(Minghui.org)

La 1ère partie est disponible à http://www.vraiesagesse.net/news/1207/24/E134517_20120721_fr.html

Illustration de torture n° 10: Verser de l’eau glacée sur le corps

En plein froid de l’hiver, la police incite les criminels à verser sans cesse de l’eau froide sur les pratiquants, les faisant geler au point de souffrir d’engelures et d’insensibilité. Il arrive qu’ils deviennent partiellement ou totalement paralysés. Certains ont même perdu la parole et la mémoire.


Illustration de torture N° 11: Chocs électriques

La torture décrite ci-dessus est appelé l’Aiguille électrique. La police n’a qu’à ajuster le courant et le voltage. S’ils sont élevés, la victime fera des bonds sur le lit. Elle aura ensuite des crampes et deviendra incontinente. Si son cœur est faible, elle pourra mourir facilement. De nombreux pratiquants en grève de la faim ont été soumis à répétition à une telle torture.


D’autres méthodes de torture similaires incluent : les chocs à long terme avec des bâtons électriques à haut voltage, générer de l’électricité avec un téléphone à manivelle pour donner des décharges aux pratiquants qui sont attachés au téléphone, utiliser des dispositifs médicaux pour générer de l’électricité et soumettre les pratiquants à des décharges, disposer le long des murs et en haut d’une petite cage des aiguilles électriques pour soumettre à des décharges les pratiquants qui s’abandonnent au sommeil alors qu’ils sont enchaînés dans une posture où ils ne peuvent ni complètement se mettre debout , s’accroupir ou s’asseoir (une forme cruelle de privation de sommeil quelquefois utilisée pendant des semaines). Etc


Pour atteindre leur but, la police emploie parfois différents moyens pour infliger davantage de souffrance. Par exemple ils les agressent avec plusieurs bâtons électriques en même temps, les trempent dans l’eau avant de les soumettre aux chocs électriques, ou choquent leurs parties sensibles, comme les paupières, les plantes de pieds, les dessous de bras, le cou, etc., leur laissant la peau méchamment brûlée, et des cloques se développent et même s’infectent. Une telle torture cause des dommages aux organes internes et au système nerveux. La victime souffre aussi de traumatisme psychologique.


Le plus méprisable est que la police choque les parties intimes et l’anus des pratiquants pendant de longues périodes de temps. Ils s’attaquent à la poitrine et aux parties intimes des pratiquantes, les violant tout en les soumettant aux chocs de matraques électriques.


Illustration de torture N° 12 : Poignarder avec des objets pointus

La police utilise un tournevis ou autre objet pointu pour poignarder le dos des mains des pratiquants dans une tentative de les forcer à renoncer à leur croyance.


Une telle torture est extrêmement brutale. D’autres moyens similaires incluent d'enfoncer des pics de bambou sous les ongles, de frapper les mains avec des chaussures à semelle dure, de donner des coups de marteaux sur les mains, ou de percer les mains avec une foreuse électrique.

Illustration de torture N° 12: Le Banc du Tigre

Durant cette torture, la police attache les jambes de la victime étroitement au Banc du tigre en utilisant des ceintures. Puis ils placent des briques ou des objets durs sous ses pieds. Ils ajoutent sans cesse des couches de brique jusqu’à ce que les ceintures craquent. La victime endure une douleur insupportable et perd souvent connaissance lors de ses cessions de torture.


Illustration de torture N° 14: Menotter et enchaîner en contraignant le corps dans une position douloureuse

En utilisant cette méthode, la police menotte les mains d’un pratiquant derrière son dos. Le (ou la) pratiquant(e) est forcé(e) de s’agenouiller avec les deux pieds enchaînés ; En même temps, ils connectent les menottes et les chaînes à une distance la plus courte possible afin que le pratiquant soit incapable de changer de position. Cela cause une énorme douleur. Cette méthode est insultante et humiliante, infligeant un abus psychologique en plus de l’abus physique.


Dans le passé, cette méthode n’était utilisée que sur les criminels masculins coupables d’infractions graves. Mais elle est aujourd’hui utilisée pout torturer d’innocents pratiquants de Falun Gong, et même des femmes.


Illustration de torture N° 15: Enterrer vivant

Cette méthode est si haineuse qu’ils s'y livrent la nuit afin que personne ne voit leurs crimes. Plus d’une demi-douzaine de policiers traînent un pratiquant dans un terrain vague. Ils allument un feu pour avoir de la lumière. Puis ils creusent un trou et poussent le pratiquant de Falun Gong dedans. Ils lui envoient la lumière de lampes torches directement dans les yeux afin qu’il ne puisse pas les voir. Ils enterrent le pratiquant jusqu’à la poitrine. En même temps ils lui donnent continuellement des décharges de matraques électriques sur la tête, essayant de briser son esprit et de le faire renoncer à ses convictions


Illustration de torture N°16: Chocs électromagnétiques

Afin de torturer les pratiquants déterminés, la police place un sorte d'outil électronique sur les têtes ou les poitrines des pratiquants, qui provoque leur effondrement immédiat. Cet outil de torture peut causer de graves dommages au cerveau et aux organes internes, résultant en perte de mémoire, confusion, manque d'énergie, extrême douleur, mais ne laisse aucune trace à la surface du corps, les dommages étant infligés par des ultrasons ou des vibrations.

L'appareil inclut une aiguille électrique, comme un bâton électrique, connectées soit à de grandes ou de petites aiguilles qui peuvent causer des convulsions de tous les muscles du corps. Mme Zhao Ru dans la ville de Jilin, province de Jilin a été torturée par ce moyen. Elle s'est évanouie instantanément et il a fallu la porter pour l'emmener.


Illustration de torture N°17: Exposer à un soleil cuisant

La police enchaîne les pratiquants déterminés dehors sous le soleil cuisant, causant déshydratation, évanouissements, brûlures, etc.


Illustration de torture N° 18: Traîner derrière un véhicule

Les policiers et les gardes traînent un pratiquant avec des cordes derrière un véhicule à grande vitesse, résultant tragiquement en profondes blessures sanglantes qui exposent souvent les os.

Traduit de l'anglais en Europe