Une mère décède le cœur brisé pendant que sa fille purge une peine de cinq ans de prison

(Minghui.org)

En 2002, le bureau 610 a arrêté Mme Zhang Baoying, une pratiquante de la ville de Jiamusi. Elle a été condamnée à cinq ans de prison. Mme Zhang a tout d’abord été détenue au centre de détention de Jiamusi, puis a été transférée en 2003 à la prison pour femmes d’Heilongjiang. Son absence a dévasté sa mère, Liu Simei, âgée de 70 ans, pour qui l’absence de sa fille l’a menée droit à la maladie et à son décès dans la plus grande douleur le 10 mars 2005.

À cause de l’impitoyable persécution du Falun Gong menée par le régime de Jiang, Mme Liu Simei avait commencé à être angoissée, ayant peur pour la sécurité de sa fille. Éprouvant un grand chagrin depuis que sa fille s’était soudainement et mystérieusement absentée, la santé de Mme Liu s’était rapidement détériorée. Alors qu’elle se trouvait dans cet état fragile, sa famille a décidé de ne pas lui dire que sa fille était emprisonnée, mais de lui dire à la place que sa fille ne voulait pas prendre le risque de revenir à la maison afin d’éviter une inévitable détention. La vielle femme, le cœur brisé, n’a jamais eu l’opportunité de revoir sa fille une dernière fois avant de décéder dans l’après-midi du 10 mars.

Mlle Zhang Baoying a suivi les principes de Vérité-Bienveillance-Tolérance depuis qu’elle a commencé la pratique de Falun Dafa. Elle a cultivé afin de devenir une bonne personne. Elle s’est toujours occupée de ses parents en vivant en harmonie avec les membres de sa famille, en ayant de bons rapports avec ses voisins et elle a toujours été bien considérée. Cependant, tragiquement, le régime de Jiang a décidé de jeter de telles bonnes personnes en prison. Durant les trois dernières années, Mlle Zhang a été torturée par tous les moyens possibles. Bien qu’elle n’ait que quarante ans, elle semble beaucoup plus âgée maintenant, elle est maigre, faible et a les cheveux blancs. Isolée en prison, Mlle Zhang ne sait toujours pas que sa mère est décédée depuis 2 mois.

La persécution brutale du régime de Jiang a détruit une famille heureuse et a rempli de tristesse et de peine chaque membre de cette famille. Avec son épouse aujourd’hui décédée et sa fille toujours emprisonnée, M. Zhang est tous les jours en larmes. En dépit du manque de la présence de sa fille nuit et jour, il est incapable de lui rendre visite. Comme père seul, le mari de Mme Zhang vit aussi une existence difficile, élevant leur enfant unique tout seul. Il espère sincèrement que son épouse reviendra bientôt à la maison d’une manière ou d’une autre. Avec ses souvenirs les plus chers, leur fille attend le retour des soins de sa mère.

Traduit de l’anglais en Suisse le 23 mai 2005

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