(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong le 25 avril 1999. Ma cultivation personnelle a donc été synchronisée avec le début de la rectification de Fa. À travers la persécution, comme je croyais entièrement dans Dafa et dans le Maître, je n'ai jamais rien fait contre Dafa ni le Maître. Chaque pas de ma cultivation et pratique reposait sur la protection du Maître et sur ma compréhension du Fa.
Je n'ai pas commencé la cultivation et pratique pour la santé ou pour d'autres recherches. La première fois que j'ai lu le Zhuan Falun, le principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » m'a attiré. Avant de commencer la cultivation, j'étais très égocentrique et j'avais un fort esprit de combat. Mon attitude venait de la philosophie du Parti communiste chinois (PCC) : « Tu ne me touches pas, je ne te touche pas. Si tu me touches, je vais assurément chercher à me venger. »
Après avoir étudié le Zhuan Falun, j'étais stupéfait de voir qu'il nous enseignait à être bons. Il était complètement différent des autres livres et j'aimais beaucoup le lire. Même si je n'étais pas une mauvaise personne dans la société, après avoir lu ce livre, j'ai découvert que j'étais loin d'être véritablement une bonne personne. Même si je n'atteignais pas le critère « Authenticité-Bienveillance-Tolérance », j'avais hâte d'être capable d'y parvenir. Ému par les enseignements profonds du Maître, j'ai commencé la cultivation et pratique, déterminé à réussir.
Le jour du début de la persécution, j'étudiais le Fa chez moi. Un pratiquant de longue date qui me connaissait était inquiet pour moi, car j'étais chez moi toute seule. Il a appelé et m'a dit de regarder la télévision. Je l'ai fait et j'ai découvert que toutes les chaînes diffusaient des propos diffamant le Falun Gong. Je n'avais aucune peur et je savais à quel point le PCC était pervers. Ma première pensée était d'acheter immédiatement les livres, car je savais que le PCC détruirait rapidement tous les livres de Dafa. Il pleuvait ce jour-là. Je suis entré dans une librairie et j'ai acheté sans hésitation plusieurs séries complètes de livres de Dafa. Le propriétaire de la librairie a dit : « On vous calomnie déjà en tant que secte. Comment osez-vous acheter les livres ! » J'ai dit : « Pourquoi pas ? Ce sont de si bons livres ! »
À cette époque, même si je ne connaissais pas la clarification de la vérité, je parlais à tout le monde que je rencontrais de la façon dont le Falun Gong enseigne aux gens à êtres bons et apporte la bonne santé. J'ai également parlé aux gens de mes expériences personnelles. Malgré l'immense pression de la persécution, je suis devenu de plus en plus déterminé dans ma croyance dans le Maître et dans Dafa. Je n'avais pas du tout peur, parce que nous étions de bonnes personnes respectant les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je pratiquais le Falun Gong de mon plein gré. Je savais que le Falun Gong ne se trompait pas et que les pratiquants de Falun Gong ne se trompaient pas.
Pendant plus de dix ans de cultivation et pratique, outre les bienfaits physiques de n'avoir besoin d'aucun médicament pendant tout ce temps, j'ai également fait l'expérience d'améliorations psychologiques extraordinaires. J'ai changé d'être égoïste à toujours tenir compte des autres en premier. Les relations avec mes amis, mes proches et mes voisins se sont également grandement améliorées.
Un directeur de comité de quartier vivait en face de chez moi. Il était une personne très simple. Peu de temps après avoir emménagé, je lui ai clarifié la vérité sur le Falun Dafa, ce qu'il a accepté. Lorsqu'il était très malade, je lui ai rendu visite avec des cadeaux et 100 yuan, ce qu'il a refusé d'accepter. Je lui ai dit souhaiter qu'il reste en sécurité, ainsi qu'en bonne santé et espérer qu'il accepte mes présents. Il savait que j'étais sincère, alors il les a acceptés.
Je lui ai parlé des faits sur le Falun Dafa et d'histoires de gens qui ont été récompensés après avoir dit « Falun Dafa est bon ». Je lui ai également donné un porte-bonheur en lui disant de dire « Falun Dafa est bon », ce qui pourrait apporter des miracles. Après un certain temps, il s'est rétabli. Il m'a dit avec joie : « Je dois remercier le Falun Gong. La maladie est très difficile à guérir, même pour des médecins. J'ai été béni par le Falun Gong. » Je lui ai dit de remercier le Maître. Pendant les Jeux Olympiques de Pékin 2008, le comité de quartier lui a spécifié de me surveiller. Mais il m'a protégé à la place, disant aux autres : « Les pratiquants de Falun Gong sont tous de bonnes personnes. Ils font de bonnes actions. Pourquoi les surveiller ? »
Dès que nos voisins ont des difficultés, je tente toujours d'aider. Parmi mes voisins, il y avait des fonctionnaires de département de police, des autorités, des médecins, des hommes d'affaires... Je surmontais toujours ma peur pour leur clarifier la vérité et je les aidais à démissionner du PCC. J'ai fait noblement ce que les pratiquants doivent faire.
Un soir, une nouvelle résidente a cassé sa clé dans la serrure de sa porte. J'étudiais le Fa chez moi, lorsque j'ai entendu des pleurs en bas des escaliers. Je suis immédiatement allé l'aider avec une lampe de poche. Nous n'arrivions pas à sortir la clé, alors j'ai trouvé le numéro de téléphone d'un serrurier et je l'ai appelé. Le serrurier l'a rapidement réparé. La voisine m'a tenu les mains et m'a remercié avec émotion : « C'est si inhabituel de voir une bonne personne comme toi. Nous ne nous connaissons pas et je ne t'ai pas demandé d'aide, mais tu es venu m'aider. Merci beaucoup ! » Je lui a dit que j'étais un pratiquant de Falun Gong et que notre Maître nous a enseigné à toujours prendre les autres en considération. Elle a dit : « Les pratiquants de Falun Gong sont si gentils ! » Je lui ai clarifié la vérité et l'ai aidée à démissionner du PCC.
J'ai recours à mes actions droites pour valider la beauté du Falun Dafa à tout moment et dans tout lieu possible. J'ai toujours aidé à nettoyer l'entrée. Lorsque des gens mettent leurs ordures à l'extérieur de leur porte, je les apporte au bac à ordures. Mes voisins ont dit que je suis une bonne personne. Peu importe qui me complimente, je leur dis toujours : « Je suis capable de le faire uniquement grâce à la pratique du Falun Gong. »
Je clarifie la vérité tout au long de ma vie de tous les jours. Quiconque vient chez moi, que ce soit pour réparer quelque chose, pour emporter le recyclage, des amis ou des proches, je leur clarifie toujours la vérité et je les aide à démissionner du PCC. Dès que je vais faire les courses, je clarifie la vérité aux agents de sécurité. Je les complimente toujours : « Vous, agents de sécurité, protégez les clients. Vous êtes de bonnes personnes, alors je dois vous parler de la vérité. Le Falun Gong est une méthode de cultivation et pratique de l'école de Bouddha, elle nous enseigne à être bons en respectant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et à penser aux autres en premier. Ne soyez pas trompés par les mensonges du PCC. Vous serez sain et sauf après avoir appris la vérité ». Presque la majorité d'entre eux ont accepté la vérité et accepté de démissionner du PCC avec joie.
Après avoir compris la vérité sur le Falun Gong et avoir été témoin des actions des pratiquants, le directeur du Bureau 610 de notre région a dit : « Tous les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. Les mauvaises personnes ne peuvent pas bien pratiquer le Falun Gong. » Ainsi, notre région a assez bien fait pour résister à la persécution. Il n'y a jamais eu de centre de lavage de cerveau ici. Lorsque notre Bureau 610 recevait les ordres de mettre en place un centre de lavage de cerveau, ils s'y opposaient toujours astucieusement.
Je pourrais continuer de parler de la clarification de la vérité pendant trois jours et trois nuits. Cependant, il y a un incident qui m'a particulièrement ému. Avant de commencer à pratiquer le Falun Gong, j'avais impliqué une camarade de classe de mon village natal dans une vente pyramidale. Finalement, nous avions tous les deux été victimes. À cause de cela, elle me détestait énormément et ne m'a pas adressé la parole pendant des années. Un jour, nous nous sommes rencontrés après des années sans se voir. Elle a immédiatement commencé à m'injurier avec de gros mots. J'ai cherché à l'intérieur, mais je ne pouvais pas trouver les raisons pour lesquelles elle me traitait ainsi.
Je l'ai vue au marché un autre matin. Je voulais me réconcilier avec elle et je suis donc allé la saluer. Cette fois-ci, elle a été encore plus féroce et ses mots étaient encore plus malfaisants. Même les vendeurs au marché se sont joints à elle pour m'accuser. J'étais très embarrassé et je me sentais injustement traité. Je me suis demandé pourquoi elle me traitait toujours de cette façon même si je ne m'étais jamais défendu. Lorsque je suis arrivé chez moi, j'ai continué à chercher à l'intérieur. J'ai tout à coup trouvé la raison. Elle m'avait injurié tout ce temps, pourquoi ne lui avais-je pas clarifié la vérité ? Elle créait tant de karma en m'injuriant, parce que je lui avais causé des dommages dans le passé. Je lui permettais maintenant de m'injurier et de créer davantage de karma. C'était entièrement ma faute. J'ai découvert que la raison pour laquelle je ne lui avais pas clarifié la vérité était que j'avais peur qu'elle refuse d'accepter la vérité et qu'elle me blesse. N'était-ce pas égoïste ?
Je me suis ajusté, j'ai apporté des présents et j'ai demandé à un autre pratiquant de lui rendre visite avec moi. J'avais peur qu'elle n'ouvre pas la porte en y allant seul. Lorsque le pratiquant a demandé à la voir, elle a ouvert la porte. Dès qu'elle m'a vu au seuil de la porte, elle a dit : « Comment oses-tu venir chez moi ! » et elle m'a poussé à l'extérieur, mais je suis parvenu à entrer dans la pièce. J'avais demandé à l'autre pratiquant de ne pas mentionner le Falun Gong en premier, car elle n'accepterait peut-être pas la vérité en raison de sa haine envers moi.
Après avoir présenté mes sincères excuses, je lui ai redonné l'argent que j'avais gagné sur son dos il y a des années dans la vente pyramidale. Je faisais très attention à mes mots. Je lui ai dit que je faisais ainsi parce que j'étais un pratiquant. À ma surprise, elle a répondu : « Je sais que tu es un pratiquant de Falun Gong. » Je lui ai donc naturellement clarifié la vérité. Elle a accepté ce que je lui ai dit et a démissionné du PCC avec joie. Elle m'a demandé de rester pour le repas de midi, me donnant son numéro de téléphone et me demandant de clarifier la vérité à ses amis. Je savais que mon souhait sincère de sauver les êtres l'avait touchée droit au cœur. Le Maître m'a aidé à résoudre le conflit et a une fois de plus manifesté les miracles de Dafa.
J'ai également appris la véritable signification de ce que le Maître a dit :
« La cultivation dépend de soi-même, le gong dépend du maître » (Zhuan Falun)
Le Maître a préparé les chemins pour que nous sauvions les gens. Le succès sera assuré si les pratiquants agissent avec la pensée droite et la bienveillance. Comme j'ai été capable d'abandonner mes intérêts égoïstes, un de mes anciens superviseurs, à qui j'ai clarifié la vérité à plus de dix reprises, a finalement accepté de démissionner du PCC.
J'ai récemment découvert que comme je passais davantage de temps à clarifier la vérité, j'étais devenu moins diligent dans l'étude du Fa. De temps en temps, j'étais interféré par des attachements. J'ai étudié ce que le Maître a dit :
« Il y avait autrefois une phrase dans le bouddhisme, le sens était que si vous pouvez rester du début jusqu'à la fin comme quand vous avez commencé, vous allez assurément atteindre la plénitude parfaite. » (« Qu'est-ce qu'un disciples de Dafa ? »)
Les mots du Maître m'ont encouragé à être plus diligent, à réaliser ma mission, à bien faire les trois choses et à accomplir mes responsabilités.
Merci Maître ! Merci compagnons de pratique !
Traduit de l'anglais au Canada
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