(Minghui.org)
1. Emploi de pinces pour tirer les ongles de doigts et d’orteils
D’abord les malfaiteurs écartent et pincent les deux segments du haut des doigts de pratiquants; ensuite, les pinces de métal servent à serrer fortement les os et les ongles. (Le pratiquant perd connaissance à ce stade) Ils font la même chose pour les ongles d’orteils. Voici comment on procède : D’abord, on pince l’index de la main gauche et par la suite on écrase le gros orteil du pied gauche.
2. Piétinement des pieds nus sur le plancher de béton
Les malfaiteurs forcent les pratiquants de Dafa à se tenir debout sur le sol de béton les pieds nus. Puis les malfaiteurs piétinent les pieds des pratiquants avec leurs grosses chaussures. Suivant cela, ils piétinent et rapent les pieds dans les deux sens contre le sol rigide.
3. “Le Banc de Tigre” (voir référence à l’autre version au bas de la page)(1)*
Les malfaiteurs étirent les bras du pratiquant et menottent ses mains séparément à des objets fixes (tel que des montants de lit). Le pratiquant est forcé de s’asseoir sur le sol de béton avec les pieds placés sur une chaise et les jambes soulevées. Les malfaiteurs placent par la suite une chaise sur les genoux du pratiquant et se dressent dessus, ce qui cause une douleur extrêmement atroce.
4. "Attacher avec des cordes
Les malfaiteurs attachent les mains du pratiquant derrière le dos avec une corde de nylon (habituellement les persécuteurs piétinent d’abord les jointures du pratiquant pour l’obliger à s’agenouiller.) Ils lui encerclent le cou d’une corde pour la relier à la corde autour des mains. Ils font un nœud plat. D’autres malfaiteurs tordent les coudes des pratiquants, font pression sur les épaules et soulèvent les poignets, et en même temps, réduisent la distance entre le cou et les mains du pratiquant en serrant les deux cordes qui sont reliées entre elles, ce qui cause une douleur atroce dans les coudes, les épaules et les poignets de la victime. Ils insèrent également des briques, des bouteilles à bière et des matraques policières classiques dans l'espace entre le dos et les bras pour augmenter la douleur. Durant cette torture, simultanément, les policiers font subir au pratiquant des chocs électriques par matraques électriques ou le frappent avec les matraques policières droites classiques. Après avoir détaché la corde, les malfaiteurs coincent le pratiquant par terre et lui frappent les fesses avec les matraques policières. Ils intensifient la force des coups 30 minutes plus tard, juste pour augmenter la douleur.
Il y a deux variétés de cordes utilisées dans cette torture: une corde épaisse et un cordon mince; la corde épaisse mesure 8-11 mm (0.315-0.433 pouce) de diamètre. Elle ne laisse aucune cicatrice mais peut causer des dommages internes ; la corde mince est de 4 - 6 millimètres (0.16-0.236 pouce) de diamètre. Elle coupe dans la chair et la cicatrice ne guérit que très lentement.
Cicatrices qui témoignent de la torture de
ce pratiquant de Falun Gong par la méthode connue sous le nom d’ « attacher
avec des cordes »
5.Gavage à l’alcool
Les malfaiteurs gavent les pratiquants avec des boissons alcoolisées car ils savent que les pratiquants de Falun Gong ne boivent pas d'alcool. Plusieurs malfaiteurs gavent un seul pratiquant. Un des malfaiteurs saisit les cheveux du pratiquant et lui renverse la tête en arrière ; alors on pince le nez du pratiquant ainsi le pratiquant est forcé d'ouvrir la bouche pour respirer ; un autre malfaiteur appuie et tient les bras et les jambes du pratiquant ainsi il ne peut pas se déplacer, et un autre pince la bouche du pratiquant et le gave avec de la boisson alcoolisée.
Cette torture a été effectuée à la classe de lavage de cerveau de la ville capitale de la province de Hebei (route de Beicheng, ville de Shijiazhuang), et aux camps de travaux forcés de la province de Hebei, entre autres. Deux femmes pratiquantes près de nous ont été gavées avec de l'alcool au camp de travail où nous étions.
6. Gavage forcé
Le gavage est souvent employé dans les centres de détention chinois, les camps de travaux, les prisons et les classes de lavage de cerveau. Les malfaiteurs qui font le gavage n’ont souvent aucune connaissance médicale et en conséquence causent de graves blessures et même la mort de bien des pratiquants de Falun Gong . Certains malfaiteurs immobilisent totalement la tête du pratiquant, certains se servent de leurs pieds pour faire pression sur le corps du pratiquant. Parfois le pratiquant est menotté au plancher de ciment, les membres écartés ; souvent les mains sont enchaînées aux bouts du lit ou le pratiquant est menotté sur le lit, les bras et les pieds écartés afin qu’il ne bouge pas du tout. On le gave de gruau, soupe aux légumes, solution saline hautement concentrée ou d’ aliments auxquels on mêle des drogues inconnues. Parfois, le pratiquant ne peut contenir ses selles, souffre d’un effondrement mental et perd la capacité de penser clairement après le gavage féroce.
Le gavage est employé dans beaucoup de camps de travaux forcés, en prisons et dans les centres de détention à travers la Chine continentale
7. Enfoncer sous les ongles de doigts des cure-dents et des grosses aiguilles
Les malfaiteurs immobilisent le corps du pratiquant tout en enfonçant un cure-dent ou une grosse aiguille dans la chair sous l’ongle du pratiquant. Parfois, on brûle même les doigts ensanglantés du pratiquant avec un allume-cigare. Une pratiquante de 40 ans a subi cette torture au commissariat de police de la ville de Shijiazhuang en octobre 2001.
8. Suspendre et fouetter
Les malfaiteurs menottent le pratiquant et le suspendent afin que ses orteils touchent à peine par terre. Alors ils le frappent avec des matraques électriques ou des matraques policières classiques. Geng Xingjun, Zhou Yilin, Pei, Cui Yanfang et d'autres gardes de la Division No.4 au camp de travaux forcés de la ville de Shijiazhuang ont employé cette torture sur les pratiquantes Zhang et Li pendant le festival de bateaux dragons en 2001. Mmes Li et Zhang ont été suspendues et battues. Li a perdu connaissance deux fois, et le sang de Mme Zhang a imbibé son pantalon. Mme Zhang s'est effondrée par terre après qu'on l’ait eu décrochée et les malfaiteurs ont continué à la battre.
9. Abus sexuels et tabassage
Les malfaiteurs enlèvent les vêtements d’une femme pratiquante. Les policiers montent la pratiquante comme un cheval et la fouettent. Ils lui saisissent la main et exigent qu'elle écrive une « Déclaration de garantie » (2)* pour abandonner la pratique du Falun Gong.
10. Frapper les parties sensibles du corps avec des matraques électriques
Les malfaiteurs du camp de travaux forcés de Kaiping de la ville de Tangshan, province de Hebei ont fait subir des chocs sur les parties de corps sensibles des pratiquants ou sur les points d’acuponcture avec les matraques électriques, y compris le dessus de la tête, le dos de la tête, le bas du dos et la semelle des pieds.
11. "Cinq chevaux divisent le corps"
Les malfaiteurs séparent les membres du pratiquant dans les quatre directions en étirant ses bras et ses jambes, ce qui cause une douleur atroce. Le pratiquant se sent comme si ses muscles se déchiraient et ses os se fracturaient .
12. Traverser les mamelons avec des fils de métal
Le malfaiteur pénètre les mamelons d’une pratiquante avec un fil de métal. Ensuite, il se promène tout en tirant sur le fil
13. Frapper le fessier avec des cordes en nylon mouillées
Les malfaiteurs au camp de travail baissent le pantalon du pratiquant au-dessous de ses fesses et le jettent dehors dans la cour en hiver pour geler ses fesses pendant longtemps. Après que ses fesses aient enflées à cause du gel, les malfaiteurs le fouettent avec une corde en nylon mouillée.
14. Torture alternative du gel et de la cuisson
En hiver, les malfaiteurs du camp de travail ou de la classe de lavage de cerveau jettent un pratiquant dans une salle très froide pendant longtemps, et par la suite le menottent à un radiateur de chauffage, ce qui cause un picotement intolérable atroce partout sur le corps
15. Infusion intraveineuse
Au camp de travaux forcés de Kaiping de la ville de Tangshan, les malfaiteurs attachent le pratiquant à un lit avec les membres écartés et puis on lui administre des drogues inconnues au moyen d’intraveineuses.
16. Drogues mélangées à la nourriture
Les malfaiteurs mettent de la drogue, y compris des médicaments pour dormir et autres substances inconnues dans la nourriture du pratiquant.
17. La torture de l’“Entraînement de l’aigle”
Les malfaiteurs ne permettent pas au pratiquant de boire quoi que ce soit (certaines fois pendant 2 semaines consécutives) ne permettent pas au pratiquant de dormir (certaines fois pendant 49 jours consécutifs) et ils ne permettent pas au pratiquant d'utiliser la salle d’eau, pendant très longtemps.
18. Donner des chocs au vagin des pratiquantes avec les matraques électriques
Un malfaiteur du centre de détention de Xingtai, province de Hebei a donné des chocs au vagin de pratiquante Qian Wanyun avec une matraque électrique et s’écriait, « Je vais faire ceci afin que vous ne puissiez pas être une femme ! »
19. Torture de s’asseoir sur une chaise en métal pendant longtemps
Les malfaiteurs forcent un pratiquant à s'asseoir sur une chaise spéciale en métal, où le pratiquant ne peut pas bouger. Le pratiquant Wang de la ville de Shijiazhuang a été menotté sur cette chaise pendant 15 jours et nuits consécutifs.
20. La torture d’une planche clouée
Le camp de travail a un outil de torture, un panneau en bois avec beaucoup de clous enfoncés dont les extrémités sont en dièse vers le haut. Les malfaiteurs forcent le pratiquant à s'accroupir légèrement au-dessus de la planche, et s'il se fatigue et s'assied, les clous lui perceront les fesses et les dos de ses cuisses
21. Menotté par derrière
Une des méthodes de torture les plus utilisées : Les malfaiteurs menottent les mains du pratiquant derrière le dos et le suspendent dans les airs par les menottes, ses pieds ne touchant qu’à peine par terre. Pei Fuhai, chef du centre de détention de Jize de la ville de Handan, bat d'abord les pratiquants et alors les menotte par derrière et les suspendent pour aussi longtemps que cinq jours et cinq nuits
22. L’emploi de serpents et de crapauds vénéneux
Les malfaiteurs du camp de travaux forcés de Gaoyang de la province de Hebei menottent les pratiquants et les forcent à s'asseoir par terre tout en leur administrant des chocs avec trois ou quatre matraques électriques. Alors ils jettent des serpents et des crapauds vénéneux sur le corps du pratiquant.
(1)* (1) Le Banc du Tigre: on force les pratiquants à s’asseoir sur un petit banc en fer d’environ 20 cm de haut, avec les genoux attachés ensemble. Les mains attachées dans le dos ou parfois placées sur leurs genoux, on les oblige à rester assis bien droit et à regarder devant eux. Ils n’ont pas la permission de tourner la tête, ni de fermer les yeux, ni de parler à qui que ce soit, ni de bouger. Plusieurs détenus ont la tâche de les surveiller et de les obliger à rester immobile quand ils sont assis sur le banc. D’ordinaire, on place des objets durs sous les jambes ou sous les chevilles du pratiquant pour rendre ce mauvais traitement plus difficile à tolérer (voir l’illustration sur <>)
(2) Déclaration de garantie : une déclaration pour assurer qu’il ou elle est plein(e) de remords d’avoir pratiqué le Falun Gong et qui garantit qu’il ou elle ne pratiquera plus le Falun Gong, ne ferra pas appel à Pékin pour le Falun Gong et n’aura plus jamais de relations avec aucun pratiquant de Falun Gong.
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