(Minghui.org)
Ecrit par des pratiquants du Falun Gong venus du Texas
Quelques pratiquants venus du Texas ont passé les quelques derniers jours à New York, pour raconteur aux habitants la véritable histoire du Falun Gong. Quelques unes de leurs expériences sont décrites ici.
1. J’ai été profondément touché à mon arrivée à New York. Il y avait là-bas quelques disciples de Dafa âgés qui rencontraient des difficultés financières ; ils n’avaient que très peu d’argent et vivaient dans de mauvaises conditions. Il arrivait qu’ils ne mangent pas de la journée. Les seuls aliments qu’ils achetaient étaient les produits les moins chers des magasins. D’autres fois ils n’avaient rien à boire pendant de longs moments mais ils continuaient toujours à clarifier la vérité aux gens à propos du Falun Gong.
2. Il y avait beaucoup de gens à New York, surtout ces quelques derniers jours, et la police était omniprésente. Notre groupe de pratiquants du Texas formait un groupe et distribuait des documents de clarification de la vérité à l’endroit le plus fréquenté de la ville qu’est Times Square. Au début, peu de gens nous remarquaient. Il y avait vraiment foule mais c’était comme si nous n’existions pas. On a alors commencé à étendre des bannières et à émettre la pensée droite. Quelques pratiquants ont commencé à pratiquer les exercices. Nos affiches, nos bannières, la gestuelle gracieuse et la tranquillité des exercices ont attiré l’attention des gens et de nombreuses personnes sont venues nous voir. Cela nous a appris encore plus sur la puissance de ne former qu’un corps. Notre champ de tranquillité créait un contraste évident avec les autres groupes exposant à côté, et la police était très courtoise à notre égard.
3. Nous étions à Times square, la place la plus fréquentée de New York. Le comportement et la tenue vestimentaire des gens était étrange, et de nombreuses personnes paraissaient froids. Je ne me sentait pas à l’aise au début, et ressentait plutôt de la tristesse. Plus tard j’ai compris que nous étions là pour modifier notre environnement et non pas se laisser toucher et émouvoir par ce dernier. J’ai aussi réalisé que tous les gens souffrent mais ne s’en rendent pas compte, et ils méritent pour cela de la pitié. Après avoir changé d’état d’esprit et avoir émis la pensée droite, plus de gens acceptaient nos documents.
4. Nous avions des préjugés négatifs sur les habitants de New York avant de venir. Nous pensions qu’ils étaient froids et qu’ils ne se préoccupaient pas des autres, mais lors du processus de clarification de la vérité, nous avons rencontré de nombreuses personnes bonnes et compatissantes qui nous ont beaucoup encouragés. On alors compris que dans une grande ville métropolitaine comme New York il y avait toute sorte de personnes, bonnes, mauvaises, ou indifférentes. On ne peut pas laisser nos opinions nous restreindre, mais nous devrions plutôt traiter tout le monde avec la plus grande compassion.
5. Nous commencions habituellement par dire aux gens des généralités sur le Falun Gong : comment le Falun Gong s’est répandu dans 60 pays ; la persécution du Falun Gong en Chine et les procès intentés contre les responsables à l’étranger, et d’autres informations. En même temps on montrait des photos de torture. A la fin, nous leur donnions des dépliants de clarification de la vérité. Les résultats ont été assez bons, et quelques personnes ont même demandé plus de documents.
6. Dans le passé, j’avais toujours peur de distribuer des dépliants. Si quelqu’un le refusait, je me sentais déçu et gêné. Cette fois-ci, entouré d’autres pratiquants, je pense que j’ai changé. J’ai fait mon possible pour parler aux gens. Je n’arrivais pas à répondre à une question, je demandais l’aide d’un autre pratiquant. Avec de la coopération, de l’entraide, et des encouragements des autres pratiquants, je crois que j’ai beaucoup progressé.
7. L’histoire d’un couple américain: Alors que je distribuais des documents de clarification de la vérité, un couple d’américains est venu me voir pour me poser des questions. Une fois que j’avais raconté la véritable situation du Falun Gong, ils m’ont dit qu’ils connaissaient bien la chine. Ils nous croyaient et ont exprimé leur compréhension et leur soutien. Ils nous ont raconté qu’un de leurs amis était allé visiter la place Tiananmen et avait vu des policiers frapper des pratiquants du Falun Gong. Un ressortissant australien avait voulu prendre des photos mais un policier l’avait empêché. Le policier avait aussi confisqué la pellicule de son appareil photo. Le couple raconta aussi les conditions misérables dans les prisons où les pratiquants étaient incarcérés, par exemple être priver de se laver pendant plusieurs jours, etc. Ils ont dit, « Même si vous survivez là-bas, ils vous traitent si mal que vous préfèreriez mourir ». Ils répétèrent qu’ils comprenaient et qu’ils ressentaient de la compassion pour les pratiquants.
8. Se libérer du concept de soi-même. Dans le métro je me suis assis à côté d’une dame chinoise. Je lui ai parlé du Falun Gong mais elle ne semblait pas intéressée. Je lui ai donnée un dépliant de clarification de la vérité pour lire. Quelques arrêts plus loin, un pratiquant assez âgé prit le même métro et distribua tout de suite des dépliants à tout le monde. Cette volonté pure d’offrir le salut à tout le monde m’a beaucoup touché. Ensuite le pratiquant a entamé une conversation avec la dame chinoise avec laquelle j’avais abandonné. La dame, cette fois-ci, écoutait avec un grand intérêt. Plus tard, on a su que cette dame arrivait juste de Chine. L’exemple du pratiquant m’a montré que je devais progresser, que je n’avais pas assez bien cultivé. Une fois ce problème compris, il était clair qu’il fallait que je fasse mieux dans le futur.
9. J’étais debout dans la rue pour distribuer des dépliants. Un jeune homme chinois était debout à côté de moi mais regardait le ciel comme si de rien n’était. Je lui ai demandé si il avait déjà entendu parler du Falun Gong. Il ne répondait pas. J’ai essayé de lui parler. Tout à coup, il dit, “ Vous dites que vous avez raison, mais le parti communiste dit la même chose ». Je compris qu’il ne connaissait pas grand-chose sur le Falun Gong. Je lui ai alors parlé de ce qu’apporte le Falun Gong au niveau de la santé physique et morale, et de comment il s’est répandu dans le monde entier. Ses yeux s’illuminaient. Plus tard, il m’a demandé des informations par écrit. Je réalisais alors l’importance de conserver un coeur plein de compassion. On ne devrait jamais décider d’abandonner une vie
10. Alors que je marchais dans la rue, un policier me courut après en criant. Il prit un dépliant de ma main et dit gravement « J’ai besoin de ça ». Je passais mon chemin en me retournant de temps en temps et je vis que le policier restait là à lire le dépliant.
11. Un jeune homme et une vieille femme ont pose beaucoup de questions sur la pratique du Falun Gong, jusque dans les details. Finalement, le jeune homme dit à la femme, « Maman, tu vois comme le Falun Gong est bon. Tu n’as maintenant aucune raison de ne pas pratiquer, pas vrai ? » Et puis il se sont en allé gaiement, avec des information sur les sites de pratique locale.
12. On trouve que peu importe le nombre de personnes à New York, peu importe la difficulté que leur dire la vérité représente, aussi longtemps qu’on le fera l’impact sera grandiose, c’est sûr. Une personne qui a entendu la vérité en parlera aux autres. Donc une personne le dit à dix personnes et dix personnes le disent à cent personnes ! La vérité sur le Falun Gong va inéluctablement se répandre dans tout New York et y sera planté profondément dans le cœur des gens.
Traduit de l’anglais en Europe le 14 septembre 2004 :
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