(Minghui.org)

Ecrit par des pratiquants de Chine

Alors que je parlais de la vérité concernant le Falun Gong à quelqu’un de ma famille qui venait tout juste de quitter le Service de la Police de Beijing, il m’a dit ceci : «Le Parti communiste chinois est vraiment très sinistre. Dès qu’il y avait un conflit dans ma section, la seule façon de s’en tirer était de se battre et de se taper dessus. Il était considéré comme étant tout à fait normal pour des policiers plus anciens de battre les jeunes recrues ou de leur extorquer de l’argent. Au moment du Nouvel An Chinois de 2004 des bannières et des dépliants de Falun Gong ont été accrochés ou posés dans le périmètre de notre caserne. Les officiers commandant la caserne ont donné des ordres pour qu’il y ait trois rangées de sentinelles autour du quartier général de la police. Les agents postés sur les deux périmètres extérieurs étaient en civil tandis que seulement ceux à l’intérieur étaient en uniforme. Il y a eu des sentinelles en place pendant tout le premier mois de l’année. Ils devaient interroger toutes personnes qui entraient et interroger également les policiers pour traquer des pratiquants de Falun Gong ».

Il m’a dit également : « Les sentinelles Place TianAnMen étaient organisées d’une façon similaire. Il y avait trois cordons de policiers en faction. Les policiers en place sur l’extérieur et ceux sur l’intérieur étaient les seuls en uniforme alors que ceux stationnés au centre étaient en civil. Chaque jour le nombre de policiers en civil excédait le nombre de visiteurs sur la Place Tienanmen. Il était absolument impossible à quiconque de disposer du temps nécessaire pour s’asseoir, se mettre en position du lotus (assis les deux jambes croisées l’une au-dessus de l’autre), se verser de l’essence sur soi-même et d’en boire. Place TianAnMen on n’aurait pas eu le temps nécessaire, ni la possibilité physique d’agir ainsi car aussitôt assis, il y aurait eu sept ou huit policiers présents pour les entraîner de force dans des voitures de police. Les personnes à l’air honnête et qui se tenaient convenablement ne pouvaient pas aller au-delà du deuxième cordon de policiers. Les fonctionnaires de police ayant été postés comme sentinelles sur la Place TianAnMen n’ont pas besoin qu’on leur explique la vérité (sur l’auto- immolation) ; sachant la manière dont les sentinelles étaient disposés par leurs supérieurs, ils comprennent tous que l’immolation était truquée. »

Ancien employé du Bureau 610 : «C’est vous que je crois, pas eux. »

J’ai rencontré un jour dans un bus à Guangzhou un ancien membre du bureau 610. Après l’avoir salué, il m’a annoncé avoir quitté son poste au Bureau 610. Il m’a également dit : «Je vous crois, mais eux je ne les crois pas » J’ai été très heureux de savoir qu’il était capable de comprendre la vérité du Falun Gong.

Un membre du personnel de la Section Sécurité Publique protège les livres du Falun Dafa.

Après juillet 1999 quand le régime de Jiang Zemin a commencé sa répression brutale, un membre de la Section Sécurité publique de la ville de Panjing, sous la contrainte de ses supérieurs, s’est rendu chez un pratiquant pour fouiller ses affaires personnelles. Il a trouvé plusieurs livres de Dafa. Le pratiquant lui a dit : « Ces livres sont très précieux. Vous ne pouvez pas les emporter ». Cet employé a dit au pratiquant en privé : « Je garderai ces livres pour le moment. J’en assurerai la protection à votre place et vous les rendrai plus tard.»

A quelque temps de là quand le pratiquant a rencontré l’employé de nouveau, il a demandé « Où sont ces livres » et l’employé a répondu : « Ils sont chez moi. Voulez-vous venir je vous prie à la maison, les récupérer ? »

Le pratiquant est allé chez l’employé. Sa femme l’a chaleureusement reçu et lui a rendu tous ses livres sur Dafa sans qu’il en manque et sans qu’ils aient subi le moindre dommage.

Traduit de l’anglais en France le 11 février 2005.