Dans le coeur de ma belle-mère, je suis sa fille, et d'autres histoires...

(Minghui.org)

Le Maître a aidé à réajuster ma jambe cassée

Je suis âgé de 59 ans. Un matin, en juillet 2008, en chemin vers le centre-ville, une jeune femme faisant un virage en conduisant son vélo m'a soudain frappé et jeté au sol. À cet instant, j'ai ressenti une certaine insensibilité dans mes jambes. Je me suis relevé et me suis dirigé vers le bord de la route. À ce moment-là, un piéton que je connaissais a téléphoné à ma fille. Ma fille et son mari sont venus me chercher et m'ont emmené à l'hôpital.

À l'hôpital, la radiographie a révélé que j'avais une fracture de la tubérosité et l'ouverture de la fracture était grande. Le médecin a expliqué les options de traitement, y compris une opération pour installer des broches, ce qui coûterait 30 000 yuans, la traction de 15 000 yuans, et un séjour à l'hôpital avec des médicaments pour éliminer l'enflure et soulager la douleur.

Après avoir entendu ce que le médecin a dit, je répondis : « Docteur, je ne veux pas rester à l'hôpital. Je suis un pratiquant de Falun Gong. Je n'ai pas besoin de toutes ces choses. » Le médecin a dit : « Vous n'êtes pas jeune non plus. Vous allez le regretter à vie si vous avez un handicap, ce qui pourrait se produire après cet accident. » J'ai dit : « Cela n'arrivera pas. Je vais récupérer en quelques jours... » C'est ainsi que j'ai convaincu le médecin ainsi que les membres de ma famille. Ma fille m'a aidé à aller à la voiture avec réticence. La jeune fille qui m'a heurté a également demandé à un membre de sa famille de venir me voir. Nous sommes tous allés ensemble à la maison.

Après mon retour à la maison, j'ai demandé à cette jeune fille de venir à mon chevet. Je l'ai consolée en disant : « Je n'ai jamais pensé que je rencontrerais un événement aussi important. Avez-vous eu peur ? » J'ai alors dit à sa tante et à sa mère : « Ne vous inquiétez pas. Je suis un pratiquant de Falun Gong. Notre Maître nous a dit de penser aux autres d'abord lorsque nous rencontrons quelque chose. Je ne vous demanderai pas un centime. » À cet instant, la jeune fille a dit à sa tante et à sa mère : « Nous avons rencontré une bonne personne aujourd'hui. »

Le lendemain matin, sa mère est de nouveau venue chez nous et a sorti une liasse d'argent. À l'époque, je ne savais pas de combien il s'agissait. Elle a insisté pour que j'accepte cet argent. Je lui ai dit : « Reprenez votre argent. Je n'accepterai pas un seul centime. » Elle a été touchée et a dit : « Tante, toute notre famille vous est très reconnaissante. Vous ne savez pas que sa tante est la doyenne de l'Association des femmes du village. Elle avait une compréhension biaisée sur le Falun Gong. Après cet événement, elle a totalement changé d'idée. Toute la famille a aussi appris à connaître ce qu'est le Falun Dafa. Est-ce si bon ? Devenons comme des parents. » J'ai répondu : « Ce serait bien ! Ayons de bonnes relations ! »

Cependant les membres de ma famille ne pratiquant pas le Falun Gong n'étaient pas d'accord avec ce que je venais de proposer. Ils ont fait un grand tapage et ont voulu demander à la famille de la jeune fille de payer les soins médicaux et les dépenses alimentaires. Je les ai patiemment persuadés : « S'il vous plaît, n'en faites pas une grosse affaire. Je ne suis pas resté à l'hôpital et n'ai pas non plus pris de médicaments. Est-il approprié de leur demander de payer les frais médicaux ? » Mes enfants n'ont pas compris et m'ont dit que j'étais stupide. Mon beau-fils trouvait cela particulièrement difficile à comprendre. Je me suis dit : « C'est un moment critique pour sauver les êtres. Je veux que chacun puisse être témoin de la puissance du Falun Dafa et des choses extraordinaires qui me sont arrivées. »

Chaque jour, j'ai étudié le Fa avec un esprit calme. J'ai étudié trois conférences de Zhuan Falun chaque jour. Je crois fermement dans notre Maître et le Falun Dafa. Le soir du quatrième jour, tout de suite après que je me sois endormi, tout à coup, j'ai senti deux mains me tirer les os de la jambe cassée avec force, et une vive douleur m'a traversé la jambe, la forçant à s'étirer très haut pour ensuite revenir instantanément à sa position initiale. J'ai immédiatement ressenti un engourdissement dans la jambe. J'étais tellement excité que j'en ai pleuré et j'ai dit d'une voix forte : « Maître ! Votre disciple vous remercie ! Merci, Maître ! »

Ainsi, j'ai vécu la même chose les trois nuits suivantes. J'ai commencé à sentir de l'énergie dans mes jambes. Puis j'ai commencé à sortir du lit. Au début, je sentais que mes jambes étaient engourdies en position debout. Je me suis dit :

« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Zhuan Falun)

J'ai commencé à faire les exercices et le dix-septième jour, je pouvais conduire la voiture électrique dans la rue.

Grâce à cet événement, ma famille, et surtout mon beau-frère, ont été heureux et surpris. Il avait de la gratitude pour le Falun Dafa et le Maître. Il a même raconté l'événement quelquefois à d'autres personnes.

Le Falun Dafa démontre la puissance divine en sauvant les gens

Écrit par une pratiquante de Chine

Dans la région sud-ouest, une étudiante du lycée a participé aux programmes de célébration organisés par une école avant l'anniversaire du Parti communiste chinois (PCC) pervers.

Depuis ce jour-là, une vieille cicatrice sur son bras gauche a commencé à la démanger et lui faisait mal. Deux jours plus tard, le soir de la nuit des festivités, un liquide jaune a commencé à sortir de l'ancienne cicatrice, et son bras est devenu rouge et enflé. Elle n'a pas pu dormir de la nuit à cause de la douleur. Chaque fois que le liquide sortait de son ancienne cicatrice, la chair suppurait. Elle a dû utiliser une pellicule de plastique pour la couvrir.

Sa famille l'a emmenée à l'hôpital. Le médecin a dit que si elle n'avait pas de soins médicaux, sa chair pourrirait et même lui causerait une septicémie. Par conséquent, sur ordonnance de son médecin, elle a commencé à avoir des perfusions. Elle a eu des perfusions pendant quatre jours et le gonflement s'est aggravé jour après jour. Plus tard, la chair près de l'ancienne cicatrice a commencé à dégager une mauvaise odeur. Voyant qu'il n'y avait pas de guérison, ses parents l'ont ramenée chez elle.

Plusieurs membres aînés de sa famille pratiquent le Falun Dafa. Quand elle s'exerçait pour le programme de célébration du PCC, bien que les membres de sa famille qui pratiquent la cultivation aient l'impression que ce n'était pas bon pour elle de le faire, ils ne l'ont pas empêchée de participer, car ils estimaient que c'était une activité organisée par l'école. Le soir des festivités, ils ont aussi continué à émettre des pensées droites. Mais ils n'ont pas réalisé que cela puisse se révéler si grave.

Après son retour de l'hôpital, aux alentours de minuit, tout le monde a émis la pensée droite, puis elle s'est endormie.

Le lendemain matin, elle a fait les exercices avec sa famille. Après avoir fait les exercices, un miracle s'est produit. La vieille cicatrice a cessé de suinter du liquide jaune. Cinq heures plus tard, le gonflement de son bras avait disparu. Après cela, tout allait de mieux en mieux jour après jour. Six à sept jours plus tard, sa vieille cicatrice a commencé à guérir.

Cet événement nous montre la force de la toxicité du parti pervers. Il peut vraiment nuire aux êtres humains. Seul le Falun Dafa peut montrer sa puissance divine pour sauver les gens.

Dans le cœur de ma belle-mère, je suis sa fille

Écrit par une pratiquante en Chine

J'ai obtenu le Falun Dafa en 1997. Au cours des 14 dernières années, j'ai suivi strictement le principe de la Loi d'« Authenticité-Bienveillance-Tolérance », et j'ai moi-même fait le nécessaire pour bien traiter les membres de ma famille et honorer ma belle-mère d'une manière bienveillante.

Ma belle-mère a 90 ans. Son mari est décédé quand elle avait dans la quarantaine. Elle a élevé ses quatre fils et trois filles toute seule. Elle a travaillé dur toute sa vie et a eu toutes sortes de maladies. Elle a vécu dans une maison seule avec cour. Elle a donné tous ses biens à ses quatre fils et n'a gardé aucune place pour elle-même. Après avoir obtenu leur part de la maison, les frères aînés de mon mari ont loué les chambres restantes. Au cours des dix dernières années, ils ont gagné des dizaines de milliers de yuans avec la location de la maison.

Cependant, les frères aînés de mon mari qui ont obtenu leur partie de la maison n'avaient pas envie de s'occuper de leur mère. Ils nous ont laissé ma belle-mère. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j'ai appris à bien équilibrer la famille, la société et le travail, puisque je considère cela comme faisant également partie de ma cultivation. S'occuper des personnes âgées relève de la responsabilité des enfants. Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Être une bonne belle-fille qui s'occupe de personnes âgées est une façon de montrer au monde la beauté du Falun Dafa. Je n'ai pas pris la peine de me disputer avec eux. Bien que j'aie perdu mon emploi à cause de la faillite de notre société, je n'avais donc plus de revenu et nous devions soutenir notre fille qui était à l'université, je n'ai pas considéré l'argent comme si important. J'ai laissé ma belle-mère habiter une partie de la maison et elle y vit toujours. Afin de permettre à ma belle-mère de profiter de son troisième âge, je me suis volontairement occupée de tâches telles que laver ses vêtements et d'autres choses, depuis plus de dix ans.

Ma belle-mère a plusieurs maladies, en plus de son grand âge. Parfois, elle reste au lit pendant trois à quatre mois. Je m'occupe bien d'elle et je lui prépare des plats délicieux. Je lui lave le visage, les pieds et les fesses. Parfois, je dois lui laver le dos trois fois par jour. Je n'ai aucun regret et n'ai jamais montré un visage mécontent devant elle. J'ai agi comme ça pendant les dix dernières années.

Ma belle-mère a vu la beauté du Falun Dafa et la pureté à travers mes actions. Elle m'a dit : « Je n'ai pas confiance en mes propres enfants. Je n'ai confiance qu'en toi seule. » Ma belle-mère aime me parler. Quand j'ai eu une dispute avec mon mari, elle était en ma faveur et a dit que son fils n'avait pas raison. Elle m'a protégée à tout moment. En 2002, quand la police m'a persécutée, ma belle-mère a crié haut et fort aux policiers : « Ma belle-fille est une bonne personne. Pourquoi l'arrêtez-vous ? »

Lorsque des gens qui ne me connaissent pas demandent à ma belle-mère : « Qui est-elle ? » Ma belle-mère est fière de leur dire : « C'est ma fille ! »

Traduit de l'anglais au Canada