Comment je suis arrivé à bien étudier le Fa

(Minghui.org) Je suis devenu un pratiquant de Falun Dafa en 1994. Avant le 20 juillet 1999, quand la persécution a commencé, j'étais très assidu parce que j'avais bien étudié le Fa. Au cours du processus, j'ai connu la joie d’élever mon xinxing et la souffrance d'abandonner mes attachements. Je pouvais avoir des compréhensions du Fa quand je rencontrais une tribulation quelconque, parce que j'avais bien étudié le Fa.

À cette époque, je pouvais me maintenir à un standard élevé dans ma relation avec les autres dans la société, au travail et dans ma vie quotidienne. Je me souviens une fois quand les responsables du Parti communiste chinois pervers dans mon canton ont planifié d’organiser une session de lavage de cerveau, ils ont ordonné à chaque personne (qui a été forcée d'y assister) de payer 500 yuan.

Une pensée droite produit un bon résultat

Même si à ce moment-là je ne comprenais pas comment le voir du point de vue du Fa, je savais que nous suivions les principes d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance et que ceux qui pratiquent le Falun Gong sont de bonnes personnes. Donc, j'ai décidé de ne pas payer et de ne pas participer. En conséquence, ils ne m’ont plus redemandé d'argent. Maintenant, regardant en arrière, je vois qu'il s'agissait des pensées droites ; c'était la puissance de mon étude du Fa. Par conséquent, je pouvais résister à la persécution perverse.

Se relâcher

Cependant, parce que notre environnement de pratique a été détruit, je n'ai pas continué à étudier le Fa avec diligence et je me suis progressivement relâché. Quand j'étudiais le Fa, il n'entrait pas dans mon cœur et je suis devenu confus. Heureusement je pouvais accéder régulièrement à Minghui.org et voir les articles des pratiquants à propos de leurs expériences de cultivation. Je savais que je devais regarder à l’intérieur, mais je ne pouvais pas trouver les racines de mes problèmes, ce qui m’empêchait d’étudier le Fa de tout mon cœur.

Il y a un peu plus d'un mois, une pratiquante d'une région rurale souffrait de symptômes graves de « karma de maladie ». Son fils l'a emmenée en ville et un des membres de sa famille qui pratique m'a trouvé et m'a demandé d'étudier le Fa avec elle. J'avais un cœur sincère pour aider ma compagne de pratique. Avec elle et d'autres pratiquants, nous avons commencé à étudier le Fa, à apprendre les uns des autres et à partager nos expériences de cultivation. Tous les jours, j'ai aussi téléchargé des articles de Minghui.org pour partager avec elle.

Voir mon propre attachement grâce à quelqu'un d'autre

Pendant le partage, j'ai remarqué que cette pratiquante ne s’était pas cultivée de tout son cœur. En réfléchissant sur moi-même, je me suis demandé : « N'ai-je pas le même problème ? N'est-ce pas cet attachement qui m’empêche de me cultiver solidement ? » Après cette pensée, j’ai été immédiatement déterminé à me débarrasser de mon attachement.

Quand cette pensée droite a surgi, j'ai découvert que tout avait changé. Auparavant, je ne pouvais pas me concentrer pendant mon étude du Fa ; elle était superficielle. Maintenant, quand j'étudie le Fa, il pénètre dans mon cœur. Même si parfois j’ai une interférence, je peux facilement m’en débarrasser en émettant la pensée droite. Je peux comprendre les principes de Fa et mes pensées droites sont plus fortes. Le Maître a ouvert ma sagesse pour la clarification de la vérité et il ne m'est donc plus aussi difficile de me lever tôt pour faire les exercices.

La véritable cultivation est comment vous agissez

Certains pratiquants disent qu'ils ne savent pas comment s'éveiller au Fa ou cultiver. Si c’est ainsi, nous devrions essayer de regarder en soi : est-ce parce que les attachements que vous ne reconnaissez pas vous empêchent de cultiver vraiment et que vous ne vous considérez pas comme un vrai pratiquant ? La véritable cultivation n'est pas ce que vous dites ; c’est agir selon Dafa lorsque vous rencontrez des obstacles dans votre vie.

Le Maître a dit :

« Parce que rien n’est plus précieux qu’un pratiquant ; il veut cultiver et pratiquer, c’est donc la plus précieuse des pensées. Dans le bouddhisme, on parle de la nature de bouddha ; à l’instant où la nature de bouddha d’une personne se manifeste, il devient possible pour les êtres éveillés de l’aider. » (Première leçon du Zhuan Falun)

Tant que nous apportons un cœur pur pour cultiver, le Maître nous aidera.

Le Maître est inquiet et épuisé pour nous ; le Maître nous espère ; le Maître nous attend. Chers compagnons de pratique, s'il vous plaît, faites attention aux tentations du monde ordinaire et rentrez au foyer avec le Maître !

Traduit de l’anglais au Canada