(Minghui.org)
Première partie : http://fr.minghui.org/news/0410/20/E2496_20040823_fr.htmDeuxième partie : Une nouvelle vie
Préface : Après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, j'ai fait pour la première fois dans ma vie l'expérience de ce que le diction dit : « Un corps léger libre de toute maladie » signifie.
Chapitre 1 – Les relations prédestinées
a) Les changements d'une amie
En août 1998, une de mes camarades de classe de l'école de conduite a commencé à pratiquer le Falun Gong. Elle avait un an de plus que moi et nous étions de très bonnes amies. Elle m'a dit : « Un pratiquant du de la Place Shahepu qui était normalement chauve a vu ses cheveux repousser après avoir pratiqué le Falun Gong. Et les cheveux blancs d'une vieille femme du village de Lianhua sont redevenus noirs. Pourquoi ne viens-tu pas aussi pratiquer ? » J'ai répondu : « Les exercices de Qigong sont pour les personnes âgées ou à la retraite, je ne vais pas le faire. Je veux jouir davantage de la vie en mangeant une meilleure nourriture et en portant de plus beaux habits. Si je meurs, je meurs. » Elle se sentait désolée pour moi, parce que je laissais passer une grande occasion. Chaque samedi soir, j'allais chez elle jouer au majong avec son mari et deux de ses amis de travail. Nous jouions parfois toute la nuit. Elle ne jouait pas avec nous et allait plutôt lire des livres de Falun Gong toute seule. Je n'arrivais pas à comprendre ces immenses changements.
Quand le centre des affaires n°3 de la ville de Chengdu a commencé à se construire, j'ai été débordée par mes affaires. Le mari de mon amie était le directeur de la fabrique de fourrage de Meishan et possédait une berline Peugeot. Elle aidait à conduire. Une fois l'hiver venu, nous étions chacune occupée avec nos propres affaires. Elle et son mari venaient rarement à Chengdu. Avant la Fête du Printemps, elle m'a appelée : « J'ai acheté des gâteries spécialement pour la Fête du Printemps. Ce sont toutes des spécialités locales de Meishan. S'il te plaît, passe les chercher. » Quand je l'ai vue, j'ai trouvé qu'elle avait un meilleur aspect. Son fils avait l'habitude de l'appeler « ma laide maman ». Elle avait beaucoup de taches sur le visage, mais maintenant son visage rayonnait avec un teint parfait. Je lui ai demandé par curiosité : « Où es-tu allée te faire opérer la peau ? C'est vraiment bien fait. » Elle a répondu : « Je n'ai fait aucune opération de la peau. » J'ai poursuivi : « Dans quel salon de beauté es-tu allée pour te faire faire des soins de la peau ? Quelle lotion utilises-tu ? » Elle a dit : « Je ne suis allée dans aucun salon de beauté, ni ne mets aucune lotion. »Je ne la croyais pas, alors avec mes doigts, je lui ai touché le visage. Elle a dit : « Tu ne me crois pas ? Je vais me passer le visage sous l'eau devant toi. » Tout de suite, elle s'est aspergée le visage avec de l'eau froide. J'ai demandé : « Alors pourquoi ta peau est-elle devenue si belle ? » Elle a répondu : « C'est en pratiquant le Falun Gong. » Un sentiment négatif m'a immédiatement envahi et mon esprit n'arrivait pas à la croire. J'ai dit avec sarcasme : « Votre Falun Gong est tellement divin, c'est quelque chose que l'on peut trouver seulement au ciel, pas dans le monde humain. » Elle n'a rien répondu. Même si j'ai dit ces paroles, je devais admettre que sa peau s'était vraiment améliorée.
De retour à la maison, j'ai réfléchi à combien de fois j'étais allée pour des traitements du visage chaque semaine sans en manquer un seul au cours des six dernières années, pour traiter la décoloration que j'avais au visage. En plus, j'avais pris un grand nombre de remèdes à base de plantes médicinales chinoises prescrits par l'hôpital de médecine chinoise de Chengdu. J'avais aussi utilisé beaucoup de produits renommés pour la santé fait en Chine et à l'étranger, comme le Chun Bo Lao (toujours jeune), de la poudre de perles, Sunrider, etc.J'avais même utilisé un sérum facial américain très cher pour les taches de naissance et j'avais fait un traitement d'acupuncture de nombreuses fois. J'avais dépensé plus d'une dizaine de milliers de Yuan pour améliorer l'aspect de mon visage, mais tout cela avait été en vain. Comment les taches foncées que j'avais vues sur son visage pendant plus de dix ans avaient-elles pu disparaître comme ça ?
b) Dafa révèle tous les mystères
Par curiosité, je suis retournée la voir, mais j'étais trop gênée pour lui poser directement des questions sur le Falun Gong. Elle a lu dans mes pensées et m'a donné une cassette des conférences de Maître Li Hongzhi. Elle a aussi souligné une phrase du Maître : « Même si vous vous prosternez tous les jours au point que votre front soit en sang, même si vous brûlez de l'encens par poignée entière, cela ne servira à rien. Seule compte la cultivation réelle de votre coeur. » En entendant cette phrase du Maître, j'ai soudain tout compris. C'est comme si toutes les choses que je n'arrivais pas à comprendre auparavant avaient tout d'un coup un sens. Pas étonnant que je ne reçoive aucune bénédiction particulière des Bouddhas après avoir dépensé autant d'argent et de temps à brûler de l'encens et à les adorer. Je n'arrivais pas à le comprendre auparavant. Pour soigner ma maladie et avoir une famille heureuse, je mettais tout mon espoir dans les Bouddhas et les Taos. Une fois, j'ai donné de l'argent pour construire une statue de Bouddha dans le temple de Guanyin de mon village d'origine. J'ai aussi payé un vieil artisan pour recouvrir de feuilles d'or la statue d'une Bodhisattva dans le temple Tongzi du canton de Jintang. Je suis allée dans des temples à Chengdu et vers la statue du Bouddha de Leshan, j'ai roulé jusqu'au temple de Shijing pour brûler de l'encens. Je suis allée au temple de Baiyun dans les montagnes de Qingcheng pour donner de l'argent et demander l'aide des Bouddhas. Je suis allée au temple Shaolin à Songshan dans la province du Henan. Je me suis aussi rendue au Mont Hua dans la province de Shanxi pour demander l'aide des divinités et des Bouddhas. Mais tous mes espoirs étaient ruinés. Aucune divinité, ni aucun Bouddha ne m'avait bénie pour me débarrasser de ma maladie. J'ai continué à vivre dans le désespoir. Il semblait qu'il était inutile de dépendre des autres, je devais plutôt cultiver mon coeur et m'assimiler à Vérité, Compassion et Tolérance. J'ai pensé que l'enseignement du Falun Gong avait un sens pour moi et j'ai décidé d'essayer.
Mais je pensais toujours à moi comme à une personne d'un haut rang social et je pensais que je perdrais la face si mes connaissances me voyaient assise par terre avec de vieilles femmes quelconques. Je ne voulais pas aller seule au site de pratique de Falun Gong et j'ai décidé d'attendre jusqu'au dimanche suivant, quand mon amie reviendrait en ville, ainsi je pourrais la rejoindre au site de pratique près de chez elle. Lorsque je suis arrivée là-bas, j'ai vu environ 100 personnes debout en train de faire les exercices les yeux fermés, les mouvements étaient à l'unisson et étaient beaux. Il y avait de vieilles personnes, de jeunes enfants et de jeunes gens bien éduqués. J'ai regardé partout, mais je n'arrivais pas à trouver mon amie et son fils. Je suis alors allée chez elle pour la chercher. Lorsque je suis arrivée devant la porte de sa maison, je les ai vus courir elle et son fils, sortir de la porte pour aller au site de pratique. Une fois arrivés au site de pratique, elle a demandé à un compagnon de pratique de m'enseigner et elle a rejoint les exercices en groupe. Je lui ai posé beaucoup de questions et ce pratiquant a patiemment répondu à toutes. A la fin, il m'a dit : « Il y a plusieurs sites de pratique dans le parc Xinhua près de chez vous. Un à l'entrée de devant, un à la porte de derrière et quelques uns dans le parc, il y en a un dans le jardin de l'école élémentaire de Chenghua. Vous pouvez aller dans n'importe quel site de pratique. Les pratiquants là-bas seront heureux de vous enseigner patiemment et sans frais. »
c) Le sentiment de retourner à la maison
Le 5 mars 1999, à 6h00 du matin, je suis arrivée à l'heure au site de pratique devant l'entrée du parc Xinhua. Une pratiquante prénommée Li m'a enseigné les exercices debout. Ensuite, elle m'a enseigné la méditation assise. Peu après m'être assise avec les deux jambes croisées, mes jambes ont commencé à me faire mal, mon coeur a commencé à s'agiter et mes deux pieds ressemblaient à des aubergines violettes à cause de la douleur. De la sueur est apparue sur ma tête et mouillait mon survêtement. Je me sentais très mal. A ce moment, je me suis souvenue des paroles du Maître et j'ai décidé d'endurer la souffrance. Je me suis forcée à l'endurer. Après un moment, je me suis vue assise sur un réservoir à côté d'un temple calme et paisible, portant une tunique bouddhiste dorée. La tunique était brillante et émettait de la lumière. C'était trop magnifique. Je ressentais que le temple était ma maison et que j'étais retournée après des milliers et des dizaines de milliers d'années. J'étais excitée de retourner à la maison ; j'essayais de contrôler les larmes qui me coulaient sur le visage, par crainte que les gens les voient. Mais je n'arrivais pas à faire cesser l'excitation à l'intérieur et finalement j'ai commencé à sangloter.
La musique de l'exercice s'est arrêtée. J'ai ouvert les yeux. Chacun était prêt à partir. J'ai senti qu'il y avait encore quelque chose qui tournait dans mes jambes. A ce moment-là, plusieurs dames âgées sont venues pour me consoler : « Tu peux descendre tes jambes si tu trouves que c'est trop douloureux. Ne pleure pas quand tu pratiques. » Je leur ai alors raconté ce que je venais de voir. Elles ont dit : « Tu as une bonne qualité innée. Ton oeil céleste s'est ouvert. » « Qu'est-ce que l'oeil céleste ? C'est la première fois que je fais les exercices ; je n'ai même pas encore de livre. » Je leur ai répété : « Je sens que quelque chose tourne dans mes jambes. » Elles m'ont dit : « C'est le Falun qui est en train de tourner là. As-tu une maladie à cet endroit-là ? » J'ai pensé : « Elles sont plus efficaces que les diseurs de bonne aventure. J'ai vu beaucoup de diseurs de bonne aventure, mais aucun d'eux n'a été aussi efficace. » Elles m'ont dit : « Le Falun est en train d'ajuster ton corps. Il va l'ajuster partout où tu as des maladies. » Elles m'ont demandé de descendre mes jambes, mais après les avoir descendues, le Falun tournait toujours. Elles m'ont dit de bouger les plantes des pieds pour qu'elles soient l'une en face de l'autre. Je l'ai fait, mais le Falun tournait toujours.
Le même jour, j'ai reçu un livre de Dafa. J'ai commencé à lire avec empressement une fois de retour à la maison. Depuis lors, je ne me suis plus jamais réveillée en retard et je n'ai plus jamais joué au majong. Chaque jour j'arrivais à l'heure au site de pratique à 6h30 et j'allais ensuite travailler. Après avoir bien mis en route le travail, je saisissais chaque minute pour lire le livre jusque tard dans la nuit. J'ai changé les cassettes de musique pop dans ma voiture pour les conférences audio du Maître.
Traduit en Suisse le 24 octobre 2004
http://www.pureinsight.org/pi/articles/2004/9/20/2535.html
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