Les avortements et les infanticides forcés du Parti communiste chinois

(Minghui.org) Pour une femme, être enceinte et porter une nouvelle vie est un événement merveilleux. Cependant, en Chine, on force de nombreuses femmes à avorter et il y a même des occasions où les enfants sont tués à la naissance. Récemment beaucoup de tels incidents d’avortement forcés sous la règle du PCC ont été exposés sur internet.

Une femme enceinte de sept mois dans la province du Shanxi a dû subir un avortement forcé parce qu’elle ne pouvait pas se permettre de payer 40000 yuan de frais de naissance. L’image du fœtus mort allongé à côté de sa mère est vraiment triste.

Dans un incident de la province du Shandong, l’accouchement a été déclenché rapidement, bien que le fœtus ait déjà neuf mois. De l'extérieur de la chambre, le père a entendu le bébé pleurer et a vite appelé sa famille pour préparer les vêtements pour le bébé. Cependant, quand il est entré dans la chambre après avoir passé son coup de téléphone, il a vu que son enfant avait été noyé dans une bassine. Le père dévasté a envoyé l’image du corps mort de son enfant, noyé dans l’eau, sur internet. Ceci est considéré comme un meurtre, même sous la loi actuelle chinoise !

Après l’exposition de cet incident, beaucoup de personnes chinoises ont condamné le parti. En fait, de tels avortements forcés et meurtres cruels d’enfants ont été utilisés comme une façon de torturer les pratiquants de Falun Gong. Les méthodes sont encore plus cruelles.

Une femme jetée à plusieurs reprises d’une grande hauteur causant l’avortement; le mari forcé de regarder

Au camp de travaux forcés de la province du Heilongjiang, afin de forcer une femme enceinte de six ou sept mois à renoncer à sa croyance en « Vérité- Compassion- Tolérance, » les gardes ont attaché ses mains avec une corde et ont fixé l’autre extrémité à une poulie sur une poutre. Les gardes ont renversé la chaise sur laquelle elle était assise afin qu’elle soit suspendue dans l’air. La poutre se trouvait à trois mètres au-dessus du sol. Quand les gardes ont lâché la corde, elle est violemment tombée au sol. Puis, les gardes ont répété cette procédure à plusieurs reprises, jusqu’à ce qu’elle avorte de son enfant. Elle souffrait terriblement. Ce qui est encore plus cruel est que son mari a été forcé de regarder cette souffrance.

Un médecin étrangle un nouveau-né

En 2003, la pratiquants Guo Wenyan, qui était enceinte de sept mois, et son mari marchaient dans la rue. Soudainement, le policier du poste de police Tiedong dans la ville de Yinchuan l’a arrêtée. Elle avait été à plusieurs reprises arrêtée et détenue dans le passé à cause de sa ferme croyance en Falun Dafa. Ils l’ont emmenée à l’hôpital pour avorter de l’enfant. Ils ont aussi forcé sa famille a signer le document. Le bébé pleurait après qu’il soit né. La belle-mère de Guo a dit, « nous allons prendre l’enfant à la maison. » Quand le docteur a entendu cela, il a étranglé le bébé. Très rapidement, le bébé n’a plus produit aucun son. Il était mort.

Subir un avortement avec les officiers de police qui regardent

Le 25 mai 2002, la pratiquante Geng Juying de la banlieu de Luozhuang, village de Bo de la ville de Mengzhou, province du Henan, a été arrêtée par les officiers de la ville de Mengzhou, le bureau 610 et le bureau de la sécurité publique. Afin de condamner cette pratiquante enceinte au camp de travaux forcés, ils ont déclenché ses contractions. Au cours du processus, beaucoup de policiers regardaient. Ils disaient sarcastiquement, « n’est tu pas merveilleuse ? Nous voulons juste te voir faire ça. » Geng Juying a été avortée avec plusieurs hommes qui la regardaient.

Un fœtus expulsé après avoir été démembré

Zhang Hanyun de la ville de Hanzhong, province du Shanxi, n'avait pas pu être enceinte pendant cinq ans à cause d’aménorrhée. Six mois après avoir commencé la pratique du Falun Gong, ses menstruations sont redevenues normales et elle est tombée enceinte. Cependant, en mars 2001 quand elle était presque à terme, elle a été arrêtée et emmenée dans un centre de rééducation par le personnel du bureau 610 de Hanzhong. Quand ils ont vu qu’elle allait accoucher, ils l’ont emmenée dans un hôpital où le bébé a été avorté. Cependant, il était pour elle difficile d’avorter ce grand fœtus naturellement. Les médecins ont alors démembré le fœtus à l’intérieur d’elle et l’ont expulsé.

De tells incidents de tortures cruelles sur les pratiquantes enceintes existent depuis le début de la persécution du Falun Gong. La Chine a 5000 ans de culture. Dans la culture traditionnelle chinoise, il est enseigné que les gens doivent « respecter les vieilles personnes comme s’il s’agissait de nos parents et prendre soin des jeunes enfants comme s’il s’agissait de nos propres enfants. » Le bouddhisme souligne « sauver une vie fait gagner une immense vertu » et enseigne aux gens à être compatissants. Cependant, aux yeux du PCC, les vies des gens sont sans valeurs. Pour les soi-disant « besoins du parti » et « les intérêts du parti », ils tuent beaucoup de gens. Ils bénéficient d'immunité grâce à la « loi ». Ils assassinent de nombreuses personnes avec impunité et avec une soi-disant base « légale ». En particulier, les avortements forcés au cours de ces trente dernières années ainsi que la persécution des pratiquantes de Falun Gong ont affecté de très nombreuses familles. Quand les vies innocentes de la génération à venir sont tuées par le PCC, quand la croyance en « Vérité-Compassion-Tolérance » est persécutée dans une société, y a-t-il encore de l’espoir pour un tel régime ?

Traduit de l’anglais en Belgique