(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître, bonjour compagnons de pratique.


1. La lecture du Zhuan Falun explique les mystères

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997. Auparavant, je me demandais toujours pourquoi j'existais. J'avais lu toutes sortes de livres, mais je ne parvenais pas à trouver de réponses satisfaisantes. Un jour, j'ai rêvé qu'un livre m'arrivait dans les mains. Je ne pouvais pas dire le titre du livre. Le lendemain, mon scooter a été accidenté et je l'ai amené au magasin d'un ami afin qu'il le répare. Alors que j'étais en train de me reposer chez lui, j'ai vu un livre sur son lit et je lui ai demandé de quoi il parlait. Il m'a dit : « Ma tante de Shijiazhuang me l'a donné. Elle m'a dit que quiconque l'aimerait pourrait l'avoir. Je ne comprends pas ce qui est écrit dans ce livre. Tu peux le prendre si tu veux. » C'était le Zhuan Falun, le livre principal de la pratique du Falun Dafa.


La première phrase que j'ai lu dans le Zhuan Falun était « guider véritablement les gens vers les niveaux élevés ». J'ai commencé à lire le livre et je l'ai beaucoup aimé. Je l'ai emmené chez moi et j'ai fini de le lire en deux jours. Le troisième jour, j'ai eu une diarrhée. Je savais que le Maître était en train de purifier mon corps.

2. Pratiquer les exercices

En juin 1999, je pratiquais les exercices la nuit. Je me sentais dans un état merveilleux après avoir pratiqué les exercices 1, 3 et 4 pendant trois heures. Alors que j'étais en train de porter la roue, j'ai soudain entendu « Dépêche-toi, dépêche-toi et pratique. » J'ai pensé que ce pouvait être un mauvais présage, considérant l'attitude du Parti communiste chinois (PCC) envers le Falun Dafa. J'ai cependant prolongé le temps de pratique des exercices. Avant le 20 juillet 1999, je passais au moins six heures chaque nuit à pratiquer les exercices.


3. Vivre sous la protection du Maître

Après que le PCC eut interdit le Falun Dafa et lancé la persécution, ma famille m'a demandé de renoncer à la pratique. Ils sont allés jusqu'à brûler mes livres et mes cassettes. Je suis resté diligent et leur ai parlé des bénéfices que j'avais expérimentés après avoir pratiqué le Falun Dafa. En 2000, un policier en civil est venu chez moi pour m'arrêter. Je n'étais alors pas chez moi, mais j'éprouvais une étrange sensation et sentais que quelque chose n'allait pas. Je savais que le Maître m'avertissait. Ma famille m'a appelé et m'a dit que quelqu'un était à ma recherche, « il n'avait pas l'air d'une bonne personne ». Je leur ai rapidement répondu que c'était un policier, « Ne lui parlez pas, dites-lui seulement que je suis occupé et que je ne peux rentrer à la maison. » Trois jours de suite, la police est venue chez moi pour me chercher et heureusement, je n'étais pas là. Chaque fois avant qu'ils ne viennent me chercher, le Maître m'a indiqué qu'il valait mieux ne pas être chez moi. Le quatrième jour, j'ai eu encore la même sensation étrange, à part que cette fois-ci, elle était beaucoup plus forte. Je me suis soudainement rappelé que j'avais laissé les livres et les documents de Falun Dafa à la vue de tous à la maison. J'ai rapidement appelé ma famille et leur ai dit de les ranger en lieu sûr. Sitôt les livres cachés, la police est arrivée. Ils ont dit qu'ils allaient fouiller la maison et que s'ils ne trouvaient rien, ils ne reviendraient plus. Ils n'ont rien trouvé et ma famille a été témoin du miracle du Falun Dafa.


4. Bien se coordonner

Je suis devenu très actif dans la validation du Fa en 2003. Une nuit, après avoir distribué des documents de Falun Dafa sur une distance de 16 kilomètres, j'ai rêvé de six de mes anciennes réincarnations et j'ai su que le Maître était en train de m'encourager.

Des pratiquants ont divisé le canton en différentes zones et chaque groupe d'étude du Fa était responsable d'une zone. Nous échangions souvent nos expériences et nous coordonnions de près. Nous faisions du très bon travail et l'on pouvait voir des dépliants, des banderoles et des amulettes partout : dans les rues, sur les arbres et même à chaque porte. Les autorités les déchiraient le jour et nous les remettions de nouveau pendant la nuit. Finalement, les autorités ont abandonné. Nous avons si bien fait que certains anciens pratiquants se remirent de nouveau à cultiver.


5. Passer des tests et voir des miracles

Une fois, j'ai eu les symptômes d'une attaque, les traits de mon visage se sont déformés et je me suis senti pris de vertige. Je savais que c'était un test et le moment pour moi de clarifier les faits au sujet du Falun Dafa. Je travaillais dans une entreprise de services et je voyais beaucoup de gens. Ma famille et mes amis me demandèrent d'aller à l'hôpital. Au lieu de cela, j'ai émis les pensées droites pendant qu'ils me parlaient.

Il y avait deux autres personnes dans mon village qui avaient expérimenté les mêmes symptômes. Mes enfants et ma femme pleuraient, me suppliant d'aller à l'hôpital. Je leur ai dit : « Je prends la responsabilité de ne pas aller à l'hôpital. Je vous promets que je passerai le test, soyez-en sûr. » Ces jours-là, j'ai continué à clarifier les faits sur la persécution aux personnes que je rencontrais. Je lisais le Fa à haute voix et pratiquais les exercices six heures par jour. J'émettais les pensées droites à chaque heure.


Deux semaines plus tard, mon visage était redevenu normal. Je pleurais en remerciant le Maître. Ma famille et mes amis étaient heureux pour moi. Les deux personnes qui avaient eu les mêmes symptômes avaient dépensé beaucoup d'argent pour acheter les médicaments, mais j'ai été soigné grâce à ma croyance en Falun Dafa. Tout le monde a été témoin du miracle du Falun Dafa.

6. Maintenir des pensées droites durant la détention illégale

Le 13 août 2010, une dizaine de pratiquants locaux, moi y compris, fûmes arrêtés. J'étais en chemin, en train d'emmener mon enfant à l'école. Quatre agents de police sont apparus derrière moi, m'ont jeté à terre et m'ont menotté à la voiture de police.


La police m'a mis des chaînes. J'ai clarifié les faits sur le Falun Dafa à la police, mais ils n'écoutaient pas. Ma femme et mon oncle vinrent me voir et me demandèrent de renoncer à la pratique : « Dis à la police quelque chose d'aimable et admets que tu as tort. Ton enfant a eu peur, il n'a cessé de pleurer et n'a pas voulu manger. » Ma femme pleurait. Mon oncle m'a dit que j'allais détruire la famille. J'ai insisté sur le fait que je n'étais pas un criminel et que c'était le PCC qui était pervers.


J'ai refusé de dire mon nom à la police et ils ont cessé de me questionner. J'ai continué à émettre les pensées droites et j'ai récité le poème du Maître :

« Pensées droites à chaque pas du chemin,
des êtres divins sont présents dans ce monde.
Lorsqu’ils retourneront avec leur chariot plein
la multitude des dieux les recevra. »

(« Remué par la réflexion »)

Je suis resté déterminé. J'ai commencé à transpirer des bras et des jambes après avoir été attaché durant 30 heures. Le lendemain, deux pratiquants et moi-même avons été transférés au camp de travaux forcés de Balizhuang de la ville de Baoding. J'ai continué d'émettre les pensées droites. Un policier m'a demandé si j'étais fatigué d'avoir les mains levées tout le temps. Je lui ai dit que le Maître était en train de me protéger et que je n'étais pas fatigué. Il a dit : « N'est-il pas aux États-Unis ? » Je lui ai répondu : « Le Maître est tout près de moi. » Il s'est moqué de moi et a dit : « Nous te condamnerons à un an de travaux forcés. Alors tu verras qui fait l'appel ici. » J'ai répondu : « C'est mon Maître qui fait l'appel. »


Lorsque nous sommes arrivés au camp, un gardien a pris ma tension. Elle était très élevée, 170/110 mmHg. Je savais que le Maître était en train de me protéger. Le gardien m'a dit de prendre des médicaments et je lui ai dit que je n'étais pas malade. Alors il m'a demandé pourquoi ma tension était si élevée. Je lui ai répondu : « C'est parce que le PCC me persécute. Si tu me relâches maintenant, j'irai bien. » Le gardien m'a laissé dans le camp. Cette nuit-là, j'ai continué à réciter Hong Yin, Hong Yin II, « Remué par la réflexion » et à émettre les pensées droites.


Le lendemain, je fus emmené au Premier Hôpital de la ville. Le médecin commença par contrôler les battements de mon cœur et ils étaient très rapides. Lorsqu'il en eut finit avec moi, les battements de mon cœur redevinrent normaux. Ma pression sanguine était de 150/130 mmHg. Le chiffre inférieur était encore plus élevé. Le camp a refusé de m'accepter. Après être retourné au Bureau de le sécurité publique du canton, un jeune policier m'a demandé ce que j'avais fait. Je lui ai dit que je pratiquais le Falun Dafa. Il m'a demandé si je connaissais « Rire », et je l'ai immédiatement récité :


« Je ris – les êtres s'éveillent
Je ris – la Grande Loi est transmise
Je ris – le bateau du salut lève l'ancre
Je ris – les êtres ont de l'espoir » (
Hong Yin)


Il m'a vite dit d'arrêter : « Je sais, tu l'as récité en entier. » Lorsque je suis retourné chez moi cette nuit-là, ma famille était heureuse. Le lendemain, ils m'ont dit que le jour où j'avais été arrêté, des policiers du Bureau de la sécurité publique de Baoding avaient eu un accident de voiture sur l'autoroute. On me fit prendre ma tension dans une clinique et elle était normale. J'ai raconté mon histoire à tout le monde, comment le Maître m'avait protégé, ainsi que la beauté du Falun Dafa.

7. Aider les gens à démissionner du PCC

Un jour, j'ai donné à un groupe de dix personnes des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste. L'une d'elle a dit que le Falun Gong parlait de désastres et que le PCC serait éliminé, alors quand cela arriverait-il exactement ? Je ne savais pas comment répondre à sa question. J'ai cherché en moi et demandé au Maître de m'aider. Sans réfléchir, j'ai dit la chose suivante : « Si vous voulez connaître le moment exact, vous devez commencer à être une bonne personne et à faire seulement de bonnes actions. Vous devez prêter attention à la vertu et vivre selon les principes d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Une fois que vous serez capables de faire tout ça, vous trouverez la réponse. » Ils ont hoché la tête.


Un autre a dit : « Le PCC t'a élevé et t'a tout donné. » Je lui ai répondu : « Nous sommes tous vivants. Nous ne pourrions pas exister sans l'univers. Depuis combien de temps l'univers existe-t-il et depuis combien de temps le PCC est-il au pouvoir ? Le PCC est destructeur et le Falun Gong est une voie divine. D'après vous, lequel des deux durera le plus longtemps ? » Ils ont ri. L'un d'entre eux a dit : « Tout ce que le PCC fait est pour sa propre survie. » Tous ont démissionné du PCC et de ses organismes affiliés. Le Maître m'a aidé encore une fois.


Pendant un certain temps, cela ne se passait pas bien lorsque je clarifiais la vérité. Une nuit, j'ai rêvé que le Maître me donnait deux bouteilles : l'une d'elles avait un fond et l'autre n'en avait pas. La bouteille avec le fond me demandait d'étudier les Neuf commentaires et l'autre sans fond de demandait de distribuer les Neuf commentaires. J'ai regardé le programme des Neuf commentaires sur la chaîne de télévision NTDTV et j'ai écouté les enregistrements encore et encore pendant plusieurs jours. À partir de ce moment-là, il n'y a plus eu beaucoup de problèmes lorsque je clarifiais la vérité.

8. Étudier le Fa sans intention

Je mémorisais fréquemment Hong Yin, Hong Yin II et Hong Yin III. En ce qui concernait Hong Yin et Hong Yin II, je pouvais réciter chaque livre en 17 minutes. Je pouvais les réciter à l'envers, jusqu'à ce que les mots apparaissent dans mon esprit comme une machine à écrire fonctionnant rapidement. C'était exactement comme le Maître a dit :

« Quand on psalmodie le nom du Bouddha, il ne doit y avoir aucune autre pensée, rien ne doit troubler l’esprit, jusqu’à ce que le reste du cerveau soit engourdi par la récitation et qu’on ne soit plus conscient de rien – une seule pensée remplace dix mille pensées – et chaque syllabe de 'Bouddha Amitâbha' surgit devant vos yeux. » (Zhuan Falun)


Pendant un certain temps, lorsque j'étudiais le Zhuan Falun, je finissais le livre en sept heures. Si je me sentais fatigué, je me concentrais encore plus et la fatigue disparaissait. Quelques fois, je lisais jusqu'à ce que mon cerveau soit engourdi et que je ne puisse plus voir les choses clairement, à l'exception des caractères du livre. Quelques fois, je pouvais même voir de petites images de bouddhas, de taos et de divinités sortir des caractères. Mon corps était chaud, rempli d'énergie et je me sentais magnifiquement bien.


9. La lumière de Bouddha brille et rectifie mon cœur

Après être devenu coordinateur, j'ai rencontré encore et encore de nombreux problèmes. Ma famille me faisait des réflexions, et je recevais aussi des plaintes venant des conceptions humaines des pratiquants et de leurs familles. Je ne pouvais plus supporter les accusations et les insultes venant des pratiquants.

J'essayais de maintenir mes pensées droites mais sans y parvenir. J'ai regardé la photo du Maître et j'ai dit : « Maître, pourquoi cela m'arrive-t-il ? Ai-je une dette envers ces pratiquants ? Je ne peux plus le supporter. Je ne m'associerai plus avec ces pratiquants. »


À partir de ce moment-là, j'ai pratiqué seul. J'ai quitté la ville pour faire des affaires. Je n'écoutais plus les pratiquants, ni leurs critiques, ni leurs rumeurs. Peu importait le travail que je faisais, je perdais de l'argent. Finalement, je me suis caché chez moi et suis devenu solitaire. Je ne progressais plus diligemment et ne pouvais plus étudier le Fa avec un esprit clair et tranquille. Je me plaignais constamment. Comme je me plaignais de plus en plus, je rêvais que je chutais à des niveaux inférieurs.

J'ai commencé à chercher en moi et à lire davantage les nouveaux articles du Maître. J'ai progressé de nouveau sur mon chemin de cultivation et j'ai recommencé à coopérer avec les compagnons de pratique.

Merci Maître, merci compagnons de pratique.

Traduit de l'anglais en Europe