(Minghui.org)
Bonjour, Maître grandiose et bienveillant
Bonjour, compagnons de pratique
Je m'appelle Yaqin. Je pratique le Falun Dafa depuis exactement cinq mois.
J'ai pris conscience du Falun Gong quand les pratiquants de Falun Gong ont fait appel à Zhongnanhai le 25 avril 1999. Par la suite, The Epoch Times a commencé. Je le lis tous les jours. Je le considère comme un bon journal. Parfois, j'oubliais de prendre le journal quand j'étais très occupée avec quelque chose d'autre, mais mon mari me ramenait toujours un exemplaire à la maison. Depuis lors, j'ai formé un fort lien avec le journal.
En février de cette année, j'ai eu l'opportunité de lire « Zhuan Falun ». J'ai été immédiatement fascinée par les principes dans le livre. Même s'il y avait des choses que je ne comprenais pas, mon sentiment alors était que tout ce que j'avais cherché dans ma vie était dans le livre. J'aimais beaucoup le livre, mais j'étais hésitante de sortir de l'église pour pratiquer le Falun Gong. J'avais déjà changé quatre fois de pratique religieuse.
Le 9 mars, l'information sur la façon dont le PCC pervers prélevait des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants a été révélée au monde. J'ai été choquée. J'ai vécu en Chine continentale pendant 46 ans, alors je connais très bien le Parti communiste malveillant, mais je n'aurais jamais imaginé que le PCC oserait retirer des organes à des pratiquants de Falun Gong, en particulier des vivants. C'est le crime le plus cruel sur terre. J'étais tellement furieuse que j'ai commencé à pleurer. En pleurant, j'ai commencé à raconter cette nouvelle à mon mari. Ce gentil Américain n'arrivait pas à imaginer qu'une telle perversité puisse exister en Chine. Il secouait la tête en disant : « C'est vraiment terrible. »
Le 31 mars, je suis retournée à Shenyang pour un traitement médical. Je savais qu'il y avait un camp de concentration secret pour prélever les organes dans le district de Sujiatun à Shenyang. Les chauffeurs de taxi ont en général d'assez bonnes informations, alors j'ai pensé qu'ils devraient savoir quelque chose là-dessus. J'ai eu plusieurs conversations avec des chauffeurs de taxi à ce sujet. Un chauffeur a dit : « Ce n'est plus une nouvelle, qui ne le sait pas ? » Un autre a dit : « C'est vieux de plusieurs années. » Un troisième m'a demandé avec un sourire : « Vous ne devez pas être de Shenyang. Pourquoi posez-vous des questions seulement sur cette vieille affaire ? » D'après ce qu'il disait, il est évident que ce crime barbare a duré un certain temps.
Dans un hôpital, j'ai reçu une thérapie d'oxygène à haute pression pendant 14 jours. Dans mon groupe de traitement il y avait huit personnes. Parmi nous, un homme était qualifié de « chef de département au niveau provincial ». Sans raison, il a salué tout le monde sauf moi. En fait, il m'ignorait constamment. Un jour, pendant notre bref moment libre avant que la thérapie commence, la personne qui accompagnait le chef de département a dit : « Ce Falun Gong, après la pratique, ils ne veulent même plus vivre et ils veulent se mettre le feu. » À cette période-là, même si je n'avais pas commencé à pratiquer le Falun Dafa, je ne pouvais tolérer de telles paroles. J'ai immédiatement répondu : « Aucun de vous ne devrait croire ces mensonges sur l'événement de l'auto-immolation. Le gouvernement a fait un coup monté pour que le Falun Gong ait l'air mauvais. » Le chef de département n'a rien dit après avoir entendu mes paroles. Le lendemain, il m'a saluée chaleureusement en entrant. Je lui ai demandé avec un sourire : « Tout le monde vous appelle 'chef de département'. Pour quel département travaillez-vous ? » Il ne m'a pas répondu explicitement, mais il a dit qu'il était dans la branche judiciaire. À juger d'après son changement d'attitude, je peux dire qu'il devait avoir eu connaissance de la vérité à propos de l'auto-immolation.
Un jour, un nouveau patient est arrivé. Quand j'ai découvert que c'était un policier qui travaillait au camp de travaux forcés de Masanjia, je lui ai posé des questions sur les pratiquants de Falun Gong là-bas. Il a dit : « Nous avions en général beaucoup de pratiquants emprisonnés dans notre complexe, mais ensuite ils ont tous été transférés ailleurs. » « Transférés où ? Le savez-vous ? » Je l'ai suivi pour lui demander plus de détails. Il a semblé tout à coup penser à quelque chose. « Pourquoi posez-vous ces questions ? » Je devais inventer une raison. « Une amie de ma sœur est pratiquante de Falun Gong. Actuellement, personne ne sait où elle est détenue. » Le policier m'a regardée pendant un moment, puis il est parti sans dire un mot. Je sais que beaucoup de pratiquants ont été emprisonnés là-bas il y a quelques années, mais maintenant il n'y en a plus. Il a dit qu'ils avaient tous été transférés ailleurs. Où cela pouvait-il être ? Je pensais qu'ils devaient avoir été transférés dans un camp de concentration secret comme Sujiatun ; beaucoup d'entre eux ont dû être tués pour leurs organes.
Avant que je commence à pratiquer le Falun Gong, j'ai souffert de graves rhumatismes, d'hypertension, de problèmes gastriques, de désordre du sommeil et de constipation. À partir de 2001, je devais retourner en Chine une fois par année pour voir les médecins. Parfois je devais retourner deux fois, mais aucun de mes problèmes ne s'est amélioré ou même stabilisé. Cette année, je suis allée voir un médecin du peuple. Après avoir pris des médicaments traditionnels chinois pendant plus de 20 jours, je me sentais un peu mieux. Le 27 avril, je suis rentrée en bonne santé.
Qui sait que le 7 mai, tous mes problèmes sont revenus ? En outre, ils étaient plus graves qu'avant. Cette fois, j'ai vraiment fait l’expérience de: « La maladie peut frapper un homme avec une force qui peut bouger une montagne. » J'étais vraiment perdue, ne sachant pas quoi faire. Comment pouvais-je continuer à vivre ainsi ? Je me demandais tout en pleurant : « N'y a-t-il rien d'autre que je puisse faire que pleurer ? » C'est alors que j'ai pensé au Falun Gong, mais je me rappelai qu'il était déclaré très clairement dans « Zhuan Falun » : « Si vous venez apprendre la pratique et cette Grande Loi avec divers esprits de recherche, vous n'obtiendrez rien. » Je me suis posé la question : « Essayer de guérir une maladie, n'est-ce pas une recherche ? » Alors j'ai renoncé à l'idée de pratiquer le Falun Gong.
Le 18 mai, j'étais tellement tourmentée par ces problèmes que je ne voyais aucune issue. J'ai appelé un numéro du site Internet de Falun Dafa et j'ai dit : « Je veux pratiquer le Falun Gong. » Cet après-midi-là, une pratiquante est venue chez moi avec plusieurs livres de Dafa et des vidéos des conférences du Maître. Elle m'a aussi enseigné comment faire les exercices. Cette nuit-là, alors que j'écoutais la conférence du Maître, sans aucune intention j'ai découvert que partout où je regardais je voyais des images de Bouddha du Maître. L'image apparaissait sur le plafond, sur les murs, partout. Après un moment, ils ont tous disparu, puis plus tard ils ont réapparu. Quand j'ai lu « Zhuan Falun » pour la première fois, j'ai su que des miracles pouvaient arriver dans le processus de la cultivation et pratique, mais je ne me serais jamais attendue à ce qu'ils m'arrivent en une période aussi courte. J'étais tellement abasourdie par le phénomène soudain que je cessais presque de respirer, je n'avais pas encore réalisé que j'avais déjà obtenu la .
En écoutant la conférence du Maître à 7 h 20 le matin le 29 mai, un autre miracle est arrivé. Une grande image de Bouddha du Maître est apparue au plafond ; cela a duré trois secondes. À cause de mon expérience quelques jours auparavant, j'étais plus calme cette fois et j'étais plus déterminée à cultiver.
Après m'être levée le matin du 31 mai, je me sentais différente d'auparavant. Une fois hors du lit, j'ai découvert que tous mes problèmes avaient disparu. Mon corps était aussi léger que celui d'une adolescente. Face à ce changement dans la nuit comme un tremblement de terre, je devais croire que tout était réel, mais je me pinçais encore le bras et la jambe pour me convaincre que ce n'était pas qu'un rêve. Tout d'un coup, j'étais devenue une autre personne. Je sentais que je n'étais plus moi-même. Puis j'ai réalisé ce que le Maître avait fait pour moi. Chaque jour du mois suivant, je sentais comme si je vivais dans un rêve. J'ai pleuré et pleuré et pleuré... Aucun mot ne peut décrire le sentiment d'un cœur aussi profondément touché.
Libre de la torture de mes anciennes maladies, mon coeur a commencé à se calmer. J'ai fait un vœu devant l'image de Bouddha du Maître : « Maître, je cultive véritablement maintenant. Tout ce que vous me direz de faire, je le ferai. » Comme je ne sais pas conduire, j'ai pris les transports publics pour aller dans le Chinatown de San Francisco pour distribuer des documents clarifiant la vérité. Le temps du trajet pour l'aller et le retour peut facilement prendre deux ou trois heures. Les premiers jours, j'ai seulement réussi à distribuer 50 à 60 copies. Je me suis dit : « Comment cela peut-il être acceptable ? Si peu de copies ! » J'ai commencé d'essayer de crier en distribuant les journaux. Je criais : « Falun Dafa Hao » En même temps, je tenais les journaux en dessus de la tête. Je souriais, criais et distribuais les journaux. Le sourire venait du plus profond de mon cœur, c'est quelque chose que je ne pourrai jamais dissimuler. Cette méthode était très efficace. J'ai pu distribuer beaucoup plus de journaux.
Pendant le cortège de célébration des 12 millions de Chinois ayant démissionné du PCC, je me suis levée pour parler. Même si à l'époque je ne pratiquais que depuis un mois, je voulais utiliser mon expérience pour valider la Loi. Pendant que je parlais, les personnes dans le parc qui étaient hostiles ou avaient une mauvaise compréhension de Dafa ont toutes écouté attentivement les miracles qui m'étaient arrivés. Je pense que Dafa est entré dans leur cœur à ce moment-là.
Quand j'ai commencé la cultivation et pratique au début, j'ai appelé mes anciens amis et camarades en Chine continentale et je leur ai demandé de démissionner du PCC. Certains ont dit qu'ils avaient lu les Neuf commentaires sur le Parti communiste sur Internet, mais ils ne s'en étaient pas préoccupés, parce qu'ils pensaient qu'il n'y avait rien dedans. Certains ont dit qu'ils ne pouvaient pas le faire et d'autres ont fait des commentaires négatifs. C'est sûr que je comprenais leur peur, mais j'étais encore un peu irritée. Un jour, j'ai fait un commentaire devant un compagnon de pratique : « Peu importe combien de vies seront détruites en Chine, elles le méritent. » Aussitôt après que j'aie parlé, je l'ai regretté. Cette nuit-là, alors que j'étudiais la Loi, j'ai lu « Enseignement de la Loi à la ville de Chicago ». Le Maître dit : « C'est ce que l'histoire vous a confié. » Mes yeux se sont arrêtés sur cette phrase. Tout à coup, je me sentais tellement mal. Mes paroles n'étaient pas celles d'une pratiquante. Si une personne moyenne m'avait entendu, elle m'aurait demandé : « Pourquoi est-ce qu'une pratiquante de Falun Gong dit une chose pareille ? » Était-ce discréditer la Loi ? Je me sentais très mal dans mon coeur. Face à la grandiose compassion bienveillante du Maître, j'avais honte.
Maintenant que mon corps a été purifié, mes attachements ont aussi été sans cesse enlevés. Une fois, à un kiosque de rectification de la Loi, un compagnon de pratique était pressé et m'a critiquée. Bien que je n'aie pas montré mon mécontentement, dans mon cœur j'étais un peu fâchée. J'ai pensé : « Comment peux-tu me traiter ainsi ? » Une fois de retour à la maison, j'ai ouvert un livre de Dafa au hasard et je suis tombée sur les paroles du Maître à propos des disciples de Dafa qui ne tolèrent pas la critique et tout à coup toute ma fatigue est partie. Je me sentais comme réveillée d'un profond sommeil. J'ai presque pleuré et j'ai dit : « Maître, vous êtes tellement compatissant. Quand vous me voyez faire quelque chose de faux, vous me l'indiquez tout de suite. » Cela peut sembler ne pas être une grande chose, mais c'est gravé dans mon esprit.
Un autre attachement que j'avais, c'était faire du magasinage. Que j'aie un but ou non, j'adorais vraiment faire du magasinage. En général, je vais faire du magasinage seule. Mon mari ne travaille pas le week-end et il m'emmène faire du magasinage et il s'assied à un café. Depuis que j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, j'ai tout d'un coup perdu tout intérêt au magasinage. Maintenant, chaque fois que mon mari a congé, il m'emmène encore dans des centres commerciaux, mais je ne fais plus de magasinage ; au lieu de cela, je distribue des documents clarifiant la vérité dans les ères de stationnement. J'apprécie grandement notre Maître grandiose et bienveillant, qui m'encourage toujours chaque fois que j'améliore un peu mon xinxing. Le Maître m'a aussi autorisée à voir dans d'autres dimensions, ce qui m'a fait encore plus croire en Dafa.
Merci Maître, merci compagnons de pratique.
Traduit de l’anglais en Suisse le 20 janvier 2007
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