(Minghui.org)

 Le président de l’Association psychiatrique mondiale (WPA), le Dr. Okasha, a reçu une lettre du président de la Société psychiatrique chinoise (CSP) cancellant les plans de la WPA du 4 avril à Pékin. Le voyage était organisé avec le but de faire une investigation indépendante sur la torture psychologique envers les pratiquants de Falun Gong. Dr. Okasha n’a pas annoncé les détails de la lettre reçue le 26 mars, disant seulement que la WPA devait canceller l’enquête contre leur gré. L’enquête de WPA avait été planifiée à Yokohama, Japon, en août 2002. L’enquête avait été planifiée à l’origine à la réunion annuelle de la WPA tenue à Yokohama au Japon, le 26 août 2002. On avait planifié de commencer l’enquête le 4 avril 2004. Il y avait environ 6000 psychologues et médecins en psychiatrie qui avaient participé à cette réunion de la WPA. Selon un rapport de la Compagnie de diffusion canadienne (CBC) du 27 août 2002, l’association de WPA avait édité un rapport de 300 pages en juillet 2002 et avait documenté des cas spécifiques prouvant l’existence de traitements abusifs en psychiatrie en Chine. Le rapport déclarait également que les autorités chinoises incarcéraient les dissidents politiques et les pratiquants de Falun Gong dans les hôpitaux psychiatriques. Les représentants de la réunion avaient voté et accepté d’envoyer une équipe de recherche en Chine et s’attendaient à terminer cette enquête en 2003.

Une enquête avait été projetée comme alternative douce plutôt que l‘annulation de l'adhésion de la Chine comme membre. L'Université royale britannique des psychiatres avait proposé que Pékin devait accepter la décision de faire une enquête sur les hôpitaux psychiatriques de la Chine selon un rapport de l’Agence centrale de nouvelles (ACN) de Paris du 28 août 2002. Si la Chine refusait d'accepter l'examen, la Chine perdrait son adhésion à l’association de WPA. Cette proposition n'a pas été acceptée, cependant. La plupart des membres votant sur la proposition ont suggéré une manière plus douce d’inciter le « vouloir » de la Chine ; d’accepter la proposition. Selon un rapport spécial de ACN, l'Agence France Presse (AFP) a cité la présidence du Comité de la Science de la WPA, Juan Lopez-Ibor, lorsqu’il a dit que Pékin avait accepté l'examen. Il était for probable que la réunion aurait lieu avant le mois de mai 2003.La WPA planifiait une réunion détaillée avec le Pékin pour assurer l’indépendance nécessaire aux experts faisant l’enquête. Lopez-Ibor a reçu et accepté une invitation du CCP de rendre visite à la Chine en février 2002. Il a même rencontré le Ministre-adjoint de la Santé.

L’AFP rapporta en août 2002 que le CCP avait réussi à adoucir l’attitude de la WPA en envoyant cette invitation. Lopez-Ibor était bien appuyé par le l'Université royale britannique des psychiatres, mais il a éventuellement décidé d’adhérer à la formule plus douce de faire une investigation. Cependant les plans qui ont été faits à la réunion annuelle de la WPA à Yokohama n’ont reçu aucune coopération de la Chine pendant l’année et demie qui a suivie. La situation n’a pas changé jusqu’à ce que le Dr. Okasha ait rencontré le Président de la Société psychiatrique chinoise (CSP) et le Ministre-adjoint de la Santé à Pékin en janvier 2004. Cependant, le Dr. Okasha a reçu une lettre du Président de la CSP le 26 mars 2004 et dû canceller contre son gré le voyage à Pékin. Les rapports du ‘Mental Health Watch de la Chine’ jusqu’au ‘World Health Organization (WHO)' sur les abus psychologiques des pratiquants de Falun Gong en Chine Le ‘Mental Health Watch de la Chine’ a écrit une lettre à la WHO, ce 8 janvier 2004 concernant la persécution psychologique continue des pratiquants de Falun Gong et les abus de traitements psychiatriques en Chine. Le ‘Mental Health Watch de la Chine’ a demandé à la société internationale d’aider à faire cesser la persécution envers les médecins et les travailleurs dans la société médicale chinoise.

La lettre demandait également à la WHO de participer à la cessation espérée de la persécution inhumaine et sauvage qui sévit en Chine, au maintien de la norme morale de la société médicale mondiale, aussi bien qu’au respect des droits humains. Le ‘Mental Health Watch de la Chine’ a été établi le 21 novembre 2003 à New York. C’est un organisme non-gouvernemental, compose de psychiatres, de psychologues, de travailleurs sociaux, d’avocats et de volontaires en bénévolat de partout dans le monde. L’objectif de cet organisme est de persuader les travailleurs en Chine de cesser à participer dans cette persécution et d’aider à ramasser les preuves nécessaires. Cet organisme a également exhorté la société internationale à aider dans cette lutte contre la persécution et d’aider les droits humains internationaux et autres organismes légaux à enquêter sur toute personne ou organisation participant à la persécution des pratiquants de Falun Gong .

TRADUIT AU CANADA : 4/7/2004