Les quelques villes côtières du
sud-ouest de l’Angleterre sont célèbres pour leur jolis paysages et
l’honnêteté et la simplicité de leurs habitants. Elles sont aussi parmi
les lieux de vacances les plus fréquentés du pays. Le 10 juillet, les
pratiquants du groupe Anglais SOS secours ont organisé un circuit automobile
pour visiter deux de ses villes.
Ce n’était pas la première fois que ces villes étaient visités par
un circuit automobile SOS. En 2001, Minghui, l’ enfant d’une pratiquante
de Grande-Bretagne se vit refuser un passeport chinois. Les pratiquants
de Dafa d’Angleterre organisèrent alors leur premier circuit SOS
afin d’apprendre à la population anglaise la vérité de la persécution
de bébé Minghui par l’ambassade de Chine Face à la condamnation du
gouvernement Anglais, du parlement, du ministère des affaires étrangères
et de différents médias, l’ambassade Chinoise n’eut d’autre choix
que de délivrer un passeport à la petite Minghui. Cette fois-ci,
les pratiquants de Grande Bretagne ont de nouveau visité ces villes
afin de lancer un appel à la libération de 3 de leur proches et amis
qui sont déraisonnablement emprisonnés et persécutés en Chine et
dans l’espoir que les autorités locales, les médias et le grand public
puissent apprendre un peu plus ce qui arrive aux pratiquants de Falun
Gong chinois.
Durant ce voyage, les pratiquants ont écouté les conférences de
Maître Li et envoyé des pensées droites. Bien que le programme
du voyage fut très serré, les choses se sont tout de même bien
passées.
A notre arrivée, nous sommes d’abord allés au bureau d’un journal
local. Le rédacteur était très intéressé par le Falun Gong et nous
l’avions déjà rencontré lors du cas de Minghui. Il nous a complimenté pour
notre persévérance et notre combat pacifique pour la justice, la
vérité et les droits humains surtout après qu’on lui ait appris
le procès intenté au dictateur chinois a Chicago pour crime de
génocide. Le rédacteur était très content et a demandé beaucoup
d’informations pour mieux connaître le Falun Gong.
Puis nous sommes allés au siège du conseil municipal, un conseiller
nous a reçus gentiment et a accepté volontiers les lettres d’appels
que nous avions écrites pour chacun des conseillers, il a écouté attentivement
ce que nous avions à lui dire à propos de la campagne de secours
aux membres de nos familles persécutés. Durant cette période de
temps, nous avons eu quelques brèves interviews avec des reporters
et d’autres représentants de médias.
Puis nous avons roulé environ deux heures jusqu’à la ville suivante.
Comme d’habitude nous nous sommes rendus au siège du journal local.
Un journaliste a enregistré notre conversation avec le Rédacteur.
nous sommes allés ensuite dans les locaux du Conseil Municipal.
Comme le Maire n’était pas là, un représentant s’est chargé de
transmettre les lettres d’appel à chaque membre du conseil. Finalement,
les pratiquants ont eu un interview avec un journaliste à l’extérieur
du bâtiment du Conseil Municipal. Le journaliste a posé de nombreuses
questions auxquelles nous avons répondu entièrement.
Publié: Le samedi 19 juillet 2003