Croire fermement en Maître et émettre des pensées droites pour sauver nos camarades de pratique qui se sont égarés

(Minghui.org)

Par un pratiquant de Chine continentale

Mon fils a été illégalement détenu dans un camp de travail pendant quelques mois. Un jour, j'ai reçu une lettre de lui. Après l’avoir lue, je me suis senti mal à l’aise et affligé. Mon fils avait été soumis à un lavage de cerveau et maintenant semblait s'être égaré. Que devais-je faire ? J'ai soudainement senti une lumière au cœur quand je me suis rendu compte que les conférences de la Loi de Maître sont étudiées dans diverses dimensions. Les corps de chair des pratiquants dans la dimension de surface peuvent bien être loin l'un de l'autre, mais ils peuvent être liés entre eux dans d'autres dimensions. J'ai pensé, pourquoi ne pas envoyer les conférences de la Loi de Maître aux pratiquants que se sont égarés en employant d'autres dimensions, ce qui pourrait les aider à devenir plus forts de leur côté averti (divin) et les inviter à devenir clairs d’esprit de leur côté humain ?

Après avoir pensé à cela, mon coeur était calme. Après en avoir discuté l'un l'autre, mon épouse (une pratiquante) et moi avons décidé que nous enverrions des pensées droites chaque nuit à 4H00 heures du matin. Nous éliminerions le mal pendant dix minutes et puis continuerions à être tranquilles jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucune pensée mêlée. Par la suite nous ne ferions que visualiser notre fils et ces autres pratiquants illégalement détenus. C'était comme s’ils étaient devant nos yeux. En effet, nous pouvions les voir clairement, et leur disions: « Vous devez croire fermement en Maître jusqu’à la fin. Vous ne pouvez trahir les grandes espérances de Maître ni sa grande bienveillance soigneuse.. Si vous ne reconnaissez pas le Maître en ce monde humain alors vous n'êtes pas un pratiquant de Dafa. Si vous ne pouvez pas cultiver jusqu’à la plénitude parfaite dans cette période, vous n'aurez jamais une autre chance, et vous ne pourrez jamais avoir un siège dans le nouvel univers. » Ensuite, nous leur lisions des articles de Maître, et nous suppliions Maître d’apporter plus de soutien. Nous voulions que les pratiquants dans le camp de travail puissent les entendre, les recevoir, et les accepter. Nous lisions surtout : « Suggestion » « Disciples de Dafa pendant la période de la rectification de la loi, » et d'autres articles liés, et nous avons fait ceci tous les jours, sans interruption.

Deux mois plus tard, je suis allé rendre visite à mon fils. Avant que j'aie eu la chance de le lui demander il a dit, « Père, j'avais tort; Je comprends maintenant. Je demande pardon à Maître. » J'ai posé quelques questions, « Et eux (les autres camarades pratiquants détenus avec mon fils)? » « Ils sont tous comme moi et ils ont compris. Mes camarades pratiquants ont dit que pendant leur sommeil, quelqu'un leur disait les principes de la Loi et lisait les livres de Maître » Mes larmes coulaient et j'ai dit, « Merci Maître! » Quand mon fils m'a vu pleurer, il m’a demandé. « Qu’est-ce qu’il y a ? » J'ai répondu, « C’était le Maître qui vous a sauvés! » Quand j'ai eu tout expliqué, les yeux de mon fils se sont remplis de larmes également.

2004-5-27