(Minghui.org)
Des
policiers de la brigade de Sécurité Nationale de la ville de Hefei, province de
Anhui se sont servi d’une barre de fer pour forcer la porte de Mme Zhu Weiying
et puis ils l’ont emmenée au centre de lavage de cerveau d’Anda. Après 13 jours
de grève de la faim, pour protester contre ce traitement, elle est sortie à
pied de ce repaire de perversité. Elle ne peut plus rentrer chez elle où elle
serait sûrement aussitôt arrêtée. Suivent de plus amples détails.
Vers 17 h, le 18 novembre 2005, Wang Lu et Lin Qiang de la brigade de Sécurité Nationale, dont le directeur est Miao du bureau du Comité de Quartier Daoxiangcun, en compagnie de plus d’une douzaine d’autres personnes sont venus chez Mme Zhu en portant avec eux une barre de fer longue d’un mètre. Ils ont forcé trois portes de son appartement qui se trouve au troisième étage et ils l’ont traînée au dehors. Son chemisier et son pantalon ont été déchirés et ses orteils ont été fortement contusionnés.
Zhu a été envoyée ensuite au centre de lavage de cerveau d’Anda. Ces criminels sont retournés chez elle, pour fouiller sa maison où ils ont pris ses livres de Falun Gong, un appareil MP3, un lecteur DVD et un magnétoscope. Au centre de lavage de cerveau, Zhu a refusé d’accepter les dispositions perverses ainsi que les ordres de la police. Lors de sa grève de la faim qui a duré treize jours, les criminels l’ont nourrie de force en lui insérant un tube dans le nez une ou deux fois par jour. Les criminels avec plusieurs complices l’ont battue à plusieurs reprises en lui disant : « C’est sûr, tu seras envoyée au camp de travail si tu ne renonces pas ta croyance. Tu seras condamné à trois ans d’emprisonnement. Personne ne le saura si nous te tuons, ce sera pareil comme si on tuait un chien. » Zhu est demeurée résolue et a refusé de renoncer à sa croyance. Ses pensées droites ont empêché les complices de s’approcher d’elle.
A la fin les criminels ont été obligés de la conduire à l’hôpital quand ils se sont rendu compte qu’elle était dans un état critique. Avec l’aide de Maître et de ses pensées droites elle est sortie à pied de l’hôpital. Aujourd’hui elle est une sans-abri.
Les policiers qui arrêtent des pratiquants disent souvent aux familles : « Nous ne les emmènerons pas dans un camp de travail, ni ne les mettrons en prison comme auparavant mais au contraire, ils seront installés dans un bon hôtel. » Des pratiquants, ont écrit les soi-disant lettres de transformation sous l’immense pression quand ils ne pouvaient plus la supporter. D’autres sont sortis en pleurant. Les persécuteurs ont été payés trente yuans par jour pour faire de tels actes criminels.
Le 16 janvier 2006
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