(Minghui.org)

Du 9 au 10 juin, l’exposition d’art « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » a été tenue à l’université de Kwantlen dans la ville de Surrey. Les Œuvres d’art de plus de 10 pratiquants de Falun Dafa de différents pays ont profondément touché chaque personne venue à l’exposition. Pendant la présentation de l’art chinois traditionnel et occidental, les travaux ont aussi révélé les vraies histoires des pratiquants de Falun Gong persécutés en Chine. Une femme du nom de Marcella qui est une immigrante italienne a vu parler de cette exposition d’art et a vu une photo de la peinture, « Lotus Pure » dans un journal. Elle a été touchée par la sérénité et la beauté de la peinture et a décidé de venir à l’exposition. Comme le jour de l’exposition était aussi le jour où sa mère rentrait en Italie, le famille entière a rangé ses bagages et est venue à l’université très tôt. Pour aider sa mère à comprendre chaque peinture, Marcella a interprété l’introduction du pratiquant et a traduit toutes les descriptions en italien pour sa mère. Elle a dit qu’elle était chrétienne, et qu’elle croyait que chacun devait être responsable pour toutes les choses qu’ils ont faites, suivant le principe que « le bien sera récompensé et le mal sera puni. » 


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Les étudiants de l’université regardent les peintures

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"Marcella et sa mère regardant la peinture « Pourquoi» 

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Une étudiante indienne et son ami


Marcella a dit qu’elle n’avait pas su pour la persécution contre les pratiquants de Falun Gong qui pratiquent les principes de « Authenticité, Bienveillance, Tolérance. » Elle soutient les efforts des pratiquants qui introduisent la beauté de Falun Dafa et révèlent la persécution par l’intermédiaire de l’art et elle pensait que ces efforts étaient très utiles. Avant que la famille ne parte, la mère a demandé sérieusement : « Pourquoi le gouvernement chinois persécuterait une telle pratique paisible ? » Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi le Parti Communiste Chinois persécuterait le Falun Gong, et elle a pris tous les documents que les pratiquants lui ont donnés et a dit qu’elle les regarderait de retour en Italie. Marcella lui a laissé des informations pour les contacts et a dit aux pratiquants à plusieurs reprises que beaucoup de ses amis ne pouvaient pas venir à l’exposition et que les pratiquants devrait la faire savoir quand la prochaine exposition aura lieu de sorte qu’elle puisse les envoyer. Ella dit « L’exposition est si belle et précieuse.»

Beaucoup de membres du personnel et de la faculté sont aussi venus à l’exposition pendant les inter-classes. Un homme a écrit sur le livre de réception : « Merci beaucoup à vous tous d’avoir apporter cette belle exposition d’art à notre campus. Dans le monde, les gens oublie des fois l’existence de la violation des Droits de l’Homme. Cependant, personne ne devrait être persécuté pour sa croyance en « Authenticité, Bienveillance, Tolérance. » Une taiwanaise a écrit : « Je souhaite que la Justice et la Paix en Chine Continental.»

Une représentante indienne de l’union des étudiants est venue dans le hall d’exposition dans la hâte et elle était exceptionnellement absorbée par les peintures. Elle a dit aux pratiquants d’un air ravi qu’elle était attirée par le hall d’exposition par une énergie spéciale et qu’elle voyait un rayonnement blanc tout autour des peintures. Comme elle avait seulement un temps très limité, elle s’est précipitée vers un pratiquant pour lui demander si elle pouvait acheter ces peintures de sortes qu’elle puisse en accrocher quelques unes dans sa chambre. Elle lui a laissé son numéro de téléphone et son adresse email et nous a dit a plusieurs reprises de lui envoyer plus de documents pour qu’elle puisse en apprendre plus sur le Falun Gong et la persécution. Elle a aussi exprimé son intérêt à apprendre la pratique.

Lorsque l’exposition était sur le point de fermer, trois petites filles occidentales sont venues et elles s’exclamèrent sur les peintures qui étaient contre le mur pour être emballées. Pointant son doigt vers une toile du titre « Justice », une jeune fille a dit : « C’est un ange qui punit le mal. »

Il y avait beaucoup d’histoires touchantes qui se sont produites pendant ces deux jours et nous avons senti que, malgré les différences raciales, culturelles et de croyances religieuses, tout le monde pouvait sentir l’énergie et sentir aussi bien la connotation des peintures que la beauté, la pureté et l’espoir apporté par les pratiquants. Avec les invitations de beaucoup de membres de la faculté et des étudiants, l’exposition d’art va faire une tourné dans les quatre campus de l’université.

Traduit en Europe le 21 juin 2005 de l’anglais :