(Minghui.org)
Mon nom est Gao Fen. J'ai 32 ans et je vis dans le village de Jiabo, Gaojiaai, ville de Jiulong, ville de Jiaozhou. J'ai eu, premièrement la chance d’apprendre Falun Dafa en juillet 1997. Peu de temps après, mes migraines et une fissure à l’anus sont disparues sans aucun traitement médical de plus. J'ai personnellement expérimenté le miracle de Dafa. Plus tard, j'ai aidé ma mère à apprendre le Falun Gong. Elle était très faible et fréquemment malade, pourtant, maintenant, elle mange et travaille bien. D'ailleurs, elle n’argumente plus longtemps avec mon père.
En octobre 1999, un pratiquant de la ville de Ducun et moi, sommes allés à Beijing faire appel pour le Falun Gong. Cependant, avant même que nous ayons atteint le bureau des appels, une foule de policiers en civil nous ont poussés dans une voiture de police. Nous avons été ramenés au commissariat de police local, où j'ai été détenu pendant 15 jours. Quand j'ai été libérée du commissariat, sans aviser ma famille, le gouvernement local de la ville m'a envoyée à un centre de détention où j'ai été détenue pendant 2 mois. Un membre du personnel du gouvernement de la ville, Zhou Guangrong, a forcé ma famille à lui payer une amende de 2000 yuan avant que je ne puisse être libérée.
En juin 2000, j'ai été arrêtée sans raison et conduite au commissariat de police de Fuan. J'ai été enfermée dans une cage en métal. Les policiers ne nous permettaient pas de manger, ni de boire, ni d’aller à la toilette. Ils nous ont détenus sans raison pendant 7 jours. Après, le gouvernement de la ville de Jiulong m'a envoyée à l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou pour me faire torturer.
L'hôpital psychiatrique a trois étages. Il y avait des pratiquants de Falun Dafa détenus à chaque étage. Les docteurs m'ont forcée à prendre leur médicamentation dès que je suis arrivée. Les drogues étaient apparemment toxiques parce que je me suis sentie constamment étourdie. Pendant mes menstruations, des caillots de sang violacés foncés ont été expulsés. A cause de la même torture, l’expression de Xu Yanzhong un pratiquant de Dafa est devenu triste, ses mouvements ont ralentis, le processus de ses pensées était lent et il a radotait sans contrôle. Si vous refusiez de prendre la médicamentation, le docteur ordonnait à plusieurs grands patients mentalement dérangés de vous gaver. J'ai essayé de raisonner avec les docteurs. Ils disaient froidement qu'ils ne pouvaient rien faire et ceci était leurs devoirs politiques. Sous une telle torture brutale, j'ai écrit une « lettre de garantie » contre ma volonté, ainsi je serais libérée.
En octobre 2000, pour clarifier la vérité davantage et nettoyer la tache d’avoir écrit la « lettre de garantie », j'ai marché sur le chemin vers Beijing. J'ai été reconnue par une personne de mon comité local, politique et juridiciaire, dont le nom de famille est Sui, et j’ai été ramenée de nouveau au commissariat de police local. Il y avait 3 pratiquants de la ville de Jiulong, qui avaient été ramenés de Beijing. C’était Li Qisheng et Wang Yiexiang (tous les 2 avaient plus de 60 ans) et Dong Xiaozhuang (environ 30 ans.) Ils sont tous venus du village de Baiguoshu.
Les policiers ne nous ont pas donné à manger. Ils ont même menotté Li Qisheng à un pilier en métal. Quand il est devenu fatigué, il s'est assis sur le sol. Les nuits en octobre étaient déjà devenues très froides. À la fin, Li Qisheng a été torturé jusqu'au point où il ne pouvait plus utiliser ses jambes. En dépit de son état, un homme, appelé Cao Shangyi, a continué de tous nous torturer. Il nous a forcés à s'accroupir dans la cour et nous a battus l’un après l’autre. Les hommes qui avaient plus de 60 ans, ont été battus avec un éventail sur le visage jusqu’à ce que leur face soit rouge et il leur a tiré sur les oreilles. Il nous a battus et insultés avec un langage répugnant. . Wang Yiexiang a aussi été électrocuté avec une aiguille électrique par un homme ignoble appelé Gao Chuangyi, du village de Gaojiaaipo.
À ce point, j’ai miraculeusement brisée mes menottes et je me suis échappé sous la protection du Maître. Plus tard, j'ai entendu les nouvelles que Li Qisheng était mort de la persécution. Maintenant, je n’ai aucun choix que celui de vivre dans la rue, incapable même de retourner à ma propre maison. J'ai appris que les bandits du gouvernement local de la ville viennent fréquemment à ma maison pour harceler les membres de ma famille et pour les menacer.
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