(Minghui.org)

Li Ming, le correspondant pour Clartés et Sagesse a rapporté :

Le nouvel an chinois est une période où les familles se rassemblent et célèbrent les vacances.

Cette année, il s’agit de la sixième nouvelle année chinoise depuis que Jiang et ses complices persécutent le Falun Gong. Pour d’innombrables familles qui ont eu leurs proches enlevés ou même torturés à mort pour leur croyance en Authenticité, Bienveillance, Patience, c’est une période de souvenir douloureux du passé. Pour eux, la plus importante fête traditionnelle chinoise et ses retrouvailles dans la joie a perdu son sens.

La persécution a brisé d’innombrables familles. Certaines familles ont perdu un de leur membre et d’autres en ont perdu plusieurs. Des enfants ont perdus leurs parents; des épouses ont été séparées de leurs maris; des personnes âgées ont été privées de l’attention et de la chaleur de leurs enfants. De nombreux pratiquants de Falun Gong sont détenus de façon illégale dans des prisons, des camps de travaux forcés et des centres de détention où ils sont soumis à des mauvais traitements graves, tant physiques que mentaux. Plusieurs pratiquants n’ont pas d’autres choix que de quitter leurs demeures pour éviter d’être illégalement arrêtés ou harcelés. Certains pratiquants vivant à l’étranger se voient refuser par les consulats chinois l’obtention d’un nouveau passeport dû à leur croyance en Authenticité, Bienveillance, Patience; ainsi ils ne peuvent pas retourner en Chine pour se réunir avec leurs familles. Au lieu de cela, ils sont obligés de s’en remettre aux cartes postales, aux coups de téléphone et aux courriels pour communiquer leur affection à leurs familles. La persécution du Falun Gong par le groupe de Jiang a détruit tant de familles.

Regardons de plus près la situation des vies de plusieurs personnes ordinaires en Chine – celles de pratiquants de Falun Gong et de leurs famille vivant sous la persécution terroriste depuis juillet 1999, période clamée par le Parti Communiste Chinois (PCC) comme étant « la meilleure période dans l’histoire de la Chine pour les droits humains. »

Contenus:

Perte de plusieurs membres de famille à cause de la persécution dévastatrice
Perte d’une mère à un jeune âge, perte d’un mari ou d’une épouse à l’âge mûr et perte d’un fils pendant la vieillesse, toutes pertes causées par la persécution
Le PCC et le groupe de Jiang ont commis des injustices ignobles contre les pratiquants de Falun Gong et les membres de leurs familles
Mensonges, haine et implications font du mal à des vies innocentes
Les pratiquants de Falun Gong à l’étranger privés de leurs droits de rendre visite à leurs familles en Chine, simplement à cause de leurs croyances

1. Perte de plusieurs membres d’une famille à cause de la persécution dévastatrice

Une famille est décimée

Une famille de sept personne du village de Canfangying, commune de Beixinpao, conté de Huailai, ville de Zhangjiakou, province de Hebei, sont tous pratiquants de Falun Gong: le père Chen Yunchuan, la mère Wang Lianying, la sœur aînée Chen Shulan et sa fille Li Ying, le frère aîné Chen Aizhong, le frère cadet Chen Aili et la sœur cadette Chen Hongping. Ils ont tous énormément bénéficié de la pratique de Falun Gong. Les crampes dans les jambes de Chen Aizhong ont disparues sans aucun traitement; l’arthrite et l’asthme de Wang Lianying ont guéris et sont caractère s’est de plus énormément amélioré après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong.


Chen Aizhong (frère aîné)


Chen Hongping (sœur cadette)


La famille Chen

Tôt en 2001, après le début de la persécution du Falun Gong le 20 juillet 1999, Chen Aizhong, le frère aîné, a été illégalement condamné à trois années de rééducation dans un camp de travaux forcés. Le 12 septembre 2001, il a été envoyé au camp de travaux forcés n°.1 de la ville de Tangshan, province de Hebei. Huit jours plus tard, il est mort de la torture. Les criminels du commissariat de police Donghuayuan du conté de Huailai ont enlevé la sœur cadette Chen Hongping. Elle a été brutalement battue jusqu’à ce que ses deux jambes soient cassées. Mme Chen a été torturée pendant une année et demi au camp de travaux forcés de Gaoyang; elle en est morte le 5 mars 2003.

Le 28 février 2004, le père Chen Yunchuan et sa femme Wang Lianying ainsi que Chen Aili (le frère cadet) ont été enlevés et envoyés au centre de lavage de cerveau de Shalingzi dans la ville de Zhangjiakou où ils ont été torturés. Ils ont fait une grève de la faim en guise de protestation. Deux mois plus tard, Chen Yunchuan et Chen Aili ont été relâchés. Cependant, les auteurs des crimes du département de police du conté de Beixinbao ont envoyé des gens pour les surveiller 24 heures sur 24. Chen Aili était en très mauvaise condition physique à cause de la torture à laquelle il avait été soumis au cours de sa détention. Le 9 juillet, il est parti de chez lui de façon à échapper aux criminels qui le surveillaient en permanence. Toutefois, sa condition physique était épouvantable et il était de plus en plus faible chaque jour. Chen Aili est ainsi décédé le 5 novembre 2004.

Le 26 juillet 2004, le père, Chen Yunchuan, a été amené au centre de lavage de cerveau Shalingzi pour y être persécuté davantage. Le 19 octobre, sa femme Wang Lianying a été relâchée alors qu’elle était au le seuil de la mort et Chen Yunchuan a été relâché le même jour. Peu après leur remise en liberté, ils ont perdu leur deuxième fils, Chen Aili.

Présentement, parmi leurs quatre enfants, la soeur aînée Chen Shulan est détenue illégalement au camp de travaux forcés pour femmes de Tiantanghe dans le conté de Daxing, Pékin. La fille de Chen Shulan, Li Ying est détenue à l’orphelinat du district de Cangping parce qu’il ne reste personne dans la famille pour prendre soin d’elle.

La pratiquante de Dafa Yu Xiulan et sa fille Li Haiyan de Mongolie Intérieure meurent de la torture

La pratiquante de Dafa Mme Yu Xiulan avait une soixantaine d’années et vivait dans la ville de Dayangshu, du district autonome de Orogen, de la région autonome de Mongolie Intérieure. Elle souffrait de graves problèmes vasculaires aux jambes et en conséquence elle était souvent alitée. Des années de traitements médicaux n’avaient pas réussi à améliorer sa condition et elle se battait avec cette maladie débilitante. En 1999, Mme Yu a commencé à pratiquer le Falun Gong et sa santé s’est graduellement améliorée. Toutes ses maladies, dont certaines étaient chroniques, ont disparu; le Falun Dafa lui a procuré une excellente santé.

Après le début de la persécution, Yu Xiulan a été illégalement détenue à plusieurs reprises parce qu’elle refusait d’abandonner ses croyances en Dafa et que, bien au contraire, elle clarifiait aux gens la vérité sur le Falun Dafa et sur la persécution. Le 12 novembre 2000, Bai Li, le chef du commissariat de police de la rue de Zhongyang dans la ville de Dayangshu et les officiers de police locaux Liu Changxiao et Peng ont enlevé Mme Yu de chez elle. Elle a été illégalement détenue au centre de détention n°. 2 du district autonome de la ville de Wulunbeier, en Mongolie Intérieure.

Plus tard, Yu Xiulan a été illégalement condamnée à trois années de prison et envoyée à la prison pour femmes de Baoanzhao. Là-bas, Yu Xiulan a fait une grève de la faim pendant plus de 50 jours pour protester contre la persécution et elle est devenue émaciée. Plus tard, Mme Yu a présenté des symptômes de blocage cérébral. Sa famille a demandé à ce qu’elle soit relâchée pour raisons médicales, mais les autorités de la prison ont refusé et ont gardé Yu Xiulan enfermée dans le noir, dans une cellule d’isolement. Mme Yu est morte le 22 décembre 2002.

Deux ans plus tard, Li Haiyan, la fille de Yu Xiulan et âgée de 30 ans, également pratiquante de Dafa, a clarifié la vérité aux gens et a été enlevée et torturée à plusieurs reprises. Elle a attrapé la tuberculose durant son incarcération et elle est morte à 4 heures du matin le 14 janvier 2005. Le même jour à 9 heures, la policière Zhang Xiling et le chef du comité administratif de la rue ont rapidement pris son corps pour l’incinérer.

Le mari de Yu Xiulan, Li Jinrong, s’est rendu à Pékin selon la loi pour faire appel. Il a été illégalement arrêté et détenu au bureau de liaison de Mongolie Intérieure à Pékin. Il s’est enfuit et a été forcé de s’exiler. Comme les auteurs des crimes de la ville de Dayangshu ne pouvaient pas arrêter Li Jinrong, ils ont enlevé sont fils aîné et l’ont gardé dans un centre de détention. Li Jinrong est allé demander à voir son fils et il a été illégalement détenu pendant plus de huit mois. Finalement, il a été relâché après que sa famille ait fait plusieurs demandes. Le fils de Li Jinrong a été relâché après 15 jours de détention illégale. Plus tard, Li Jinrong a été illégalement détenu pendant 15 mois supplémentaires pour avoir distribué de la documentation de clarification de la vérité sur le Falun Dafa.

Zhang Quanfu et son fils ont été torturés à mort aux camps de travaux forcés de Chaoyanggou dans la ville de Changchun


Zhang Quanfu et sa nièce

Auparavant, Zhang Quanfu souffrait d’ostéo hyperplasie, d’urémie et d’autres maladies graves. Au mois de janvier 1999, après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, toutes ses maladies ont disparu et il a de nouveau retrouvé une santé totale. Le 20 juillet 1999, après le début de la persécution, Zhang Quanfu et son fils se sont rendus à Pékin pour faire appel auprès du gouvernement en tant que représentants du Falun Dafa. La police s’est à plusieurs reprises rendue chez eux pour les harceler et les a illégalement détenu. Le soir du 6 mars 2002, la police a pris Zhang Quanfu et son fils et les ont illégalement condamnés à une année de travaux forcés. Ils ont été envoyés au camp de travaux forcés de Chaoyanggou à Changchun.

Pendant sa détention, Zhang Quanfu a été torturé jusqu’à ce que les muscles de ses jambes s’atrophient et qu’il soit incapable de marcher. Il avait du pus et du sang dans ses selles et il était extrêmement émacié. Les auteurs de ces crimes l’ont traîné dans les escaliers, de haut en bas, jusqu’à la cafétéria et de retour et ce, à répétition. Le 2 janvier 2003, Zhang Quanfu a été torturé à mort dans la brigade 2, division 6 du camp de travaux forcés de Chaoyanggou. On a appris qu’on avait même refusé de donner à boire à Zhang Quanfu alors qu’il était étendu, mourrant. Avant sa mort, Wang Fuli, le prisonnier de service, a continué de lui donner des ordres, et le chef de la police, Li Zhongbo, a continué de le frapper au visage.


Le fils de Zhang Quanfu, Zhang Qifa, est également mort de la persécution

 Le 18 janvier 2003, 15 jours après la mort de Zhang Quanfu, son fils Zhang Qifa, a été relâché alors qu’il était au le seuil de la mort. Son corps était couvert de cicatrices, sa peau était noire et dure et couverte de grosseurs et de furoncles indurés. Il ne pouvait plus marcher à cause de la douleur dans ses jambes et il avait de la difficulté à respirer, à parler et à utiliser ses fonctions intestinales et urinaires. Zhang Qifa est décédé à midi le 19 janvier 2003.

La fille de Zhang Qifa, Zhang Qi, n’avait alors que 15 ans. En l’espace de 17 jours, elle a perdu à la fois son père et son grand-père et les policiers se rendaient souvent chez elle pour la harceler. La jeune femme souffre énormément sur le plan émotionnel et physique, à cause du stress causé par la persécution et de l’absence de soins corrects.

Le pratiquant de Dafa M. Bi Wenming du conté de Longxi, province de Gansu et ses beaux-parents sont morts de la persécution

M. Bi Wenming était âgé de 34 ans et vivait dans la région ouest sub-urbaine du conté de Longxi, province de Gansu. Il a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Son beau père, Huang Zhiyi et sa belle mère He Chunmei, ont commencé à pratiquer Dafa dans les environs de 1998. Mme He Chunmei, âgée de 60 ans, était illettrée et très malade avant de pratiquer le Falun Dafa. Plusieurs mois plus tard, elle a commencé à pratiquer le Falun Gong, et non seulement elle a retrouvé une parfaite santé, mais elle a également été capable de lire le livre Zhuan Falun. Pendant les 15 jours durant lesquels M. Huang Zhiyi a aidé sa femme à lire Zhuan Falun les blessures post opératoires non guéries qu’il avait depuis six ans se sont guéries d’elles mêmes. Il a été très surpris par ce miracle.

Après le début de la persécution brutale du Falun Gong, Bi Wenming s’est rendu à Pékin pour faire appel pour Dafa au mois de février 2000. Lorsqu’il est rentré, il a été incarcéré dans le centre de détention du conté de Longxi et détenu là bas pendant un mois. Au mois de décembre 2000, He Chunmei et son mari Huang Zhiyi, ensemble avec Bi Wenming et sa femme, se sont rendus à Pékin pour faire appel pour le Falun Gong. He Chunmei et Huang Zhiyi se sont faits renvoyés et ont été détenus dans une prison locale pendant six mois. Bi Wenming a été à nouveau illégalement détenu pendant un mois à Pékin et, après avoir été relâché, il a quitté sa maison pour éviter d’être persécuté davantage.

Tentant d’arrêter Bi Wenming et sa femme, la police locale a surveillé la résidence qu’ils partageaient avec leurs parents. Les fonctionnaires ont harcelé constamment et ont mis la pression sur He Chunmei et Huang Zhiyi, les menaçant de les arrêter s’ils ne dénonçaient pas à la police leur fille et leur beau fils. Suite à ce stress mental extrême, Huang Zhiyi a eu une rechute d’une ancienne maladie et est morte le 19 janvier 2002.

Au mois de février 2002, Bi Wenming a été arrêté dans la ville de Lanzhou par les officiers de police du département de police de Qilihe. Il a été illégalement détenu dans le centre de détention de Xiguoyuan dans la ville de Lanzhou et a été par la suite envoyé au centre de détention du conté de Longxi. En 2003, M. Bi a été condamné à trois années de prison et il a été détenu dans la prison de Lanzhou. En 2004, il a été transféré dans la prison de Dingxi. Les gardes Li et Zhang Jianying ont frappé Bi Wenming avec des matraques électriques. Le matin du 3 septembre, les gardes ont ordonné à deux prisonniers de battre Bi Wenming. Dans l’après midi, cinq ou six gardes ont traîné Bi Wenming dans une cellule d’isolement et l’ont torturé avec une chaise électrique de haut voltage; et il est mort sur place.

La mère de Wenming, He Cunmei, a souffert énormément d’inquiétude et de chagrin et est décédée le 30 septembre 2004.

Les pratiquantes de Dafa Yang Guiqin et sa soeur Yang Guijun de la province de Jilin sont mortes de la torture

Vers la fin septembre 2002, la pratiquante déterminée de 47 ans, Yang Guiqin et sa soeur de 43 ans Yang Guijun de la ville de Baiquan, conté de Dongliao, province de Jilin, ont été illégalement condamnées à plus de dix années de prison. Elles ont été envoyées à la prison pour femmes de la province de Jilin. Elles sont mortes de la torture à 7 mois d’écart, l’une au mois de novembre 2002 et l’autre au mois de juin 2003.

Yang Guiqin faisait parti de la liste des personnes “recherchées” par la police. Un pratiquant qui avait été enlevé a révélé ou se trouvait un des sites de production de documents de Falun Dafa lorsqu’il ne pouvait plus endurer davantage de torture. Le 12 mars 2002, Zhao Zhenqi, le secrétaire du comité de la ville du parti, a dirigé en personne plus de 40 auteurs de crimes, incluant le chef du département de police de la ville. Ils ont encerclé le site de production de documents de Falun Dafa et ont enlevé 15 pratiquants de Falun Gong, dont Yang Guiqin et Yang Guijun.

Les pratiquants ont été torturés avec la méthode du banc du tigre; la police a frappé leurs corps entiers avec des matraques électriques de haut voltage et leur ont frappé le bout des doigts, le bout des orteils et le cou avec l’ « aiguille de la cour impérial. » Ils ont suspendu les pratiquants par leurs menottes et leur ont brûlé la tête et les pieds avec des cigarettes. Dans la méthode de torture de l’« Aiguille de la cour impérial, » les tortionnaires utilisent une aiguille pour frapper le bout des doigts d’une personne, le bout de ses orteils et les régions à l’entour de son cou. Les aiguilles sont extrêmement minces et ne laissent aucune marque dans la chair après avoir été insérées dans la peau. Le sang ne coule pas, mais la douleur est extrême et la majorité des gens sont incapables d’endurer cette torture.

La pratiquante de Dafa Li Mei et sa soeur Li Jun dans la province de Anhui sont mortes de la torture


Li Mei

Li Mei était très gentille et sans prétention. Auparavant, elle avait été très malade mais sa santé s’était améliorée et elle était devenue plus extravertie après avoir commencé à pratiquer Dafa. Elle était très honnête et bienveillante. Elle a délaissé son emploi comme comptable à un collègue handicapé et a demandé à se faire congédier. Après le début de la persécution, elle s’est rendue au bureau des appels à Pékin pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa et elle a été enlevée et battue. En juin 2000, Li Mei a été envoyée au centre de détention de Feidong et a été plus tard envoyée au camp de travaux forcés pour femmes de Hefei. Lorsqu’elle était en détention, elle a été gravement battue et ses organes internes ont été endommagés. Elle a perdu conscience et a été envoyée à l’hôpital militaire n° 105 de la ville de Hefei. Le 31 janvier 2001, on a donné l’ordre aux parents de Li Mei de rendre visite à leur fille à l’hôpital militaire n° 105. À l’hôpital, la famille de Li Mei a été entourée par la police et il leur a été interdit de s’approcher d’elle. Le corps de Li Mei était recouvert par un édredon. On ne pouvait voir que sa tête. Des tâches de sang pouvaient être perçues autour de son nez, au coin de sa bouche et de ses oreilles; elle avait des bleus et des coupures sur le visage et le cou couvert d’une gaze. Selon le docteur, le cerveau de Li Mei s’était atrophié, ses organes internes avaient eu une défaillance et elle n’avait plus qu’un battement de cœur très léger. Li Mei a quitté ce monde le 1 février 2001, à l’âge de 28 ans.

Du au contrôle sévère de l’information dans le camp de travail, les détails concernant ce qui est arrivé à Li Mei restent inconnus.

Le 24 décembre 2001, vraiesagesse.net a publié des nouvelles mises à jour, vérifiées à l’aide de moyens civils : la sœur de Li Mei, Li Jun, est également morte de la torture à l’âge de 30 pour avoir pratiqué le Falun Gong.

(À suivre)

Traduit de l’Anglais au Canada le 14 février 2005