(Minghui.org)

Mon nom est Zheng Jie (nom changé pour protéger l’identité de l’auteur) et j’ai commencé à pratiquer Dafa en 1997. Parce que je ne comprenais pas la Loi dans la Loi, j’ai suivi un sentier dévié du mois d’octobre 2003 au mois de janvier 2004. Un jour, Maître m’a bienveillamment donné des indices me refaisant découvrir le miracle de Dafa dans mon corps et mon esprit pour m’aider à retourner sur le droit chemin. Après, j’ai réalisé que je pourrais m’améliorer seulement en étudiant continuellement la Loi, en faisant tout basé sur les principes de la Vérité, Bienveillance et Tolérance et en prenant la Loi comme Maître.

Entre le mois d’avril et le mois de septembre 2004, j’ai souvent marché plus de 30 li (environ 10 milles) à la campagne pour clarifier la vérité au sujet de la persécution et pour distribuer des brochures de Dafa. J’ai rencontré tellement de choses incroyables que je ne pourrais pas toutes les raconter en un jour. Après avoir dit la vérité aux gens, ils me remerciaient encore et encore lorsqu’ils avaient compris.

Un jour, un mari et une femme ramassaient des choux chinois dans un champ lorsque j’approchais d’eux et leurs dits les vraies histoires du Falun Gong. Après avoir écouté et compris, ils m’ont tenu les mains et ne voulaient plus me laisser partir, ils disaient : « Il est presqu’une heure de l’après-midi. Vous avez marché plus de 20 lis pour venir ici. Pourquoi? Est-ce que c’est pour nous? On ne vous laissera pas partir sans dîner avec nous! »

Plusieurs fois, lorsque je distribuais les tracts ou affichait les annonces dans les villages ruraux, les chiens du village jappaient constamment. Aussitôt que mes pensées droites faisaient surface, les chiens tout à coup arrêtaient de japper et me regardaient en remuant la queue. Plusieurs choses merveilleuses se sont passées dans le cours d’accomplir « Les trois choses »: qui devraient être faites par les disciples Dafa lors de période de la rectification de la loi. J’ai été témoin des vertus puissantes de Dafa. Nous nous améliorons rapidement seulement lorsque nous suivons Dafa en faisant les choses et comprenant la Loi dans la Loi.

Le 15 février 2005, il y avait une grosse tempête de neige tôt le matin. Mon fils, ma belle-fille et ma petite fille sont allés en auto visiter de la parenté à Yanshan. Lorsqu’ils sont revenus dans l’après-midi, le chemin était couvert de plus de six pouces de neige. Lorsqu’ils ont passé sur le grand pont, leur auto est entrée en collision avec un camion à huit roues. Le chauffeur du camion les a amené à l’hôpital en vitesse. La mère et la fille n’avaient que des blessures mineures et étaient un peu ébranlées. Seul mon fils était inconscient. Lorsque mon mari a reçu l’appel téléphonique de notre belle-fille, j’envoyais des pensées droites. Vaguement, j’ai entendu qu’il y avait un accident de trafic mais j’ai continué à envoyer des pensées droites jusqu’à la fin du temps prédéterminé.

Après avoir fini d’envoyer des pensées droites, je suis allée à l’hôpital avec des brochures de clarification de la vérité. Dans l’ascenseur j’ai rencontré une dizaine de personnes. Je leur ai donné de la documentation, une à une et je leur ai raconté les histoires vraies de Dafa. Je me suis dit que je ne devais pas oublier de sauver les gens quoiqu’il arrive puisque je ne pouvais pas avoir aucun contrôle sur le destin de mon fils.

Mon fils a été dans le coma pendant trois jours, durant lesquels il a dit : « Maman, ce serait bien si j’étais comme toi. » Je savais que son coté éveillé positif avait été témoin de la splendeur de ma cultivation. Trois jours plus tard, il s’est réveillé et ses premières paroles ont été : « Maman, même si je ne soutenais pas ouvertement ta pratique du Falun Gong, je savais que Dafa est bon. J’ai gardé l’amulette [ces amulettes ont habituellement les mots disant « si vous récitez « Falun Dafa est bon », vous serez béni. »] que tu m’as donnée, dans ma poche. C’est Dafa qui m’a sauvé la vie. Puis il a demandé : « Comment est le chauffeur du camion? Nous ne devons pas prendre de son argent même s’il n’est pas blessé. C’est Dafa qui m’a sauvé. Il semble qu’il s’est passé des années même si je n’ai été dans le coma que quelques jours. J’étais avec Dafa. »

Lors des premiers jours, après que mon fils ait repris conscience, il parlait continuellement de Dafa et m’a dit : « Maman, tu n’as pas besoin de prendre soin de moi. Tu dois pratiquer Dafa. » Entre-temps, il a encouragé sa 4e tante et sa tante aînée à pratiquer les exercices du Falun Gong et à lire les livres, en leur disant : « C’est seulement en étudiant la Loi que vous gagnerez plus de bénédictions. De telles bénédictions sont indescriptibles. » Neuf jours plus tard, on a permis à mon fils de quitter l’hôpital. A la maison, il a dit à tout le monde qui venait le visiter (parenté, compagnons de classe et amis) que sa mère lui avait donné une amulette spéciale :« C’est le pouvoir de Dafa qui m’a sauvé. » Il a aussi dit à tout le monde qu’il était avec Dafa lorsqu’il était dans le coma.

Dafa a apporté aux gens des bienfaits et du bonheur incomparable.

La nuit, lorsque j’ai ouvert « Zhuan Falun » et regardé la photo du Maître souriant bienveillamment, j’ai eu les larmes aux yeux. Tout à coup, l’expression du Maître est devenue sérieuse. Immédiatement, j’ai compris : Maître ne veut pas que son disciple lui soit simplement reconnaissant. Maître veut que les disciples authentiques manifestent la splendeur de Dafa dans le monde, pratique Dafa, valide Dafa, fassent ce qui doit être fait et harmonisent Dafa encore plus. Il y a tellement de choses qui attendent que nous les fassions.

Dû à mon niveau limité, je ne peux pas très bien exprimer ce que j’ai vécu. S’il y a quoi que ce soit d’inapproprié, SVP soulignez-le moi.

Traduit au Canada le 23 mars 2005