(Minghui.org)

Tous les pratiquants de Falun Gong devraient vivre au quotidien les principes d’Authenticité Bienveillance Tolérance. Une pratiquante a mentionné qu’elle n’aimait pas un certain pratiquant qui ne parlait pas avec sincérité et qui se comportait comme une personne ordinaire. Alors qu’elle mentionnait les erreurs faites par des pratiquants et qui avaient eu lieu plusieurs années auparavant, elle s’exprimait encore avec beaucoup d’émotions. Les pratiquants qui faisaient l’objet de sa critique ont pu éventuellement réagir parfois de la même manière. C’est ainsi que dans certains domaines, les pratiquants se sont progressivement divisés dans de petits sous-groupes et ils n’interagissent pas entre eux.


Dans « Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale à New York. Le 21/11/2004 » (dans les questions et réponses, 3ème partie), Maître à dit :


 « J’en reviens à ce que je disais autrefois: Bien que dans certains aspects il paraît vraiment mal se comporter, dans beaucoup d’aspects qui ne sont pas visibles, il a très bien cultivé. Vous ne pouvez pas le comparer avec une personne ordinaire. Vous ne devriez pas considérer ce genre de conflits entre eux comme un simple conflit, car c’est une opportunité qui leur est offerte pour s’élever » (traduction provisoire).


Dans ma cultivation pratique j’ai remarqué un point important que je voudrai partager avec les pratiquants vivant à l’extérieur de la Chine. J’ai réalisé que, comme nous n’avons pas encore atteint la plénitude, nous avons encore des attachements en nous. C’est ainsi que nous sommes confrontés à la difficulté de travailler avec les autres avec nos attachements. Développer notre propre capacité à tolérer les autres pourrait être plus important que décider de qui est le « plus capable » ou de qui a les « meilleures idées. » Après tout, c’est la cultivation pratique, pas les affaires des gens ordinaires. Nous avons peut-être tous ressenti une fois un mal de tête d’avoir lutté entre pratiquants. Une idée peut ne pas sembler être si « brillante » à première vue, mais de part notre coopération harmonieuse, les choses se passent plutôt bien. Cependant, si chaque pratiquante/pratiquant insiste sur sa/son idée et qu’elle/il persiste à débattre ou à argumenter sans fin, rien ne sera accompli même après une année de bonne planification. Dans « Enseignement de la Loi à la conférence de Sydney 1999 » Maître a dit : « Lorsqu'un conflit surgit entre deux personnes, même une tierce personne qui le voit doit réfléchir sur elle-même : "Oh, il y a un conflit entre elles, pourquoi me laisser voir cela, n'ai-je pas un attachement quelque part ? Est-ce que j'ai le même problème moi aussi ?" Donc s'agissant de la cultivation et la pratique, vous devez prendre vraiment la responsabilité envers vous-même, vous devez regarder en vous-même » (traduction non officielle).

Si notre cœur se consacre à la cultivation pratique, en plus du fait de regarder en soi, nous devrions aussi être capable de voir les bons côtés des autres pratiquants. Vous verrez à ce moment que les autres sont aussi sincères envers Dafa et que chaque compagnon de pratique a de la bonté.


C’est à nous tous qu’il revient de créer un bon environnement de cultivation. Lorsque l’environnement de cultivation est bon, l’environnement pour le travail s’améliorera aussi. Dans un environnement excellent, nos efforts pour clarifier la vérité seront beaucoup plus efficaces et mieux récompensés.



Traduit de l’Anglais en Suisse le 27/01/2005