(Minghui.org)

La division de travail pour femmes du camp de travail de Dalian dans la province de Liaoning est un endroit où les gardes torturent à leur gré, les pratiquantes immuables et emploient toutes sortes de mesures brutales pour essayer de détruire leur croyance. Ils ont choisi des détenues violentes pour physiquement maltraiter les pratiquantes. Ci-dessous sont certains des comptes rendus de la division pour femmes du camp de travail de Dalian, qui comptent seulement une petite partie de la persécution qui se déroule là.

La torture inclut la privation de sommeil, l’électrocution, enfoncer des matraques et du poivre dans le vagin des pratiquantes, les gaver avec des excréments humains, forcer le corps dans des positions difficiles pendant des périodes de temps prolongées et l'emprisonnement solitaire.

La division pour femmes dans le camp de travail de Dalian comporte de 4 groupes. Les pratiquantes ont été distribuées par 4 et mélangées parmi les délinquantes criminelles. Sous la direction des fonctionnaires du camp, chaque groupe emploie une grande cruauté pour forcer les pratiquantes à écrire des « lettres de conversion ». Les gardes encouragent les délinquants criminels à participer au battement des pratiquantes en plus de le faire eux-mêmes.

Mme Yuan, la garde de prison qui était devenue le capitaine de la division pour femmes en torturant sauvagement les pratiquantes, torturait les pratiquantes à son gré, les grondait constamment ou les mettait dans l'emprisonnement solitaire tout en leur tordant les bras. Les pratiquantes les plus immuables ont été torturées par elle. Beaucoup de pratiquantes ont été mises dans l'emprisonnement solitaire plusieurs fois. Les cas de torture des pratiquantes Sun Yan, Chang Xuexia, Qu Sumei, Xu Jinhuan et d'autres ont été exposés internationalement. Ils ont battu Mme Li Jun, de l'école médicale d'herbe chinoise de Dalian, si brutalement qu'ils lui ont rupturé la rate.

La garde Yang Jing a ordonné à 4 délinquantes criminelles de battre la pratiquante Yang Jun, lui meurtrissant tout le visage, lui ont fait des yeux au beurre noir et l’ont rendue boiteuse. Ils l'ont aussi forcée à faire du travail dur. Yang a été souvent mise dans l'emprisonnement solitaire et forcée de se tenir debout pendant de longues périodes de temps. Sa mémoire s’est détériorée et elle est devenue émaciée en raison des mauvais traitements dont elle a souffert. Plus tard, elle a été menottée à l'armature du lit et laissée assise dans ses propres excréments.

La garde Yang a dit : « Quiconque ne nous écoute pas, sera battue ». Elle a encouragé la criminelle Wang Xin à battre la pratiquante Wang Lijun. Une grande touffe de cheveux de Wang Lijun a été arrachée et son visage a été meurtrie et a enflé. Les témoins ont essayé d'écarter Wang Xin , mais ils n’ont pas pu. La garde Yang qui était tout près, a dit : « N’importe laquelle qui renonce au Falun Gong, peut aller en haut, sinon elle sera très rudement traitée ».

La garde Yuan, a obtenu l’aide de Wan Yalin, Yuan Lingyue et Han Janmin, dont les crimes ont été exposés précédemment, pour persécuter les pratiquantes tant mentalement que physiquement. Elles ont empêchées les pratiquantes de dormir et elles ont continué à fabriquer de faux articles du Maître et ont organisé des criminelles pour les soumettre au lavage de cerveau.

Les pratiquantes ont été forcées de faire un travail de forçat pendant plus de 10 heures par jour. Le travail consistait en la cueillette des haricots, tricoter des gants et des chapeaux, coudre des vêtements, empaqueter des baguettes, attacher des perles, rouler des boules de coton, attacher des algues et déchiqueter des légumes. Chaque jour, chaque personne était assignée à une charge de travail très lourde. Par exemple, pour séparer les haricots selon leur couleur, chaque personne devait fournir un quota de 333-667 livres par jour. Pour attacher les algues séchées, chacune était assignée à toute une boîte de 89-111 livres environ. Le chargement et le déchargement des boîtes lourdes font partie du travail aussi. Quelques pratiquantes plus âgés ou quelques pratiquantes handicapées ont eu à travailler plus de 10 heures par jour tout en boitant de ci de là. Il fait extrêmement chaud en été. Avec une charge de travail si lourde et très peu le sommeil, certaines d'entre elles étaient extrêmement fatiguées. Elles ne pouvaient pas garder leurs yeux ouverts, les mains tremblantes. Les gardes leur ordonnaient de se lever et de travailler.

Le cédule du jour était comme suit : se lever à 4h50 et commencer à travailler ; petit déjeuner à 6h30 ; continuer de travailler jusqu’à 7h00; déjeuner à 13h30 et fin du travail à 22h00. Très souvent, les pratiquantes ont dû travailler jusqu'à 1h30 du matin pour finir leur quota. Peu de temps après s’être étendue, épuisée, c’était le temps de se lever encore. Normalement, les toilettes étaient fermées à clef. Seulement pendant la pause du matin, du midi et dans la soirée il était permis aux pratiquantes d'utiliser les toilettes. A quiconque qui n'avait pas fini le quota assigné, il n’était pas permis d’avoir de repas ou d’aller à la toilette. En plus, elles étaient punies en devant rester en station debout et avec l’interdiction de dormir pendant la nuit. Les gardes disaient : « Ne pas avoir fini votre tâche signifie que vous avez besoin de continuer de travailler. Le travail que vous effectuez n’est pas suffisant pour gagner votre repas ».

L'environnement du travail était très mauvais. Les légumes qu’elles déchiquetaient, étaient saturés d’eau salée, qui mouillait tout le plancher. Les pratiquantes marchaient dans l’eau salée toute la journée et leurs chaussures et leurs pieds étaient vite endommagés. La division pour femmes a apporté des chaussures en plastique et les a vendues aux pratiquantes à un prix gonflés de 2 ou 3 fois. L'atelier était rempli de personnes et les gardes hurlant constamment contre les pratiquantes.

Ils fouillaient les pratiquantes chaque jour après le travail pour voir si elles portaient des articles du Maître. De temps en temps, le bureau de la division pour femmes allait vers chaque groupe sans avis préalable, pour fouiller leur corps. Si un article était trouvé, ils appliquaient une torture très cruelle ou prolongeait leurs termes. Après le travail manuel, pendant la journée, les pratiquantes étaient forcées de réciter les règles et les règlements du camps. Quiconque refusait de le faire, était ainsi privé de sommeil ou puni en devant rester debout et continuait le lendemain son travail de camp comme d'habitude.

Le camp de travail fait de l'argent en forçant les pratiquantes à travailler et il leur extorque aussi de l’argent en leur vendant des marchandises à des prix soufflés. Il achète des nécessités quotidiennes de qualité bon marché à bas prix et les revend aux pratiquantes à 2 ou 3 fois la valeur de la marchande. Il a forcé les membres des familles des pratiquantes à acheter des gâteaux de lune que le camp a fait, à un prix 5-6 fois plus élevé qu'ils étaient vendus à l’extérieur. Les membres de famille qui sont venus voir les pratiquantes, ont été tenus d'acheter le déjeuner là, à prix très élevés. L'argent et les vêtements que les membres de famille envoient sont souvent volés.

 Ce qui précède est seulement un compte partiel de ce qui s'est produit dans le camp de travail de Dalian, vu de mes propres yeux.

Les numéros de téléphone du camp de travail de Dalian :

  1. Le bureau: 86-411-86859072
  2. Switchboard: 86-411-86859961
  3. Director Hao Wenshuai: through switchboard
  4. Assistant director Zhang Baolin: through switchboard
  5. Administration department: through switchboard
  6. Women's Division: through switchboard
  7. Women's Division Team 1: through switchboard
  8. Women's Division Team 2: through switchboard
  9. Women's Division Team 3: through switchboard
  10. Women's Division Team 4: through switchboard