(Minghui.org)
Un pratiquant de Falun Gong a fait une grève de la faim au centre de détention après que la police l’eusse illégalement arrêté. Lors de sa faiblesse extrême, les autorités l’ont transféré au camp de travail. La police l’a gavé de nourriture mêlée d’eau salée concentrée. Il se tordait de douleur sur le plancher en raison du mélange qui brûlait comme de l’acide dans son estomac ce qui l'a obligé à cesser sa grève de faim pendant un certain temps. Ensuite, il a été isolé dans une petite cellule, où il a encore fait une grève de faim. Plus tard il a été libéré.
Après une certaine période, il a été de nouveau enlevé et placé dans le camp de travail. Au lieu de faire une grève de faim, il a résisté à la persécution d'une autre manière. Commençant à minuit, il faisait la méditation assis sur son lit. Les détenus responsables de surveiller les pratiquants de Falun Gong étaient stupéfiés devant sa tentative et ont essayé de l'arrêter. Mais il leur a juste envoyé un sourire et a continué à faire la méditation jusqu'au matin sans argument. Ensuite, chaque fois qu'il se levait pour méditer, les détenus l’emmenaient au bureau du chef d'équipe pour une conversation. La police a exigé que les criminels l’empêchent de dormir durant la journée, mais il ne tombait jamais endormi, même si cela lui était permis. A chaque soir, il se levait et méditait après un somme d’une ou deux heures, Il disait au chef d'équipe que ceci était l’heure habituelle de méditer lorsqu’il était chez lui. Il a clarifié la vérité du Falun Gong patiemment au chef d'équipe dans son bureau. Le chef d'équipe était fatigué, mais le pratiquant était rempli d’énergie. Une semaine plus tard, le chef d'équipe était trop fatigué et ne pouvait plus endurer cela. Afin d’empêcher les autres pratiquants à méditer comme il le faisait, la police l’ont enfermé dans une petite cellule avec un autre pratiquant qui faisait une grève de la faim. Ils l’ont menotté soit à une chaise ou un lit et l’ont bâillonné avec un support athlétique. Cependant, le pratiquant était libre de tout souci et gardait un esprit calme. Les chefs d'équipe ne pouvaient plus continuer avec lui et lui ont demandé de partir. Le chef de groupe de la police dans le camp lui a dit: « Vous avez votre congé dès demain, vous allez partir. Je payerai le prix du taxi. »
Aux dates « politiquement sensibles », les fonctionnaires n'ont pas voulu que les pratiquants de Falun Dafa distribuent de l'information. En raison de cela, les pratiquants ont été détenus et envoyés de nouveau au camp de travail. Sans hésitation, il a commencé la grève de la faim. Quelques jours plus tard, on l’a libéré.
Extérieurement cela n’a l’air de pas grand chose de spécial, mais ces libérations se sont produites réellement parce que son caractère est à un niveau plus élevé. À la mention de son nom, les chefs d'équipe ont un mal de tête. Ce pratiquant de Falun Dafa n'a aucun concept de la crainte ni de la mort. Quand on a éliminé les facteurs mauvais dans d'autres dimensions par ses pensées droites fermes, les malfaiteurs sont devenus résignés. Le camp de travail a-t-il la témérité pour l'emprisonner ? Est-ce que les facteurs pervers aiment se faire poignarder au cœur par l’épée aiguisée de ses pensées droites ?
Comme je pense au récent partage d’expériences nous avons eu concernant les grèves de faim, je suis certain que ces camarades pratiquants sont vraiment merveilleux. Je ne pense pas que c'était la forme d'une grève de faim qui a aidé les pratiquants à regagner leur liberté, mais ce sont les pensées droites qui les ont libérés de leur crainte de la vie et de la mort en validant la Loi et en éliminant les facteurs mauvais. Pour les pratiquants qui sont encore torturés, les forces perverses sont plus désespérées parce qu'elles savent qu'elles sont plus près de la destruction. D'autre part, ce peut être le résultat de beaucoup de facteurs compliqués dans les vies précédentes des pratiquants. Je pense que la question la plus importante est que nous devons regarder à l’intérieur avec un esprit calme quand nous souffrons des situations extrêmement douloureuses. Avons-nous un esprit « assez fort pour raser une montagne »comme un pratiquant a déjà mentionné ?
Le point est que la forme superficielle n'est pas importante. Le pratiquant dont il question ci-dessus a obtenu sa liberté en faisant une grève de faim, mais il a été également libéré une autre fois sans employer la grève de la faim. Ce à quoi nous devrions faire attention est la nature derrière la forme. Avec la force de la Loi, nous pouvons nous servir de différentes approches tel qu’exige la circonstance.
En terminant cet article, j’aimerais partager avec mes camarades pratiquants le poème de Maître « Pensée droite comportement droit »
Les grands Éveillés ne craignent pas l'amertume
Leur volonté est fondue de diamant
Aucun attachement à la vie ou la mort
Francs et purs sur le chemin de la rectification de la loi
(Traduction provisoire de Hong Yin, sujet à amélioration)
Le 24 décembre, 2003
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