6 août 2003
(Minghui.org)
J'ai commencé la cultivation de Dafa avec l'aide d’anciens pratiquants peu avant le 20 juillet 1999.
Cultivant dans Dafa, je sens vraiment le caractère précieux des livres de Dafa.
Les mots de Maître font toujours écho dans mon esprit, « Dans la cultivation de la Loi de Bouddha, vous devriez avancer résolument » (Zhuan Falun). J'ai lu le livre Zhuan Falun sereinement encore et encore avec un esprit tranquille, après m’être débarrassé de toutes pensées de distraction. J’ai également recopié le livre à la main à plusieurs reprises. J'ai utilisé tout mon temps possible pour bien faire les trois choses et ne pas ralentir. Je suis souvent sorti tard la nuit pour distribuer les matériaux de clarification de la vérité de Dafa et afficher des prospectus. Dans les villages silencieux ou sur les sombres chemins de montagne, je n'avais jamais peur. Quand j'ai placé les matériaux de clarification de la vérité de Dafa sur les emplacements où la police travaille, ou quand j'ai posé des dépliants sur les véhicules de police, je souriais dans mon esprit. Je savais que Maître était toujours avec moi.
La nuit du 20 juillet de cette année, étant donné que j'étais impatient d'obtenir des résultats rapides, j'ai diminué ma vigilance lorsque j’affichais des dépliants de clarification de la vérité dans un complexe de bureaux du gouvernement. Une personne est apparue de l'obscurité après que j'eus juste fini. Férocement il s’est élancé jusqu'à moi et m’a demandé ce que j’affichais. En même temps il a demandé au gardien de la porte de faire un appel téléphonique pour me signaler. Une pensée a surgi dans mon esprit que le danger approchait. Je me suis rapidement calmé et j’ai pensé que je ferais face au danger avec un esprit paisible, et dissoudrais le danger. Je les ai arrêtés et leur ai dit calmement: « La raison pour laquelle j'ai affiché des prospectus est parce que je veux dire que « Falun Dafa est bon » et je veux être une bonne personne. La raison pour laquelle nous risquons nos vies est pour que les personnes connaissent ce qui est juste et ce qui est erronée et qu’ils soient raisonnables. Vous pouvez appeler aujourd'hui pour me signaler et je ferai face à la prison. Mais je suis un citoyen ordinaire qui veut être une bonne personne. J'espère que vous y pensez. »
Avant que j'eus fini de parler, le gardien de la porte qui tenais mes bras les a laissé. Il s'est tenu de côté sans mot dire. La personne a hurlé au gardien et lui a demandé de rechercher mon sac, mais le gardien est resté là sans bouger. La personne a continué à regarder autour. Les gens et les voitures passaient tout près, mais personne ne l'a même regardé. Il a soudainement baissé le ton de sa voix et a dit: « Combien d'argent vous donne-t-on pour distribuer des prospectus ? » J'ai répondu : « Personne ne me donne d’argent. Nous le faisons de notre cœur. Je sais que vous avez également un côté de conscience et de bonté. » Après que nous nous soyons tenus là sans bouger pendant quelques minutes, il a dit « CORRECT, vous pouvez partir maintenant. »
Avec la protection bienveillante de Maître, j'ai évité le danger. Cet épisode m'a encouragé à avancer résolument .
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