(Minghui.org)

Le 10 septembre 2005, les pratiquants de Toronto ont suspendu d’énormes banderoles sur un pont de l’autoroute ou le cortège officiel de Hu passait en route pour les Chutes Niagara, ceci pour permettre à Hu Jintao et à sa suite de voir et d’entendre l'appel des pratiquants d'outre-mer de Falun Gong pour la fin de la persécution.

Dès que les pratiquants ont accroché les banderoles, un fourgon provincial de la police de l'Ontario est arrivé et un policier de quarante ans a dit aux pratiquants : « Vous ne pouvez pas accrocher la banderole le long de l’autoroute. C'est illegal. »

Les pratiquants ont dit au policier que le président chinois passerait par là et nous espérons qu'il pourra voir notre appel pour la fin de la persécution. Le policier est sorti du fourgon et a dit : « Si la banderole pend juste du bord du pont, alors il n’y a aucun problème. Vous n’aurez pas à l'enlever. »

Un pratiquant lui a remis un dépliant de clarification de la vérité et lui a présenté un autre pratiquant. La mère du pratiquant est emprisonnée en Chine simplement parce qu'elle a écrit aux autorités et a fait appel pour le Falun Gong. Elle a été tellement torturée qu'elle ne peut plus marcher ou parler normalement et elle a perdu la plus grande partie de sa mémoire. En écoutant ceci, le policier était tout étonné et a tapoté l’épaule du pratiquant en disant : « Continuez. »

À ce moment, un autre policier est sorti du fourgon. Le policier est sorti du véhicule et le premier policier lui a expliqué la situation. Les pratiquants lui ont également remis les dépliants de clarification de la vérité et lui ont expliqué les faits. Lorsque le deuxième policier était sur le point de partir, il a dit aux pratiquants : « Bonne chance! »

Peu de temps après, un troisième policier est arrivé. Il était le patron du premier policier, qui l'a salué et lui a dit pourquoi les pratiquants étaient là, et expliqué la persécution subie par la mère du pratiquant. Les pratiquants lui ont également dit que Jiang Zemin est poursuivi dans de nombreux pays pour génocide et d'autres crimes et qu’il craint maintenant d'aller à l'étranger. Les pratiquants lui ont également dit que Bo Xilai avait peur d'entrer au Canada, craignant d’être arrêté pour ses crimes de persécution. Le policier était très heureux d'apprendre cela, a dit quelques mots et est parti.

Le premier policier est resté avec les pratiquants jusqu'à ce que le cortège de Hu soit passé.

Traduit de l’anglais au Canada le 12 septembre 2005 :