(Minghui.org) L'été 2006, un membre de ma famille, qui est aussi une pratiquante, a été arrêtée parce qu'elle distribuait les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Son domicile a été perquisitionné et elle a été emmenée au poste de police local.
Après que j'en aie entendu parler, j'ai informé d'autres pratiquants, afin que nous puissions tous émettre les pensées droites pour elle. J'ai aussi émis la pensée droite en fixant mon attention pendant longtemps sur le poste de police local pour le renforcement de la pratiquante et l'élimination de la perversité qui la persécutait.
Elle a été libérée le lendemain. Quand je suis allée la voir, je lui ai demandé : « Est-ce que la police t'a libérée sans condition ? » Elle a hésité une seconde et a dit : « Quand les policiers m'ont demandé d'où provenaient les Neuf commentaires, je leur ai dit que je les avais ramassés dans la rue. »
Une épreuve pour moi
Les policiers l'ont menacée que si elle refusait de le leur dire, elle ne pourrait jamais rentrer chez elle. Elle a toujours refusé de leur dire, mais son oncle qui lui rendait visite a dit : « Je vais vous le dire. Untel les lui a donnés. » Et il a révélé mon nom.
Quand j'ai entendu cela, mon cœur s'est serré un peu, mais mes pensées droites ont prévalu. Je n'avais aucun ressentiment envers l'homme qui avait révélé mon nom – les autorités lui faisaient pression et il était préoccupé par sa nièce. J'ai cherché à l'intérieur. Peut-être que je n'avais pas bien fait moi-même. Je suis seulement l'arrangement du Maître. En rétrospective, je n'avais pas alors étudié le Fa en profondeur et je n'avais pas nié complètement les arrangements des forces anciennes.
Mon parent avait encore un demi-sac plein des Neuf commentaires que les policiers n'ont pu prendre, et elle me les a offerts. J'ai pris le sac et n'avais aucune pensée de crainte que les policiers allaient me suivre ou faire une descente à la maison. J'ai distribué tous les livres le lendemain.
Gérer la peur
Mais plus tard, j'ai remarqué que la peur en moi faisait parfois surface. Lorsque cela se produisait, j'émettais la pensée droite pendant de longues périodes pour nier la persécution et éliminer la perversité. Je me demandais également : « Ai-je fait ce que le Maître a demandé ? » La réponse était : « Oui. » « Ai-je fait quelque chose de mal ? » La réponse était : « Non ! » Si tel était le cas, aucun policier ne pouvait m'arrêter. Nous sommes ici pour vérifier Dafa et sauver les êtres. La persécution perverse est absolument interdite.
Quelques jours plus tard, j'ai fait un rêve. Je me promenais sur un plancher de bois, j'ai posé le pied sur un morceau cassé, et suis presque tombée dans un piège, mais j'ai sauté par-dessus. Je pensais que ma tribulation était terminée.
Mais ma peur n'était pas complètement éliminée. Une autre compagne de pratique a été arrêtée plus tard. Un parent a contribué à la faire libérer. Elle m'a dit qu'elle avait entendu la police mentionner mon nom. J'ai pensé : « Peu importe ce qu'ils disent, je ne fais que suivre l'arrangement du Maître. Je n'ai pas fait une erreur. Je ne reconnais aucun autre arrangement. » J'ai commencé à émettre la pensée droite pour éliminer la perversité.
Quand ma compagne de pratique (et parent) s'est déplacée hors de la ville, elle a dit que les policiers de notre poste local l'avaient suivie et avaient coopéré avec les policiers là-bas. Quand j'ai entendu cela, je savais que je n'avais pas encore complètement éliminé ma peur, je n'avais toujours pas abandonné l'attachement à la vie et à la peur de la mort. Ma pensée était que je ne voulais rien, je ne fais que suivre le Maître, et je voulais éliminer complètement toute la perversité. Je suis une pratiquante de Dafa, ce que j'ai fait sont les choses les plus justes, personne n'est qualifié pour m'éprouver. En fin de compte, le PCC (Parti communiste chinois) n'a pas pu me persécuter.
« Personne ne pourra te toucher »
Le PCC connaissait déjà mon nom et mon implication – pourquoi ne m'ont-ils pas poursuivie ? C'est parce que les forces anciennes ne pouvaient pas s'emparer de cet attachement. Elles n'ont pas osé. C'est parce que :
« Si les disciples sont emplis de pensées droites
Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »
(« La grâce entre Maître et disciples » de Hong Yin II)
De cet événement, j'ai compris davantage ce que le Maître a dit :
« Si un pratiquant peut véritablement abandonner la question de la vie et de la mort, alors cette question de la vie et de la mort va vous quitter pour toujours. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale à New York » - 2004)
C'est la vérité absolue. Si vous y croyez, vous devez voir si vous êtes capable de le faire. Si vous le pouvez, le Maître va vous protéger, et personne ne sera capable de vous toucher.
Traduit de l'anglais au Canada
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