(Minghui.org)

Pendant la réunion annuelle 2003 de l'Association Psychiatrique Américaine (APA), le discours de M. Robin J. Munro concernant l'abus du régime de Jiang de la psychiatrie pour conduire la persécution politique des pratiquants de Falun Gong et des dissidents, a attiré l’attention sérieuse des psychiatres présents de partout dans le monde.

Le 19 mai 2003, M. Robin J. Munro a gagné ‘la récompense pour la défense des patients’ lors de la réunion annuelle 2003 d’APA pour sa recherche sur les abus de la Chine de la psychiatrie pour effectuer la persécution politique des dissidents.

Actuellement, Robin J. Munro fait la recherche à l'Université de Londres en Angleterre sur les problèmes légaux liés aux traitements psychiatriques. Il a utilisé plusieurs années pour étudier la persécution des pratiquants de Falun Gong de la Chine et des dissidents par l'abus de la psychiatrie. Il a écrit plusieurs livres sur ce sujet spécial, y compris un livre intitulé: « Des esprits dangereux: La psychiatrie politique en Chine d’aujourd'hui et ses origines dans l'ère de Mao ».

M. Munro est venu à San Francisco pour participer à la réunion annuelle 2003 d’APA (la 156ième réunion annuelle) et parler de la politique abusive de la Chine,  aux psychiatres de partout dans le monde, qui ont attaché une grande importance au contenu de son discours. Après, les participants ont,  avec enthousiasme discuté de la question et ont fait beaucoup de suggestions au sujet de la façon d’arrêter la Chine d'employer la psychiatrie en tant que  moyens comme persécution politique.

Pendant une entrevue, M. Munro a dit: « L'utilisation politique de la psychiatrie en Chine pour persécuter les dissidents a été répandue pendant la révolution culturelle. Les abus ont évidemment été réduits  dans les années 80 aux années 90. À la fin des années 90, cependant, au moment même où j'étais sur le point de finir ma recherche, la suppression de Falun Gong a soudainement commencé en 1999. Beaucoup de rapports fournissent la preuve que les pratiquants de Falun Gong détenus  sont de force enfermés dans des hôpitaux mentaux. Ils sont évidemment mentalement en bonne santé mais ils sont forcés de recevoir des traitements psychiatriques et sont maltraités ou battus. Rien de ceci n'est un traitement; c'est la persécution. Il est très clair qu'au cours des  presque trois ans passés, il y avait quelques centaines de cas de ce genre, dont chacun a une preuve fiable. Ces prétendus ‘traitements’ tendent réellement à   mettre en péril, menacer et forcer les pratiquants de Falun Gong à écrire ' la garantie' de renoncer à leur pratique. Une fois qu'ils écrivent ce genre de déclaration sous les menaces et la pression, ils seront immédiatement libérés. Du point de vue de la science médicale, ceci n'a aucune position du tout, parce que s'ils souffraient en effet de la psychose, comment serait-il possible qu’ils soient guéris simplement en signant un morceau de papier ? D'autre part, ceci nous permet de voir clairement  la nature de ce qui se produit réellement. Aujourd'hui, dans les hôpitaux psychiatriques de la Chine, la plupart des cas de ce genre implique des pratiquants de Falun Gong."