d’un camp junior tout près,  laissant seulement les détenus qui avaient accepté de coopérer avec le camp et de mentir aux journalistes pendant leur visite. Normalement huit détenus partagent un lit. Les fonctionnaires ont enlevé tous les édredons sauf un à chaque lit, pour démontrer que seulement une personne utilisait chaque lit.

Leur « performance » a réussi et le groupe de journalistes est  parti. Ce soir-là, tous les détenus sont revenus. Quand nous avons demandé aux policiers, la raison pour laquelle  ils avaient menti en tant que membres du Parti, ils ne savaient pas quoi dire.  Plus tard un policier a dit : « Le Parti est toujours comme ça, n’est-ce pas? »

Voici ce dont j’ai témoigné personnellement. Plusieurs reportages sur le camp de travaux forcés de Masanjia par les médias sont le résultat de mensonges comme ceci. Ils font tout pour tromper le public, surtout celui d’outre -mer.

Traduit au Canada le 19 mai, 2003