(Minghui.org) Mme Ren Ping, une pratiquante de Falun Gong de la ville de Langfang, province du Hebei, a été arrêtée à au moins 8 reprises au cours des 14 années de la persécution. Elle a été détenue dans des centres de détention, des centres de lavage de cerveau, des camps de travaux forcés et au sous-sol de l'Hôpital de la police de Pékin. Mme Ren Ping a souffert une persécution cruelle et inhumaine aux mains des malfaiteurs - dont la torture, le viol et les agressions sexuelles. Elle a failli mourir à maintes reprises.
Battue et attachée au lit de mort au centre de détention de Langfang
À la mi-octobre 1999, lorsque Mme Ren est allée à Pékin pour faire appel pour le Falun Gong, elle a été illégalement arrêtée. Les policiers de Langfang sont allés la chercher et l'ont détenue au centre de détention de Langfang. Alors qu'elle était détenue, les gardes Yang Hua, Yan Zhen and Feng Guangji l'ont giflée, lui ont tiré les cheveux et l'ont frappée à la tête avec un bâton. Elle a été torturée pendant 30 jours et s'est fait extorquer 2000 yuan.
Le 6 mars 2000, Mme Ren est retournée à Pékin pour faire appel, mais elle a de nouveau été arrêtée par la police. Elle a été détenue pendant 30 jours et on lui a extorqué 1000 yuan. Alors qu'elle était détenue, Xing, le directeur du centre de détention, a frappé ses jambes avec tant de force qu'elles étaient couvertes de bleus.
Le 13 mai 2000, Mme Ren est retournée à Pékin pour faire appel et on l'a emmenée au poste de police de la place Tiananmen. Elle y a été gravement battue pendant plus d'une heure et on lui a extorqué 500 yuan. Par la suite, on l'a emmenée au centre de détention de Langfang.
Comme elle protestait en raison de sa détention illégale, elle a été attachée au lit de mort pendant plus de 45 heures. Tandis qu'elle souffrait étendue là, un garde a dit à Li Yingping, une détenue, de lui bourrer la bouche avec un chiffon mouillé. Elle a presque été asphyxiée.
Reconstitution de torture : le lit de mort
Le 18 juin 2000, Mme Ren a fait les exercices devant une banque. En conséquence, elle a été battue par des agents de police criminels qui lui ont poussé la tête par terre et ont marché dessus. Trois policiers l'ont battue pendant plus d'une heure. Elle a été détenue au centre de détention de Langfang pendant 25 jours. Xing Shifeng, le directeur du centre de détention, l'a placée dans une cellule d'isolement, l'a battue et l'a frappée au visage avec un soulier à plus de 100 reprises. En conséquence des coups, son oreille gauche a enflé, sa joue gauche et le côté gauche de son cou étaient couverts de bleus et elle a perdu de l'audition.
Examen médical
Le 19 septembre 2000, des policiers sont tout à coup entrés par effraction chez Mme Ren et ont tenté de l'arrêter. Afin d'éviter davantage de persécution, elle est partie de chez elle pendant 19 mois. Comme les policiers ne pouvaient la trouver, ils ont détenu son mari (un non-pratiquant) pendant 15 jours. Leur enfant n'avait personne vers qui se tourner et a erré dans les rues sans nourriture et sans abri. Par la suite, les policiers ont continué d'aller chez elle pour menacer et harceler sa famille.
Au cours des 19 mois pendant lesquels Mme Ren était en fuite, elle a été emmenée et détenue au centre de détention de Chaoyang de Pékin à deux reprises, pour un total de 6 mois. Elle a été battue et suspendue par les menottes à maintes reprises. Elle a eu les yeux bandés et a été enfermée dans une cage. Elle a été privée de nourriture. Ils lui ont mis des menottes aux mains et des chaînes aux pieds. On lui a injecté des substances inconnues à l'Hôpital Minhang de Pékin.
Reconstitution de torture : suspendue par les menottes
Un jour vers la fin de 2000, alors que Mme Ren était détenue au centre de détention de Chaoyang, elle et cinq ou six pratiquants ont été envoyés à l'Hôpital Minhang pour des examens. Ils ont subi différents types d'examens approfondis qui ont duré une journée entière. Le médecin a dit que Mme Ren était en bonne santé.
Après minuit le lendemain, on l'a sortie alors qu'elle portait toujours des menottes aux mains et aux pieds. Ensuite, elle a été mise dans le coffre d'une voiture de police. Le policier a dit qu'ils allaient l'envoyer à l'extérieur de la ville. Avec les mains menottées derrière le dos, des chaînes aux chevilles pesant près de 100 kg et le corps plié dans le coffre, elle a souffert d'une douleur indescriptible. Après qu'ils aient conduit pendant plus d'une heure, la voiture a calé et ne pouvait redémarrer malgré tous leurs efforts. Ils ont fait venir une autre voiture et ont reconduit Mme Ren au centre de détention de Chaoyang.
Chaque fois que Mme Ren se souvient de cette expérience, elle pense aux milliers de pratiquants de Falun Gong qui ont été tués pour leurs organes après avoir eu ces examens médicaux. Elle tremble de peur, pensant que la même chose ait pu lui arriver si la voiture n'avait pas calé.
Battue et violée
Vers 21 h le 14 mai 2001, Mme Ren posait des dépliants clarifiant la vérité à Pékin et a été arrêtée par un agent de police. Lorsqu'il a fouillé le bas de son corps, il a touché ses parties génitales. Mme Ren l'a arrêtée et lui a dit de ne pas commettre de mauvaises actions. Le policier n'a pas écouté. À la place, il l'a battue avec sa matraque en caoutchouc pendant plus d'une heure. En conséquence, le corps entier de Mme Ren a été couvert de contusions. Des passants n'ont plus pu endurer cette cruauté et se sont avancés pour l'arrêter. Le policier malfaisant a crié : « Elle est du Falun Gong. C'est ok de la battre à mort ! »
Tandis qu'il continuait de la battre, Mme Ren est tombée par terre. Deux de ses dents antérieures supérieures ont été cassées et sa tête a été contusionnée. Son corps entier était enflé et elle avait des bleus sur tout le corps. Il a frappé l'oreille droite et la tempe de Mme Ren avec un coup violent et elle a perdu connaissance. Il a traîné son corps inconscient au pied du pont Dongzhimen et l'a violée. Après cela, il a inséré la matraque en caoutchouc dans son vagin.
Il n'est pas clair combien de temps s'est écoulé, mais lorsque Mme Ren s'est réveillée, le bas de son corps souffrait d'une douleur extrême. Elle a tout à coup réalisé ce qui s'était produit. Elle a vu que le criminel qui l'avait violée était assis juste là à fumer. Lorsqu'elle a commencé à crier à l'aide, il a dit sans peur : « Je t'ai violée. Tu ne m'as pas obéis, je vais donc te battre à mort et lancer ton corps dans la rivière. Nous avons eu une réunion à notre poste. Ils ont dit que nous pouvons faire tout ce que nous voulons au Falun Gong. » Il s'est simplement levé et est parti lorsque Mme Ren a dit qu'elle allait le signaler au poste de police.
Après que le policier se soit empressé de partir, Mme Ren s'est lentement levée, a marché avec grande difficulté sous le pont. Elle a rencontré un conducteur de taxi de bon cœur qui l'a reconduite à l'endroit où elle vivait. Mme Ren est restée couchée pendant trois jours, incapable de bouger. Il y avait de nombreuses contusions sur son corps et elle dérivait entre la conscience et l'inconscience. Ce n'est que le quatrième jour qu'elle a totalement repris connaissance.
Photographie de Ren Ping prise 13 jours après qu'elle ait été battue et violée par un agent de police.
Le 26 octobre 2001, lorsque Mme Ren distribuait des documents clarifiant la vérité dans des immeubles résidentiels à Pékin, elle a été arrêtée par la police et envoyée au poste de police de Sanjianfang. Elle a été enfermée dans une cage en fer pendant un jour et une nuit avec les mains et les pieds menottés.
Le lendemain, elle a été emmenée au centre de détention de Chaoyang et y a été détenue pendant plus de deux mois. Quatre gardes l'ont battue avec leurs matraques. Ils l'ont poussée à coups de bâtons et l'ont frappée à la tête et au visage avec leurs pieds. Ses yeux sont devenus enflés et noirs en raison des coups.
Lorsqu'elle a été détenue au centre de détention de Chaoyang, Mme Ren a refusé d'écrire une déclaration de garantie et de donner son nom. Elle a également protesté en entamant une grève de la faim.
Comme elle avait osé protester, elle a été mise en isolement cellulaire et on lui a menotté les deux bras derrière son dos. Le garde Wang Xiuyun a dit aux détenus de la battre jusqu'à ce qu'elle perde connaissance et de lui faire reprendre conscience en l'aspergeant d'eau froide, puis de la battre à nouveau jusqu'à ce qu'elle perde connaissance et de lui faire reprendre conscience une nouvelle fois en aspergeant son corps entier d'eau froide et de continuer de le faire.
Lorsqu'elle a été battue jusqu'à perdre connaissance pour la dernière fois, elle a seulement repris conscience après que les malfaiteurs l'aient aspergée avec 40 bassines d'eau froide. Lorsque Mme Ren a repris conscience, elle s'est trouvée trempée d'eau, ses bras étaient énormément enflés en raison des coups et elle souffrait d'une douleur extrême. Au centre de détention de Chaoyang, Mme Ren a été soumise à du gavage pendant trois jours et elle a été torturée jusqu'au point de mourir.
« Les policiers m'assassinent ! », des cris entendus du sous-sol de l'Hôpital de la police de Pékin
Le 26 décembre 2001, le centre de détention de Chaoyang a transféré Mme Ren au sous-sol de l'Hôpital de la police de Pékin. Elle avait été torturée jusqu'au seuil de la mort. Ils prétendaient « la secourir », mais en fait leurs intentions étaient de la soumettre à une torture encore plus horrible.
Mme Ren a été menottée et elle traînait des chaînes avec des boules de fer pensant plus de 10 kg autour de ses chevilles. Il y a d'interminables portes de fer angoissantes et effrayantes au sous-sol. Le chemin était long et tortueux et elle a marché pendant très longtemps. Le sous-sol est assez grand et les seules personnes qui y sont emprisonnées sont des pratiquants de Falun Gong des quatre coins du pays. Tous étaient en danger en raison de la torture qu'ils avaient subie dans les centres de détention situés dans différents districts de Pékin. Chacun d'entre eux était menotté et avait des chaînes aux chevilles. Dès qu'ils arrivaient, ils étaient menottés à des lits 24 heures sur 24 et on ne leur ouvrai leur menottes que pour manger ou aller aux toilettes.
Reconstitution de torture : être enchaîné à un lit
Quatre pratiquants de Falun Gong étaient emprisonnés dans chaque cellule et étaient enchaînés à des lits jour et nuit. Vers 1 h ou 2 h du matin, on pouvait souvent entendre un cri misérable : « Les policiers m'assassinent ! » Ensuite, on entendait les bruits de quelqu'un qui couvrait une bouche avec une couverture. Après un certain temps, on pouvait voir qu'une personne était traînée dehors. Presque chaque nuit, il y avait des pratiquants qui se faisaient traîner dehors. Cela ne se passait pas seulement dans la cellule de Mme Ren où ils pouvaient tous voir. À d'autres endroits, on pouvait seulement deviner. Une infirmière en chef a dit une fois : « Cet endroit est presque devenu le camp de concentration du Falun Gong. S'ils n'avaient pas été transportés dans d'autres endroits, il y aurait eu des montagnes de corps et d'os à cet endroit. » Combien y a-t-il de fautes secrètement cachées dans cet endroit ?
Au sous-sol de l'hôpital, les soi-disant employés médicaux forçaient les pratiquants à passer des tests sanguins. Quiconque refusait de passer le test était torturé par électrochocs. Au cours des 27 jours de détention de Mme Ren, on lui a prélevé de force du sang chaque jour. Chaque fois, ils prélevaient plus de 60 ml de sang. Mais pourquoi tant de sang était-il pris ? Cela demeure un mystère à ce jour.
À cette époque, plus de 80 pratiquants étaient emprisonnés au sous-sol de l'hôpital de la police. Les policiers continuaient d'amener davantage de pratiquants. Chaque jour, on apportait davantage de pratiquants.
Plus tard, la persécution de Mme Ren a été dénoncée sur Minghui.org par des compagnons de pratique. Les policiers de Langfang ont entendu parler de la situation de Mme Ren et après avoir contacté le centre de détention de Chaoyang, ils sont allés chercher Mme Ren à l'hôpital de la police. Quatre policiers sont venus. Lorsqu'ils l'ont vue, ils ont été sous le choc : Mme Ren, qui était auparavant très belle, douce et silencieuse était déformée par la torture et ils pouvaient à peine la reconnaître.
Déshabillée, battue et agressée sexuellement par des gardes criminels au camp de travaux forcés de Tangshan
Le 14 janvier 2002, des policiers du poste de police de Langfang ont enchaîné les mains de Mme Ren derrière son dos et l'ont envoyée au centre de lavage de cerveau de Yuecheng du Bureau 610 de Langfang à Pékin. Les employés du centre de lavage de cerveau de Yuecheng l'ont menacée pour lui faire écrire les « trois déclarations » pour renoncer à sa croyance, ce qu'elle a refusé de faire. À cause de cela, un malfaiteur nommé Zhao Lihua l'a frappée au visage, lui a donné des coups de pied à la poitrine avec des bottes en cuir et l'a privée de sommeil. Elle a été détenue au centre de lavage de cerveau et a souffert la persécution pendant plus de 30 jours. On lui a également extorqué 10 000 yuan.
Le 8 mars 2004, cinq agents de police criminels sont entrés par effraction chez Mme Ren. Ils l'ont poussée par terre et ont commencé à la battre. Ensuite, ils l'ont emmenée au camp de travaux forcés pour femmes de Kaiping dans la ville de Tangshan et ils l'y ont détenue pendant deux ans. Au cours de cette période, elle a été soumise à de l'isolement dans une petite cellule pendant 13 mois. Comme elle n'obéissait pas aux commandes des gardes, elle a été privée de sommeil. Les gardes malfaiteurs l'ont punie en la faisant se tenir debout devant un mur de la salle de surveillance dans laquelle il y avait beaucoup de vent. Ils ont également dit aux détenues de la pincer, de donner des petits coups sur ses globes oculaires et de la gifler pour la forcer à écrire la « déclaration de transformation ». Elle avait des contusions sur tout le corps.
Au cours de l'été, la température était montée jusqu'à 38 degrés à l'intérieur de la cellule, mais le garde Chen Zhaoguang a scellé les fenêtres avec du ruban adhésif. Ke Jibin, le directeur du département de l'éducation, l'a étranglée afin de l'empêcher de dire « Falun Dafa est bon ». Il a dit qu'ils allaient s'assurer qu'elle ne parte pas de cet endroit en vie. Elle souffrait de ces tortures presque tous les jour.
Un jour, Yan Hongli, le chef d'équipe et trois autres malfaiteurs sont entrés à grandes enjambées dans la cellule d'isolement dans laquelle elle était détenue, ils ont soulevé sa couverture et ont déchiré ses vêtements. Ils n'ont pas trouvé ce qu'ils cherchaient : des articles écrits par le Maître du Falun Gong, Maître Li.
Ils ont poussé Mme Ren par terre et ont commencé à la frapper et à lui donner des coups de pieds. Ils l'ont frappée au visage et son nez a commencé à saigner. Ils lui ont arraché des touffes de cheveux. Yan Hongli a ordonné aux voyous de la déshabiller et a ordonné à une détenue appelée Chen Yan de lui arracher tous les poils de ses parties génitales. La douleur était vraiment intolérable. Plus tard, elle a été punie et a dû se tenir debout pendant près d'une heure, ce qui lui a donné des vertiges. Le sang de Mme Ren était partout.
Pendant les 13 mois au cours desquels Mme Ren a été détenue au camp de travail, elle a souvent été battue et enfermée dans un pièce sombre. Elle était privée de nourriture. Lorsqu'on lui demandait d'aller voir le chef d'équipe, le garde l'a menaçait de la battre à nouveau. Chen Zhaoguang, la chef d'équipe féminine, tentait de la forcer à se faire « transformer » et l'a giflait souvent. Elle l'a obligée à se tenir la tête, en position debout avec les jambes droites face à un mur. Quatre personnes l'a surveillaient à tour de rôle. Elle a dû se tenir debout 24 heures sur 24, pendant 20 jours. À la fin, ses jambes avaient doublé de grosseur et elle ne pouvait plus contrôler sa vessie. Les gardes criminels n'ont arrêté que lorsque les médecins de la prison ont dit qu'elle allait bientôt mourir.
Les parents décèdent alors que leur fille leur manque
Pendant les dix années et plus de persécution, les parents de Mme Ren étaient effrayés et sous un stress immense. Lorsqu'elle était sans-abri, les policiers venaient chez les parents âgés pour les harceler et les menacer afin de connaître la situation de leur fille. Le couple âgé était septuagénaire. Les policiers attendaient toujours jusqu'à 23 h ou après minuit pour les harceler et les menacer. Ils leur téléphonaient également et exigeaient qu'ils aillent au poste de police pour leur dire où était leur fille. Tout cela a mis une pression mentale extrême sur le couple âgé. Dès que sa mère entendait dire que les policiers venaient, elle tremblait de peur. Elle était si terrifiée qu'elle a perdu le contrôle de sa vessie. Constamment menacé par la police, le couple âgé vivait dans une grande peur et leur santé s'est détériorée jour après jour.
En mars 2004, lorsqu'ils ont entendu dire que leur fille avait de nouveau été emmenée dans un camp de travaux forcés, ils ont été si inquiets pour leur fille que l'état de santé de la mère a tout à coup empiré. En moins d'un mois, la mère est décédée. Alors que la mère était étendue, mourante, elle ne fermait pas les yeux. Lorsque ses proches lui ont dit qu'elle ne devait pas s'inquiéter pour sa fille, des larmes ont coulé le long de ses joues. Cinq mois plus tard, le père est également décédé.
Lorsque Mme Ren a reçu la nouvelle en prison que ses parents étaient décédés, elle avait tellement le cœur brisé qu'elle s'est presque évanouie.
Cette persécution cruelle et inhumaine commencée par le PCC a fait qu'il a été impossible pour un grand nombre d'enfants de s'occuper de leurs parents, que tant de couples n'ont pu être ensemble et qu'énormément de parents n'ont pu éduquer leurs enfants. Combien de familles heureuses ont-elles été brisées ? Combien y a-t-il de personnes sans-abri aujourd'hui et combien de personnes ont-elles été assassinées ? Le PCC pervers persécute de bonnes personnes. La douleur horrible et les souffrances endurées par Mme Ren au cours de ces 14 dernières années sont seulement la pointe de l'iceberg.
Traduit de l'anglais au Canada
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