(Minghui.org)
Rapport du 3 mai 2002: M. Wu Baowang, 35 ans , vivait dans le village de Qunli, banlieue de Qingling dans la ville de Shuangcheng, province de Heilongjiang. Il avait un diplôme du collège de Zhaolin de la ville de Shuangcheng et était expérimenté en calligraphie. C'était une personne aimable et honnête. Il avait commencé à pratiquer le Falun Gong en 1994, il était très actif et avait fait beaucoup pour introduire le Falun Dafa au public. Afin que plus de personnes de chez lui obtiennent le Loi, il avait dépensé tout ce qu' il avait épargné pour sa famille pour acheter une TV et un magnétoscope. Il était allé d'un village à l'autre pour faire entendre les conférences du Maître et enseigner bénévolement les exercices aux gens. Il avait été dans tous les villages de la banlieue de Qingling et avait largement introduit le Falun Dafa. Dès lors que de personnes avaient obtenu le Dafa, purifiant leurs cœurs et améliorant leurs valeurs morales, la criminalité avait notablement diminué dans la banlieue. Toute la population de la banlieue de Qingling connaissait et respectait Wu Baowang.
Depuis que le régime de Jiang a commencé la persécution insensée du Falun Dafa et que la police a commencé à arrêter les pratiquants, la société entière a été terrifiée et personne n'a plus osé dire un mot juste en faveur de Dafa. Wu Baowang a été le premier à aller à Beijing valider Dafa. Ils étaient trois (sa mère, âgée de plus de 70 ans , son épouse et lui-même) a avoir été à Beijing trois fois faire appel pour le Falun Gong. Risquant l'arrestation, il est retourné à Shuangcheng et à Harbin partager ses expériences avec des compagnons pratiquants, aidant beaucoup d'entre eux dans le voyage de la rectification de la loi. Il a également aidé ceux qui avaient des difficultés financières. Il est devenu la cible principale des fonctionnaires corrompus de la ville de Shuangcheng et le No.1 sur leur liste«des plus recherchés». La troisième fois que M. Wu est allé à Beijing pour valider la Loi, lui et les siens ont été arrêtés et déportés au centre de détention de Shuangcheng. La police l'a mis, lui, un homme innocent, dans une cellule avec les criminels de carrière qui devaient être condamnés à la mort. Il a été menotté, enchaîné et a enduré toutes sortes de tortures brutales. La police a essayé de le condamner illégalement, mais a échoué en raison de l'absence de preuve. M. Wu alors a été illégalement condamné à un an de travail obligatoire dans le camp de travail de Yimianpo, où il a subi des tortures inhumaines et a été forcé de faire un travail lourd tel que le transport et le charriage de pierres.
Le chef de l'unité no 1, Zhang Dianjun, a ordonné à des prisonniers criminels (Li Baojin et Qiu Lipeng) de frapper M. Wu avec les paniers remplis de pierres. Sous l'ordre de la police, plusieurs condamnés l'ont battu agressivement, lui cassant deux côtes. Il a été forcé d'écrire un engagement de renoncement à la pratique. Bien que sa peine ait expiré, il ne devait pas être libéré jusqu'à ce qu'il ait écrit l'engagement. Après être retourné à la maison, M. Wu a senti qu'il s'était trompé en abandonnant le Maître et le Dafa. Il a écrit une déclaration solennelle et a été déterminé à redoubler ses efforts pour compenser la perte et progresser dans la rectification de la loi. Il a effectué beaucoup de travail et s'est affirmé par ses actions.
Le 19 avril 2002, la police et les fonctionnaires « du bureau 6-10 » sont allés au domicile de la sœur de M. Wu, ils ont enlever M. Wu et l'ont déporté au centre de détention de Shuangcheng, où il a été torturé. En moins de quinze jours la police l'a battu jusqu'à la mort. Juste avant qu'il ne meure, M. Wu a crié deux fois: « Falun Dafa est bon!» Après sa mort, le département de police a informé sa famille qu'il allait être incinéré. Sa famille s'y est fortement opposé, demandant une autopsie. Les résultats ont montré que sa trachée avait subi un traumatisme par la force, ses oreilles étaient noires et meurtries et il avait des contusions sur tout son corps. Son estomac et ses intestins étaient pleins de sang. Il était horrible à voir. La famille de M. Wu Baowang ne parvient pas à faire justice pour sa mort injuste. Son épouse et sa vieille mère ont été laissées seules sans revenu. Elles ont loué deux petites maisons couvertes de chaume et vivent une vie de difficultés. Sa mère espère qu'il y aura des excuses pour la mort de son fils et que les gens reconnaîtront que le régime de Jiang est mené par des meurtriers qui ne s'inquiètent aucunement de la vie des personnes.
Posté le: 5/15/2003
Article original daté: 5/14/2003
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Catégorie: Cas de décès