(Minghui.org) À la Conférence de Fa du canton le 6 mars 1999, je me suis écriée du fond du cœur « L'or a de la valeur, mais Dafa est un trésor sans prix ! » et l'assistance composée de 3 000 pratiquants a chaleureusement applaudi.
1. Obtenir le Fa
Fin avril 1998, lorsque ma petite fille a vu la photo du Maître dans la maison de son grand-père, elle était si contente qu'elle l'a tenue dans ses petites mains. Ma fille a insisté pour que sa grand-mère lui enseigne et elle nous a appris à ma fille et à moi comment s’asseoir avec les jambes croisées.
À ce moment-là, ma belle-mère souffrait d’un cancer en phase terminale et le médecin avait dit qu'elle ne vivrait plus que quelques mois. À l'occasion d'un voyage dans la ville de Wuhan, elle avait appris le Falun Gong. Malheureusement après son retour à la maison, il n'y avait aucun environnement de cultivation et elle a commencé à jouer au mah-jong tous les jours. Mais lorsqu'elle jouait, elle perdait tout le temps et ne gagnait jamais. Le Maître lui donnait des signes, mais elle ne comprenait pas.
Quand ma fille et moi-même sommes allées lui rendre visite, j'ai vu que ses cheveux étaient redevenus noirs. Auparavant ses cheveux étaient presque blancs, je lui ai demandé : « Avez-vous teint vos cheveux ? » Elle a répondu : « Je suis si malade. Comment aurai-je encore envie de me teindre les cheveux ? Ce doit être en raison de ma pratique du Falun Gong. » En entendant cela, j'ai pensé : « Le Falun Gong est si étonnant, je dois pratiquer moi aussi. » Le Maître a dit :
« Mais il y a une règle : si vous dépassez le temps de vie que le Ciel a déterminé pour vous et qu’il vous a donné à l’origine, ce temps de vie supplémentaire devra être complètement réservé à votre pratique de gong ; si l’orientation de votre pensée dévie un tant soit peu du chemin, vous mettrez votre vie en danger puisque votre temps de vie est écoulé depuis longtemps. » (Première leçon, Zhuan Falun)
Ma belle-mère ne pratiquait pas fermement et elle est décédée.
Alors que je rangeais ses affaires, j'ai trouvé des livres et une photo du Maître. Je savais que le Falun Gong était quelque chose de très particulier et que des choses mystiques arrivaient aux gens, aussi j'ai voulu garder ces livres.
J'ai demandé à ma belle-sœur plus âgée si elle les voulait. Elle a répondu : « Je ne peux pas suivre les principes. Quand les gens me maudissent une fois, je n'arrive pas à l'accepter et je les maudis dix fois. » Alors j'ai demandé à mon autre belle-sœur plus jeune et elle a dit : « Je n'arrive pas à pratiquer non plus. Si quelqu'un me frappe une fois, je dois le frapper dix fois. Je ne peux pas faire comme dit le livre. » J'ai dit : « Je peux le faire. » Elles ont immédiatement emballé les livres et me les ont donnés. J'ai ramené les livres et la photo du Maître à la maison.
2. La cultivation
Lorsque j'ai lu le Zhuan Falun pour la première fois, j'ai aimé les principes du Fa et ce que le Maître enseignait sur la cultivation. Je voulais vraiment être une disciple du Maître. Peu après que j'aie commencé à aller sur le point de pratique, la persécution a commencé. Alors j'ai dit : « Allons pratiquer chez moi. » Ainsi, tous les pratiquants locaux sont venus chez moi pour pratiquer les exercices. Peu de temps après, un pratiquant a acheté une plus grande maison afin de l’utiliser pour étudier le Fa et pratiquer les exercices.
Un jour, j'étais en méditation, la douleur dans mes jambes était insupportable. cela n'avait jamais été aussi douloureux et j’ai voulu décroiser les jambes. Lorsque j'ai ouvert les yeux, j'ai vu la photo du Maître. On aurait dit que l'image du Maître bougeait ! Il me regardait avec un regard bienveillant. J'ai été surprise et j'ai pensé que je devais continuer, aussi douloureux que ce soit.
Un jour alors que je méditais, un courant chaud est soudain descendu du sommet de ma tête dans tout mon corps. Je savais que le Maître faisait guanding pour moi. Un autre jour, lors d'une méditation en groupe, j'ai fait l'expérience de ce que le Maître a dit :
« Dès que vous êtes assis, une sensation merveilleuse apparaît, comme si vous étiez installé dans une coquille d’œuf » (Huitième leçon, Zhuan Falun)
Je savais que c’était le Maître qui m'encourageait.
En novembre 1998, ma maison a commencé à se remplir d'eau. J'ai téléphoné à la compagnie des eaux pour réparer la fuite et ils ont dit que le tuyau était peut-être cassé et qu’ils devaient creuser pour voir. Lorsque le tuyau de ma maison a été sorti de terre, il n'était pas cassé. Ils ont par conséquent dû creuser pour voir les canalisations des trois autres familles restantes. Seules deux d'entre elles ont accepté que leurs canalisations soient inspectées.
Ma cour était remplie de glace et la porte principale était gelée et avait enflé et on ne pouvait plus la fermer. J'ai pensé que comme je pratiquais le Falun Gong, je devais utiliser Dafa pour me mesurer moi-même et abandonner mes attachements. Le Maître a dit :
« Au milieu des conflits, nous disons un pas en arrière et la mer est vaste, le ciel immense, on verra les choses autrement, c’est sûr. » (Neuvième leçon, Zhuan Falun)
Un miracle s'est produit. Cette famille a dépensé plus de 2 000 yuan pour réparer le tuyau. J'ai remercié le Maître du fond du cœur.
Le 24 décembre dans l'après-midi, mon mari a téléphoné et a dit qu'il avait été poignardé à deux reprises alors qu'il attrapait des voleurs. Il voulait que j'apporte de l'argent à l'hôpital pour se faire soigner. Le Maître a utilisé la bouche de ma fille pour m’indiquer : « Tu dois abandonner le qing (émotion), maman. » Je me suis raffermie avant d'aller à l'hôpital.
À cette époque, nous n'avions pas suffisamment d'argent. Le troisième jour, j'ai dit au médecin que mon mari devait être renvoyé à la maison pour se reposer. Le Maître a dit :
« Si une personne pratique, toute la famille en bénéficie. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa en Australie »)
Mon mari irait bien. Par conséquent, J'ai ramené mon mari à la maison. Une blessure qui était si profonde a été miraculeusement guérie en 15 jours. J'ai été tellement touchée par la magnifique compassion du Maître que j'ai sangloté.
Je crois que je suis une disciple de Maître et je dois suivre strictement les exigences du Maître.
Depuis que je cultive, aussi douloureuse que soit l'élimination du karma, je n'ai jamais pris de congé de maladie au travail. Mes collègues disaient : « Ne sois pas si dure au travail. Aussi dure que tu sois au travail, le directeur ne te choisiras pas comme modèle. » Je leur ai répondu : « Je travaille consciencieusement parce que je pratique le Falun Gong. » Le Maître a dit :
« Comme chacun de vous cultive Zhen-Shan-Ren, vous devez être une bonne personne en toute circonstance. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa au Canada »)
3. Sauvegarder le Fa
Le 20 juillet 1999, le PCC a commencé à persécuter le Falun Gong. Ce jour-là, lorsque je me suis rendue au stade pour pratiquer, la police nous a dispersés et ne nous a pas autorisés à faire les exercices. Plus de dix personnes parmi nous sont restées et ont persisté pour finir les exercices debout.
À partir de ce jour-là, il n'y a plus eu de site de pratique public et notre groupe d'étude du Fa s'est également dissous. Le coordinateur m'a dit : « L'environnement de cultivation que le Maître a créé pour nous ne peut pas disparaître comme çà. » J'ai dit : « Faisons les exercices et étudions le Fa chez moi. » Le coordinateur et quelques pratiquants sont venus chez moi tous les jours afin d'étudier le Fa et faire les exercices. Quand la police a été au courant de cela, ils ont commencé à surveiller l'intersection près de mon domicile afin d'arrêter les pratiquants. Seul le coordinateur a insisté pour échapper à la police et venir chez moi alors que les autres pratiquants n'ont pas osé. Nous avons continué à pratiquer jusqu'à la fin de l'automne.
Un jour, un groupe de gens parmi lesquels le directeur du syndicat des travailleurs et du comité résidentiel est venu chez moi avec l'intention de m'interdire de pratiquer. Au moment où ils sont entrés dans mon domicile et ont voulu prendre les livres de Dafa sur la table, j'ai crié fermement : « Ne les touchez pas ! » Ils ont tous été intimidés et effrayés. Dafa est tellement incroyable, je dois bien le protéger !
Un jour, un pratiquant et moi avons été arrêtés et envoyés dans un centre de détention. Nos domiciles ont été fouillés. Au cours de la huitième nuit au centre de détention, j'ai fait un rêve. J'ai rêvé qu'un dragon, un poulet et un canard se trouvaient dans une cage en métal. Le dragon était recroquevillé dans le fond de la cage et piétiné par le poulet et le canard. Je me suis soudain éveillée : « Ce n'est pas un endroit pour moi, je dois partir. »
Le jour suivant, j'ai fait le Heshi et ai dit au Maître : « Je ne suis pas supposée être ici. Veuillez m'aider Maître. » Trois jours après, la police m'a relâchée. J'ai fait Heshi afin de remercier le Maître.
Un jour que j'allais au travail, j'ai vu plusieurs banderoles calomniant le Maître et Dafa dont certaines étaient collées très haut.
En voyant ces banderoles diffamatoires, j'ai senti qu’il était de mon devoir de les éliminer. J'ai acheté un pistolet à eau et de l'encre. J'ai rempli le pistolet avec de l'encre et j'ai aspergé les banderoles. Cependant, l'encre n'est pas restée et a coulé.
Je suis alors rentrée chez moi et j'ai fabriqué une échelle. Vers 2h du matin, j'ai pris l'échelle et un grattoir et suis sortie. J'ai utilisé le grattoir pour retirer les banderoles, je les ai ramenées à la maison et les ai brûlées.
Les banderoles les plus difficiles à retirer étaient celles situées sur la vitre de la porte du service de sécurité. À 3h du matin, je suis allée à la fenêtre du service de sécurité et j'ai arraché les banderoles en employant toute ma force. Quand je suis ressorti après avoir arraché les banderoles, une personne de la sécurité est apparue. Il m'a demandé : « Avez-vous vu quelqu'un ? » J'ai répondu : « Non, personne. » J'ai compris que le Maître m'aidait.
En 2002, quelques jours avant le Nouvel An chinois, le département de police a demandé à mon entreprise de m'envoyer au Bureau 610. Ma sœur a dit : « Peu importe combien ils t'interrogent, ne dis rien. » Je sais que le Maître a utilisé sa bouche pour me prévenir.
Aussi hystériques que soient les policiers, je ne faisais que les regarder calmement et je mémorisais le Fa dans mon cœur. J'ai été interrogée pendant près de deux jours. Le deuxième jour à 15h, le chef du département de police est arrivé. Il a commencé à m'insulter aussitôt rentré dans la pièce. J'ai dit avec fermeté : « Vous êtes un directeur de la police et pourtant vous êtes le premier à insulter les autres ! Nous les pratiquants de Falun Gong n'insultons pas les autres ! » En entendant cela, il a marché de long en large et est sorti de la pièce. Les autres agents l'ont suivi et sont également sortis.
Un moment plus tard, le chef du Comité des affaires politiques et juridiques est entré. Il s'est assis en face de moi et a essayé de me convaincre d'arrêter de pratiquer le Falun Gong. Il m'a amadoué : « Dès que tu diras que ton Maître est « pervers », je te laisserai rentrer chez toi pour le nouvel An. » Je lui ai dit : « Vous pouvez parler avec mon entreprise, mes voisins et ma famille et ils vous diront tous que je suis une bonne personne. » Il a dit : « Nous vous comprenons très bien. » J'ai répondu : « Suis-je une bonne personne ? » Il a dit oui. Je lui ai demandé : « Alors, est ce que je vous parais mauvaise ? » Il a répondu non. J'ai dit : « Je ne suis pas mauvaise. Comment mon Maître pourrait-il être mauvais ? » Lorsqu'il a entendu cela, il s'est levé immédiatement et est sorti.
Un moment après, le chef de la section de la sécurité politique est entré et a dit : « Je vais vous renvoyer ! Vous n'avez plus besoin de venir travailler. Vous pouvez rentrer chez vous. »
Je suis sortie du département de police et j'ai fait Heshi, le cœur reconnaissant envers le Maître de m'avoir protégé encore une fois !
Traduit de l'anglais en Europe
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