(Minghui.org) Je suis un pratiquant d'une cinquantaine d'années et je travaille dans un atelier de réparation automobile. Deux jours après avoir été embauché dans cet atelier, une étagère de stockage est tombée dans le garage. À ce moment-là, j'étais en train de nettoyer entre les étagères. Les ouvriers ont vu que l'étagère était sur le point de tomber et ont essayé de me prévenir, mais c'était trop tard. Je les ai regardés mais je n'ai pas réalisé ce qui se passait.

Quand je suis revenu à moi, les étagères jonchaient le sol et tout ce qui se trouvait en-dessous était écrasé. J'étais allongé près des débris. Si quelqu'un s'était retrouvé écrasé par des étagères métalliques aussi lourdes, soit il aurait été grièvement blessé, soit il aurait trouvé la mort. J'avais seulement un peu mal au talon. J'ai jeté un coup d’œil vers le bas et j'ai vu que cela saignait et que l'os sortait. Mes collègues de travail ont commencé par envelopper rapidement mon talon et ont dit qu'il fallait qu'on m'emmène d'urgence à l'hôpital, ou qu'ils allaient appeler une ambulance.

Le propriétaire de l'atelier a dit qu'il allait m'emmener lui-même tout de suite à l'hôpital. Mes collègues de travail étaient dans un état de panique et ont rapidement enveloppé ma blessure dans de la gaze. J'ai dit : « Pas de souci, ne vous inquiétez pas. » Ils ne m'ont pas écouté, ils m'ont soulevé et m'ont mis dans sa voiture. Je lui ai dit que j'allais bien, que la blessure ne faisait pas mal et qu'elle serait rapidement cicatrisée et qu'il n'était pas nécessaire d'aller à l'hôpital. Le patron n'arrêtait pas de dire qu'il faisait très chaud et que nous devions donc aller à l'hôpital tout de suite, et que cela relevait de sa responsabilité. J'ai dit : « Si vous insistez, nous pouvons aller dans une clinique pas loin pour qu'ils fassent un meilleur bandage. » Il a été d'accord de m'emmener dans une clinique où le médecin a fait quelques points de suture.

J'ai fermement expliqué au patron qu'il n'avait pas besoin de se procurer des médicaments pour moi, ni de payer des piqûres. Je lui ai dit qu'il pouvait simplement me ramener chez moi. Comme j'insistais fermement, il n'a pas eu d'autre choix que de me conduire chez moi. Quand nous sommes montés dans sa voiture, il a dit : « Vous avez la foi, pas vrai ? » Je lui ai dit que je croyais en Authenticité-Bienveillance-Tolérance et que cela faisait des années que je pratiquais le Falun Gong. Je lui ai dit que le Falun Gong enseigne aux gens à être de bonnes personnes. Il a eu l'air soulagé mais il était encore inquiet pour ma blessure. Il a dit que si ma blessure s'infectait, je devais lui en parler tout de suite et qu'il prendrait sa responsabilité.

Au cours des quelques jours qui ont suivi, mon patron m'a appelé plusieurs fois pour prendre des nouvelles de mon rétablissement. Dix jours plus tard, je lui ai dit que ma blessure était cicatrisée et que je pouvais retourner travailler. Le patron m'a dit qu'il s'occupait de cet atelier de réparation depuis de nombreuses années et que ce genre de chose était arrivé à plusieurs reprises. Il avait dû dépenser plusieurs milliers de yuan en soins médicaux pour des blessures légères. Pour des scénarios comme le mien, avec l'os visible et de profondes blessures, les simples dépenses en médicaments lui auraient coûté entre huit et dix mille yuan, sans parler du prix du dédommagement et du travail. Certains ouvriers insistaient sur le fait de rester à l'hôpital. Il a dit : « Vous vous êtes rétabli si vite. Vous n'avez rien demandé et vous n'avez pas accepté d'argent non plus. Comme j'aimerais qu'il y ait plus de gens comme vous ! »

J'en ai profité pour lui parler des trois démissions et de la beauté de Dafa.

Il a dit avec émotion : « Le Falun Gong est vraiment bien, les pratiquants de Falun Gong sont vraiment bien. Si tout le monde pratiquait le Falun Gong, la société serait bonne. Falun Dafa est bon ! »

Traduit de l'anglais en France