(Minghui.org)
Quand les pratiquants font bien les trois choses que le Maître nous demande, des miracles peuvent parfois arriver, cela nous fait nous souvenir de la compassion illimitée du Maître et sa puissance insondable. Dans cette expérience, j’aimerais partager de récentes expériences avec les pratiquants d’outre-mer.
1. Un compagnon de pratique a été arrêté il y a quelques temps. Quand la police l’appelait par son nom au centre de détention, il ne répondait pas, ce qui les a amenés à croire que personne de ce nom n’existait. Lorsque finalement un policier a demandé à ce pratiquant s’il pratiquait le Falun Gong, il a répondu clairement : « Oui ! » Immédiatement, les gardiens ont commencé à le frapper et à le torturer, mais le pratiquant a continué à garder une pensée droite très forte. A la fin, les médecins de la prison lui ont diagnostiqué une « hépatite » et il a été libéré. Ainsi, sous la protection miséricordieuse de notre cher Maître, ce pratiquant a pu retourner chez lui.
Parce que la police lui avait confisqué tous ses livres de Dafa, une fois qu’ils avaient fouillé sa maison, le pratiquant ne pouvait pas étudier la Loi quand il est retourné chez lui. Pour reprendre ses livres, il est allé au « bureau 610 » local et s’est assis devant la porte pour protester : « Je ne partirai pas avant que vous m’ayez rendu mes livres. » Le « bureau 610 » n’avait pas d’autre choix que d’avertir le bureau du comité des résidents locaux pour les pratiquants afin d’arranger son arrestation. Quand un représentant du comité des résidents locaux est arrivé, la réponse du pratiquant est restée la même : « Si vous ne me rendez pas mes livres, je vais rester assis devant le bureau 610. » Pour finir, des fonctionnaires du comité des résidents ont trouvé quelques livres de Dafa et les ont donné secrètement au pratiquant.
En mars de cette année, ce pratiquant a de nouveau été enlevé alors qu’il distribuait des brochures clarifiant la vérité. Quand la police a enquêté sur l’origine de ces brochures, il a répondu : « Je ne vais jamais vous le dire, mais j’étais justement sur le point de vous donner ceci. » Ensuite il a pris des dépliants clarifiant la vérité et en a donné un à chaque policier. « Voilà, prenez s’il vous plaît et lisez ceci. Il y a vos noms dessus. »
Déconcertés, les policiers ont appelé le « bureau 610 » local. Le pratiquant a été ensuite transféré dans un autre poste de police, où quelques policiers se sont mis à plusieurs pour le gifler et lui donner des coups de pieds dans les jambes. Il leur a, à nouveau, dit : « Ca ne sert à rien. Je ne vais rien vous dire. » N’ayant pas le choix, le poste de police l’a rapidement relâché. Une fois retourné chez lui, il a réfléchi : « Ce ne peut pas être juste. Je dois exposer la perversité. » Le jour suivant, il a pris son appareil photo et est allé au poste de police, il a dit : « Je veux prendre des photos de ceux qui m’ont frappé hier, ainsi le monde entier sera témoin de votre brutalité. » Les policiers n’ont pas osé le frapper de nouveau. Ils ont saisi son appareil photo, lui ont confisqué le film à l’intérieur et demandé au pratiquant de partir. Après cet incident, beaucoup de pratiquants lui ont demandé s’il avait ressenti quelque peur à ce moment-là. Il a répondu : « Pourquoi quelqu’un devait-il avoir peur ? !»
2. Le 13 mai est la journée mondiale du Falun Dafa. Ce jour-là, beaucoup de pratiquants sont sortis pour parler aux gens des faits sur la persécution, pour suspendre des banderoles, distribuer des brochures clarifiant la vérité et afficher des dépliants. Une pratiquante a été arrêtée et parce qu’elle n’a pas réussi à supporter les tortures de la perversité, elle a révélé l’origine des dépliants de Dafa et dévoilé le nom de la pratiquante chargée de s’occuper des brochures de Dafa. Quand la police est arrivée à la maison de cette pratiquante, ils ont trouvé trois grandes banderoles suspendues devant sa maison. Ils ont lu : « Falun Dafa est bon », « Falun Dafa est la Loi juste » et « Vérité-Compassion-Tolérance, c’est la Loi de l’univers ». La police a gardé cette pratiquante avec son petit enfant et lui a demandé si elle fournissait vraiment des documents à cette pratiquante qui avait été arrêtée. Elle a fermement refusé de coopérer avec la perversité. A la question pourquoi elle avait suspendu les banderoles, elle a répondu : « Je pense que c’est juste. Puisque vous m’interdisez de les suspendre publiquement, pourquoi ne puis-je pas les suspendre sur ma propre maison ? » La police n’a pas trouvé une excuse valable, alors ils l’ont rapidement relâchée. Cela vaut la peine de noter que le nom de cette pratiquante était un des noms inscrits sur la liste nationale des hors-la-loi les plus recherchés.
Il y a beaucoup d’autres cas similaires et je suis touché par les histoires de nos compagnons de pratique. Il manque de mots pour dépeindre la compassion et la puissance illimitées du Maître. Je suis aussi profondément ému par la volonté inflexible des pratiquants d’abandonner la vie et la mort manifestée pendant leur cultivation. « Vous connaissez déjà le principe de la Loi d’engendrement et de domination mutuels, sans la peur, les facteurs qui vous font peur n’existeraient plus. Il ne s’agit pas de se contraindre à agir, mais on atteint cela parce qu’on abandonne vraiment avec le cœur tranquille. » (‘Eliminer le dernier attachement’ dans Principes essentiels pour un avancement assidu ll) « …on dirait un comportement humain, mais en fait ce n’est pas cela. C’est parce qu’elle a atteint ce point à travers la cultivation et qu’elle est vraiment arrivée à ce royaume – ‘Maintenant que vous m’avez arrêtée, je ne pense pas du tout à rentrer. Maintenant que je suis ici, je suis venue pour valider la Loi.’ Alors la perversité est effrayée. » (Enseignement et explication de la Loi à la conférence de la Loi du New York métropolitain) [trad. non officielle]
La raison pour laquelle ces pratiquants ont aussi bien agi pendant ces épreuves, c’est parce qu’ils ont toujours gardé à l’esprit les instructions de notre Maître – dire aux gens les faits de la persécution, envoyer la pensée droite, bien étudier la Loi et bien cultiver. Pendant cette dernière phase de la rectification de la loi, nous devons chérir chaque seconde qui passe. Nous devons nourrir un esprit calme, chercher nos failles à l’intérieur de nous-mêmes, bien étudier la Loi et pour finir nous fondre complètement dans la Loi. Faisons bien les trois choses que le Maître nous demande ; avançons avec droiture sur le chemin de la rectification de la loi et ne décevons pas l’engagement miséricordieux de notre Maître qui est de sauver les êtres vivants.
Compagnons de pratique, s’il vous plaît, soulignez avec bienveillance s’il y a quelque chose inapproprié.
Traduit en Europe le 22 août 2003
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