Les miracles se produisent avec une foi ferme en Maître et au Fa

(Minghui.org) J'ai obtenu le Fa en 1998. Sous la protection du vénérable Maître, avec l'aide et l'encouragement des autres pratiquants au cours de ces années, j'ai pu surmonter fermement diverses tribulations.

Il y a tellement de choses que je voudrais dire au Maître grandiose et partager avec d'autres pratiquants. S'il y a quelque chose d'inapproprié, veuillez le signaler avec bienveillance.

1. Revenue d’entre les morts après avoir obtenu et pratiqué le Fa

Avant d'obtenir le Fa, j'étais complètement malade. Je suis allée voir plusieurs médecins, mais les médicaments que je prenais n'étaient pas efficaces. Je ne pouvais pas manger, je me sentais déprimée et j’ai même pensé que je pourrais bientôt mourir. Plus tard, j'ai entendu dire que le Falun Gong pouvait guérir les maladies, alors je suis allée partout pour le demander et le chercher. Enfin, j'ai trouvé des pratiquants de Falun Gong. Quand ils ont vu que je ne pouvais même pas me tenir correctement, ils ont dit qu’ils ne pouvaient pas autoriser les personnes gravement malades à pratiquer. J'ai dit que je devais apprendre.

J'ai demandé à mon mari d'apprendre les mouvements en premier et de me les montrer quand il reviendrait à la maison. Mon mari me tenait tout en m’enseignant. Peu de temps après, mon état mental s’est amélioré et ma douleur a beaucoup diminué. J'ai commencé à avoir de l'espoir. Quelques mois après avoir commencé à pratiquer, toutes mes maladies ont été guéries. Tout mon corps s’est détendu et j'avais une énergie sans précédent. J'ai lu le Zhuan Falun quand j'avais le temps et avec l'aide de mon mari et des pratiquants, je pouvais suivre et lire. C'est ainsi que j'ai commencé à pratiquer Dafa.

Après que mes maladies aient été guéries, le Maître a continué à purifier mon corps, je sentais souvent une sensation de chaleur et j’ai eu de la diarrhée et du sang dans mes selles. En regardant les vidéos d’enseignement du Fa, en écoutant les enregistrements et en étudiant le Fa, j'ai compris que le Maître éliminait mon karma. Ainsi, j'ai pu facilement surmonter ces petits tests et ces tribulations.

Un jour, un an plus tard, cependant, je me suis soudain sentie mal. J'ai senti qu'un grand test d'élimination de karma venait. J'ai appelé mon mari et je lui ai dit que ce test pourrait être très grand et que si je ne le réussissais pas, ne pas me conduire à l'hôpital. (Mon mari ne pratiquait pas.) Il a dit que cela n'irait pas. Si quelque chose se passait, comment pourrait-il l'expliquer à notre famille ? J'ai dit : « N'aie pas peur. Prend une feuille de papier et un stylo et écrit ce que j'ai dit. Je vais le signer, ainsi ma mort n'a rien à voir avec toi. » Enfin, il a vraiment pris un morceau de papier et un stylo et je l'ai signé après avoir terminé d’écrire.

Comme je l'avais prévu, cette partie d'élimination de karma a été très intense. Je ne pouvais pas manger n'importe quoi. Si j'essayais de manger, j’avais une grande douleur et je vomissais. Tout mon corps me faisait souffrir. Mes bras, mes cuisses et mon estomac me faisaient tellement mal quand on les touchait que c'était comme si j'étais coupée par un couteau. Je ne pouvais pas manger et ne pouvais pas aller aux toilettes. Mon ventre gonflait de plus en plus. J'étais tellement mal que j'ai rampé sur le sol les trois premiers jours. Cependant, j'avais cette ferme pensée que ce n'était pas une maladie, c’était de l’élimination de karma. Je n’allais certainement pas mourir.

J'ai appelé ma collègue la plus fiable (elle n'est pas une pratiquante) pour prendre soin de moi et aider mon mari à m'aider à surmonter cette tribulation. Trois jours plus tard, je suis tombée dans le coma. Après trois autres jours, je ne pouvais pas sentir quand j’inhalais et que j’exhalais. Mes yeux étaient fermés. Lorsque ma collègue a vu que mes cuisses étaient devenues dures, elle a pensé que j'étais déjà morte et elle a eu tellement peur qu'elle a couru chez elle.

À cette époque, je logeais dans un dortoir de l'usine et mes collègues pensaient vraiment que j'étais morte. Le septième jour, lorsque mon fils m'a vu, il a dit : « Pourquoi ne pas partir, maman ? Ne souffre pas comme ça. » Mon mari tenait mes mains serrées et il était très triste. Soudain, il a senti que mes mains bougeaient légèrement et il a commencé à appeler mon nom. Mes yeux se sont ouverts progressivement et je suis revenue. J'ai surmonté l'épreuve mortelle.

Après m’être réveillée, j'étais assoiffée et je voulais de l’eau et mon mari m'a apporté une tasse d'eau tiède. Il m'en a donné une gorgée et cela m'a donné très très froid, il a donc fait bouillir un demi-pot d'eau. Il a versé une tasse d'eau chaude et voulait la faire refroidir avant de me laisser boire. Soudain, j’ai attrapé la tasse et j’ai tout bu. Je ne savais pas d’où ma force venait. Après avoir bu de l'eau chaude, je me sentais bien et j'ai continué à boire une autre tasse d'eau chaude. Tout le monde a été stupéfait. Ma sœur a dit : « Elle a bu deux tasses d'eau bouillante. Elle doit avoir perdu toute sensation dans son estomac, donc elle ne pense pas que c'est chaud. »

J'ai très bien dormi cette nuit-là. Dès que je me suis réveillée, j'ai ressenti le désir de manger. Après que je me sois lavée, mon mari m'a soutenue et nous sommes sortis. Nous sommes arrivés juste à temps pour le changement d'équipe. L'ensemble de l'usine de plus de 1800 ouvriers a vu quelqu'un qui était considéré comme morte subitement partir vivante. Cela a été une nouvelle immédiat, explosive.

Après avoir mangé un grand bol de nouilles, j’étais tout à fait normale sans plus aucune douleur.

Cet incident est un témoignage de la puissance miraculeuse de Dafa et tout le monde dit que même une personne morte qui pratique le Falun Gong peut revenir à la vie. Après cela, de plus en plus de gens dans notre usine ont commencé à pratiquer. Je suis aussi devenu une personne bien connue.

2. Je suis tombée

Après le 20 juillet 1999, en raison de la persécution du PCC et parce que je n'avais pas étudié le Fa en profondeur et que je manquais de confiance, j'ai lentement commencé à me relâcher dans l’étude de Fa et dans la pratique des exercices. Progressivement, je me suis dévouée à faire le ménage et plus tard, je ne lisais même plus le Fa et ne pratiquais plus les exercices. J'ai même été accro à jouer au mah-jong. Puis mon fils s'est marié et a eu un enfant et j'étais encore plus occupée toute la journée à prendre soin de mon petit-fils et à faire le ménage. J'ai chuté et je me suis totalement comportée comme une personne ordinaire.

Le Maître a dit :

« Si vous ne vous comportez pas selon les exigences de la Loi, vous ne faites plus partie de notre Falun Dafa. Votre corps reviendra dans l’état d’une personne ordinaire, et toutes les mauvaises choses vous seront restituées puisque vous voulez demeurer une personne ordinaire. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

À nouveau, je suis tombée malade et en raison de la douleur, je ne pouvais pas supporter qu’une partie de mon corps soit touchée. Comme je m'étais relâchée dans l'étude du Fa, je ne me souvenais pas que j'étais une pratiquante. Je me suis permis que l’on m’amène à l'hôpital où j'ai été placée sous perfusion. Cependant, je n'allais pas mieux. Au lieu de cela, toute l'eau salée qui coulait dans mes veines est sortie par ma bouche. Le médecin m'a demandé ce qui se passait et je me suis soudain éveillée et j’ai dit : « Je pratique le Falun Gong. Rien n'influence les vrais pratiquants quand ils vont à l'hôpital se faire soigner. » Le médecin a dit : «  Alors, vous devriez rentrer chez vous et pratiquer les exercices. »

J'ai compris que le Maître prenait toujours soin de moi et qu'il n'avait pas renoncé à moi - une disciple qui n'a pas été diligente. Je devais rentrer chez moi et pratiquer les exercices. Après mon retour, je suis tombée sur un ancien pratiquant. Il a dit avec indignation : « Je ne veux pas te voir. Je suis en colère quand je te vois. »

Avant de commencer à cultiver et pratiquer, si quelqu'un m'avait parlé de cette façon, je l'aurais giflé ou au moins j’aurais eu une grosse dispute avec lui. Cette fois, cependant, je n'ai pas dit un mot. Je sentais que le Maître utilisait les paroles de ce pratiquant pour me critiquer. Quand je suis rentrée, j'ai sorti tous mes livres de Dafa. En regardant la photo de Maître, j'ai pleuré. J'ai pleuré toute la nuit avec un misérable remords. J'ai dit : « Je vous ai laissé tomber, Maître ! À partir d'aujourd'hui, je vous suivrai toujours et je marcherai sur le chemin de la validation de Fa. »

Plus tard, j'ai étudié le Fa et me suis assise dans la position du lotus et j’ai supporté la douleur pendant plus d'une demi-heure. J'ai très bien dormi après. Le lendemain, quand je me suis réveillée, toute ma douleur avait complètement disparu.

3. Abandonner les liens familiaux, personne ne peut m'affecter

Depuis la dernière leçon, j'avais secrètement résolu : « À partir d'aujourd'hui, personne ne peut m’influencer dans ma détermination à croire en Maître et au Fa. Non seulement je vais étudier diligemment le Fa et pratiquer les exercices, mais je vais aussi sortir clarifier la vérité et distribuer des documents tous les jours. » J'ai fait moins de tâches ménagères et je n'étais pas aussi attentive à prendre soin de mon petit-fils. Mon fils s'est énervé et a essayé de me freiner. En outre, j'ai été arrêtée et emmenée au poste de police à quelques reprises et détenue. Puis mon fils a essayé encore plus fort de m'empêcher de pratiquer. Il a essayé de me forcer à renoncer à la cultivation et à la pratique de nombreuses fois, mais je n'ai pas faibli.

Un jour, il a soudain pris un long couteau et l’a pointé sur sa poitrine. Il a dit : « Laisse-moi te demander encore. Si tu veux continuer à faire cette pratique, je vais me poignarder. » J'ai été surprise et j’ai soudain pensé aux paroles du Maître :

« Si vous êtes capable de vous libérer des émotions, plus personne me pourra vous toucher. » (Zhuan Falun)

J'ai pensé : « S'il est mon fils, il ne peut pas s'enfuir. S'il n'est pas mon fils, je n'ai pas peur s'il s'enfuit. Je ne laisserai rien m'affecter. »

Je ne sais pas d'où le courage m’est venu, mais j'ai juste crié : « Je dois cultiver et pratiquer jusqu’à la fin ! » Puis je me suis effondrée sur le sol et des larmes coulaient sur mes joues. Je ne voulais pas lever la tête et regarder. J'ai entendu le couteau tomber sur le sol. Mon fils est sorti et après cela, il n'a plus interféré avec moi. Plus tard, j'ai compris que c'était le Maître qui me testait pour m'aider à surmonter mon attachement à la famille.

4. Aider le Maître à valider le Fa et bien faire les trois choses

Quand j'ai commencé à pratiquer, je pouvais à peine lire, mais maintenant je peux lire tous les livres de Dafa. Tous les jours, je me réveille juste après 3h du matin pour faire les exercices et étudier le Fa. Plutôt que faire une petite quantité de ménage tous les jours, je distribue des documents et j’encourage les gens à démissionner du Parti, en plus de sortir pour clarifier la vérité. Je distribue des documents dans des complexes résidentiels, des centres commerciaux et des supermarchés. Je marche de rue en rue, en allant vers les villes et les villages. J'ai également aidé à créer plus d'une dizaine de groupes d'étude de Fa. Nous étudions le Fa et nous partageons. Les nouveaux et les anciens pratiquants s’améliorent très rapidement.

Un jour, j'ai parlé avec un autre pratiquant au sujet des dents parce que j'avais une dent cariée et deux dents qui se déchaussaient sur ​​le point de tomber. Cela pourrait être dû à un attachement que la discussion a dévié de Dafa et cet après-midi, la moitié de la dent cariée est soudainement tombée avec la racine. Plus tard, la dent a commencé à me faire mal et c’est devenu de plus en plus douloureux. Enfin, même ma tête a commencé à me faire mal. Je n'ai pas fait le dîner et je n'ai pas mangé. Je ne pouvais pas dormir ni m'asseoir.

J'ai demandé à mon mari de jouer des chansons de Dafa pour moi. Comme je les écoutais, ma dent ne me faisait pas aussi mal et j'ai commencé à fredonner. Je ne sais pas quand je me suis endormie. Quand je me suis réveillée le lendemain matin, j'ai touché ma dent. Oh ! La moitié de la dent avec un trou était lisse. Je l'ai regardé dans le miroir et j'ai vu que la moitié de la dent qui était tombée avait été remplacée par une nouvelle dent propre.

Pendant l’étude de Fa en groupe, le lendemain, j'ai dit à tout le monde ce qui s'était passé. Tout le monde a regardé ma dent et a dit que c'était un miracle. En outre, les deux dents qui étaient déchaussées étaient solides et je pouvais manger n’importe quoi.

Plus tard, quand j'avais un attachement, mes dents commençaient à se détacher. Quand mes pensées droites étaient fermes, mes dents l’étaient également. Plus tard, j'ai pensé que je devais fermement nier les arrangements des forces anciennes. Mes dents ne sont pas censées tomber, donc mes dents ne sont jamais tombées à nouveau.

Mon expérience est que tant que nous croyons au Maître et au Fa, que nous avons des pensées droites et que nous faisons ce qui est juste, il n'existe aucun test ou tribulation qui ne peut être surmonté et les miracles se produiront.

Sous la grâce infinie du Maître, on ne que peut faire preuve de diligence et devenir un avec Dafa et suivre le Maître pour retrouver notre origine.

Traduit de l’anglais au Canada