Une volontaire partage son expérience d'aider les gens à quitter le PCC et ses organismes affiliés

(Minghui.org)

Je suis femme au foyer et j'utilise mon temps libre pour aider les gens à quitter le Parti communiste chinois (PCC) et ses organismes affiliés en ligne.

Après avoir lu les Neuf commentaires sur le Parti communiste publiés par Dajiyuan (La Grande Époque), j'ai profondément réalisé la nature perverse du PCC et l'immense malchance du peuple chinois. Pour aider à éliminer la dictature, j'entre sur des sites de la Chine continentale et je propose d'aider les citoyens chinois à quitter le PCC et ses organismes affiliés.

Au début, je copiais et collais juste quelques articles de Dajiyuan. Petit à petit, j'ai appris à taper sur le clavier, alors j'ai commencé à dire aux gens mes pensées personnelles. Après cela, j'ai appris que l'on pouvait même discuter en ligne, alors j'ai essayé de parler avec eux. Après avoir discuté plusieurs fois avec des gens en ligne, j'ai découvert qu'il était facile de découvrir leurs conditions propres et d'aider à répondre à leurs questions. À cause de cela, j'ai souvent discuté avec des gens en ligne pour les aider à quitter le PCC.

J'ai rencontré toutes sortes de gens. Certains rouspétaient, certains me louaient et d'autres me riaient au nez. Les gens sont différents. Par exemple, si quelqu'un me disait que j'avais une belle voix ou disait qu'il voulait quitter le parti, je me sentais très heureuse. Mais si quelqu'un commençait à rouspéter, je perdais souvent le contrôle et je commençais à me disputer avec lui. Par la suite, j'ai appris que peu importe l'attitude des gens, je dois contrôler mes émotions. Si je ne le fais pas, je pourrai les pousser du côté opposé.

Une fois, quelqu'un a commencé à crier après moi et a dit que j'étais une espionne, que j'étais anti-révolutionnaire. Il rouspétait avec tant de fureur que sa voix sonnait vraiment menaçante. Je lui ai patiemment expliqué ses intérêts. Après avoir parlé trois fois avec lui, il a démissionné de ses 20 ans de membre du PCC.

Récemment, j'ai rencontré un ancien dont l'esprit était profondément empoisonné par le PCC. Non seulement il avait une mauvaise attitude, mais il a dit qu'il était justement là à Tiananmen pendant l'incident de l'auto-immolation. Après que je lui ai expliqué tous les défauts révélés par la vidéo de cet incident, il a dit : « En écoutant ce que vous venez de dire, je suis presque prêt à quitter le PCC. » Malheureusement, craignant la persécution par des commandos militaires, il n'a finalement pas eu assez de courage pour le faire.

Après avoir parlé avec moi en ligne, une personne m'a dit : « Vos quelques phrases valent bien plus que dix ans de lecture. » Il a aussi dit qu'aucun homme d'affaires de Taïwan ne lui avait raconté semblables choses.

Un ancien secrétaire cantonal du parti a démissionné du PCC. Après avoir fait cela, il a dit qu'il allait révéler tous les crimes que le PCC avait commis.

Enlever le poison que la culture du PCC a implanté dans les gens en utilisant des méthodes qui leur parlent

Un jour, une personne qui avait déjà quitté le PCC m'a dit qu'il voulait se suicider. Je lui ai dit : « Si votre vie sur terre n'est pas supposée se terminer maintenant, mais que vous y mettez un terme vous-même, après vous allez errer dans l'univers sans rien à manger ni à boire jusqu'à ce que le temps arrive de la fin de votre vie. Seulement alors pourrez-vous vous réincarner. Errer sans but dans l'univers est pire que vivre sur terre, alors pour vous, c'est mieux de ne pas vous suicider. » Après avoir écouté ce que je lui ai dit, il a laissé tomber l'idée de se suicider. Ensuite je lui ai dit : « Je vais vous donner une adresse d'un site web dynamique que vous pourrez utiliser pour accéder aux véritables faits sur Internet. Vous pouvez aller dessus pour regarder et vous calmer. » Peu de temps après, il m'a demandé pourquoi le régime de Jiang voulait persécuter le Falun Gong. Je lui ai dit : « L'auto-immolation sur Tiananmen était un coup monté. Si vous lisiez les livres de Falun Gong, vous sauriez que c'est un crime de commettre un suicide. C'est pourquoi les pratiquants de Falun Gong ne vont pas se tuer. Si vous ne croyez pas ce que je dis, je vais vous envoyer un livre sur Internet. » Puis je lui ai envoyé le livre « Zhuan Falun ». Après un moment, il a répondu : « C'est un bon livre. Ce n'est pas comme dit le PCC. »

Cette expérience m'a montré que si je dis aux gens quelque chose de trop profond, je vais les pousser dans l'autre sens. Si nous commençons par leur dire : « Le Ciel va détruire le PCC. », le résultat sera négatif. En général, j'utilise des méthodes qui leur conviennent et j'enlève leur coquille couche par couche. Par exemple, nous disons que le PCC est corrompu. Il leur est très facile d'accepter cela. C'est vrai que la plupart des Chinois ont souffert de la corruption. Puis je continue sur ce sujet pour les amener à démissionner. Je leur dis : « Cette société a besoin de justice, ce n’est qu’alors les gens pourront vivre heureux. Même si nous n'osons pas aller à la place Tiananmen pour protester, nous pouvons publier notre annonce de démission du PCC en ligne. Je le fais, nous sommes en train d'aider la Chine à se diriger plus près de la démocratie. En outre, c'est très sûr de le faire ainsi. Nous n'avons rien à perdre. Pourquoi ne pas le faire ? » Certaines personnes en savent bien plus que nous sur la situation à l'intérieur de la Chine. En entendant ces paroles, ils décident souvent de démissionner. Certains ne sont pas d'accord de démissionner tout de suite, je leur donne souvent le lien du site web dynamique ou le logiciel pour traverser le blocage d'Internet. Je leur demande d'avancer et d'apprendre la vérité pour eux-mêmes.

Si quelqu'un utilise des paroles venant de la culture du PCC, je les suis sur le sujet pour corriger la confusion dans leur esprit. Par exemple, s'ils disent : « Sans le PCC, il n'y aura pas de nouvelle Chine. » Je leur réponds : « Sans le PCC, il y aura une nouvelle Chine. » Certains disent : « La vérité est juste, mais j'aime mon pays. » Je leur réponds : « Le PCC ne représente pas la Chine. Aimer son pays n'est pas la même chose qu'aimer un parti politique. » Si les gens décident de démissionner, je leur dis de faire de bonnes actions en aidant leurs parents et amis à démissionner aussi. Une personne a ainsi trouvé plus d'une dizaine de personnes dans son village pour démissionner ensemble. Une autre personne a même trouvé plus d'une centaine de personnes pour démissionner, pour enlever la marque de la bête sur eux. Une compagne de pratique de Chine continentale m'envoie occasionnellement des listes de noms à envoyer en ligne pour démissionner du PCC. Elle ne peut pas accéder facilement à l’Internet.

En aidant les gens à quitter le PCC et ses organismes affiliés, j'ai découvert que certains hésitent à cause de leur peur du PCC. Et puis certains sentent comme s'ils avaient besoin de quelque chose de ma part, sinon ils ne vont pas démissionner. Quand je rencontre ce genre de personnes, je suis leurs attachements et j'utilise ma sagesse pour les convaincre de démissionner. Par exemple, quelqu'un voulait démissionner, mais il avait peur d'être surveillé et ensuite il avait peur d'être arrêté. Il a hésité pendant longtemps. Je lui ai dit : « Vous n'avez pas besoin d'utiliser les mots pour exprimer ce que vous voulez dire. Vous pouvez simplement taper un « 1 » sur le clavier, cela signifie que vous voulez démissionner. » Après un moment, j'ai vu un « 1 » apparaître sur l'écran de mon ordinateur. Un autre a dit qu'il voulait me voir avant de démissionner. J'ai alors allumé la webcam de mon ordinateur pour qu'il puisse me voir. Après cela, il a aussi démissionné.

Une fois, mon mari est parti en voyage d'affaires, alors je n'avais pas besoin de cuisiner. Par conséquent j'ai pu davantage travailler sur l'ordinateur. J'étais sur l'ordinateur six ou sept heures par jour. Cette semaine-là, j'ai aidé environ cent personnes à quitter le PCC. Je suis entrée dans la chambre de discussion pour clarifier la vérité et aider les gens à démissionner. C'était comme gérer un magasin tous les jours. Simplement ainsi, une personne parle à dix et ces dix personnes parlent à plus de cent personnes. Ils donnaient souvent aux autres le nom du compte de la chambre de discussion. Par conséquent, ils me cherchaient pour démissionner ou m'écouter leur clarifier la vérité. Ce compte est maintenant devenu un centre pour quitter le PCC. À ce jour, j'ai aidé plusieurs milliers de personnes à quitter le PCC.

Il y a encore de précieux Chinois qui veulent démissionner, mais ils n'arrivent pas à trouver le bon chemin. Si de plus en plus parmi nous devenaient des centres pour quitter le PCC, je pense que le courant deviendrait de plus en plus fort. J'espère que davantage de personnes vont rejoindre notre groupe pour aider les gens à démissionner, afin que le PCC pervers soit bientôt désintégré.

Traduit de l’anglais en Suisse le 26 janvier 2007