Fahui de Minghui | Nier complètement la persécution financière des forces anciennes

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28 février 2013 | Écrit par Chu Yuan, un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) (Extrait) : Grâce à l'éveil et aux soins du Maître, nous avons nié la persécution financière des forces anciennes.

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel » (Hong Yin II)

Il n'y a aucune épreuve que je ne puisse affronter, tant que je crois dans le Maître et le Fa. J'espère que les pratiquants qui sont persécutés financièrement peuvent s'améliorer en se basant sur le Fa, trouver leurs lacunes et éliminer les arrangements des forces anciennes afin qu'ils soient en mesure d'accomplir ce que le Maître a arrangé pour nous.

- L'auteur

Après ma sortie de prison, ma femme (médecin) m'a demandé d'étudier le Fa et de faire les exercices de manière intensive pour retrouver la santé. J'avais perdu une bonne partie de mon poids corporel, suite à la torture que j'ai subie en prison. Tout en partageant avec un autre pratiquant, je me suis rendu compte que je devais nier tout ce que les forces anciennes m'avaient fait souffrir.

Je suis allé voir à plusieurs reprises le directeur pour qui j'avais travaillé, car je voulais reprendre mon poste de travail. La première fois, lorsque je me suis rendu à l'école, j'ai connu un fort sentiment d'orgueil. Je m'inquiétais de croiser d'anciennes connaissances, de leur questionnement et de ma façon de répondre. Je me sentais inférieur, comme si j'avais fait quelque chose de mal. J'étais timide en voyant les anciens collègues de travail avec lesquels j'étais proche. Quand j'ai parlé au directeur, il ne cessait de trouver des excuses pour refuser ma demande. J'estimais que ce n'était pas approprié de le contredire, car on aurait pu présumer que je quémandais. Je ne savais ni comment clarifier la vérité au sujet de la persécution, ni par où commencer.

Après avoir parlé avec ma femme, j'ai pu reconnaître mes conceptions erronées. Outre l'orgueil, j'avais peur de la confrontation et je ne voulais pas exprimer mes pensées explicitement – je manquais de courage vertueux. Cela m'a rassuré que je devais demander mon ancien emploi, parce qu'il fallait que je renseigne les gens au sujet de la persécution illégale et brutale, pour leur valider la beauté du Falun Dafa, pour montrer comment un pratiquant peut maintenir une croyance droite tout en étant sous une énorme pression et pour leur donner l'occasion de faire un choix avisé pour un avenir resplendissant.

Les quelques fois suivantes où je suis retourné à l'école, ma femme est restée à la maison pour émettre la pensée droite. J'ai parlé de ma persécution en prison, j'ai expliqué le Falun Dafa, pourquoi le Parti communiste chinois (PCC) persécutait les pratiquants, j'ai parlé des méthodes de tortures brutales et comment le Falun Dafa était enseigné dans le monde entier. Ils étaient pleins de sympathie. Quand je manquais de confiance en moi et que je me sentais inquiet, j'émettais immédiatement la pensée droite pour éliminer les facteurs pervers. Un directeur et plusieurs membres du Bureau de l'éducation m'ont lu leur déclaration « décisionnelle », lors d'une conférence à l'école – que j'étais licencié. Ils voulaient me faire signer la déclaration. Dès qu'ils ont commencé à lire la déclaration, j'ai commencé à émettre la pensée droite pour éliminer les facteurs pervers derrière eux. Je me suis calmé et j'ai pensé que j'étais grand et immense... et qu'ils étaient petits, insignifiants. Après qu'ils aient fini de lire, j'ai regardé les gens du bureau et dit : « Votre décision est une erreur, je ne l'accepte pas et je ne la signe pas. Le Falun Dafa n'est pas ce qui est dit à la télévision, le Falun Dafa est bon ! » Ils étaient sidérés, car ils ne s'attendaient pas à ce qu'une personne docile comme moi, dise quelque chose de si franc et juste. Ils ont pris un certain temps pour répondre, puis ont affirmé que l'ordre venait « d'en haut » et qu'ils ne faisaient que l’exécuter. Je les ai avertis sérieusement : « La persécution est une grosse erreur. En tant que pratiquant de Dafa, je n'ai rien fait de mal et ne signerai pas cette décision erronée. » L'un d'eux a pris une plume et a signé mon nom sur la déclaration. Je l'ai prévenu : « Vous êtes responsable de toutes les conséquences ! » Ils étaient sans voix et l'atmosphère se faisait lourde. Ensuite, ils ont pris la déclaration et sont partis à la hâte. Quand je suis sorti de la salle de conférence, le directeur s'est excusé auprès de moi et m'a dit qu'il comprenait que le Falun Dafa était calomnié à tort.

Les élèves m'ont toujours écouté, puisque je suis un enseignant. Je n'avais jamais eu auparavant à exprimer mon point de vue face à un personnage puissant, alors, il n'y avait jamais eu l'occasion que je découvre ma lâcheté. Cette fois, le Maître m'a donné un aperçu de mes attachements à la lâcheté et à la vanité, et à la résignation face à l'adversité, c'était un grand pas en avant.

Tous les jours je faisais les trois choses avec ma femme et nous regardions à l'intérieur pour trouver nos lacunes. Nous voulions nier la persécution financière. Je pensais à chercher un emploi à l'extérieur de la ville. Cependant, nous venions tout juste de commencer un site de production de documents clarifiant la vérité, à domicile, et ma femme ne possédait pas encore les compétences requises. J'ai essayé de chercher un emploi à proximité, mais n'ai pas pu en trouver un, par conséquent nous ne pouvions pas subvenir à nos besoins fondamentaux.

Un mois plus tard, les autorités locales ont commencé à harceler les pratiquants. Ma femme a dû quitter la maison pour éviter davantage de persécution. J'ai dû assurer toutes les tâches ménagères et les soins de notre enfant et de nos parents âgés. J'ai passé d'un état de maladresse, à celui d'être bon dans ce domaine. J'ai aussi compris que la persécution s'était intensifiée quand nous nous sommes rendu compte que nous devions éliminer la persécution financière. Cela signifiait que la perversité s'affolait à cause de nos efforts, donc il ne fallait pas s'arrêter. J'ai intensifié mes efforts pour éliminer la perversité et soutenir ma femme, qui avait quitté la maison. En deux mois, mes attachements à la paresse et mon manque de patience avaient diminué de manière significative. J'avais été illégalement arrêté et emprisonné peu de temps après mon mariage et je n'avais pas eu le temps d'apprendre à assumer des responsabilités familiales, ni comment résoudre les problèmes familiaux et les conflits. J'ai appris à faire toutes ces choses en deux mois. Deux mois plus tard, la persécution s'estompait et mon épouse est revenue à la maison.

J'ai décidé de chercher un emploi en dehors de la ville. Avec peu de bagages, je suis allé dans une ville étrangère pour travailler dans un petit institut. J'ai trouvé un pratiquant local et je suis resté avec lui. Tous les soirs, j'étudiais le Fa et le matin, je pratiquais les exercices. Je devais parcourir des dizaines de kilomètres pour me rendre à mon nouveau lieu de travail. J'avais confiance que le Maître me faisait travailler là dans un but précis et je voulais bien faire mon travail. J'ai rencontré deux étudiantes (A et B). Dix jours après avoir commencé le nouvel emploi, l'étudiante A m'a dit qu'elle partait le lendemain. J'ai pensé que je devais lui clarifier la vérité, cependant, le lendemain, je n'ai pas eu l'occasion. Elle est restée assise dans sa chaise toute la journée, comme si elle s'attendait à ce que je lui parle. C'est alors que j'ai pensé que si je ne lui parlais pas, elle pourrait ne jamais entendre la vérité. J'ai demandé l'aide du Maître. J'ai finalement réussi à lui parler à 22 heures, je lui ai parlé de Shen Yun Performing Arts. À l'instant où elle a entendu les deux mots Shen Yun, elle a été très curieuse. Je lui ai alors parlé de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées et de la vérité à propos du Falun Dafa. J'ai proposé de l'aider à quitter le PCC, et elle était tellement heureuse qu'elle a sauté avec enthousiasme comme une enfant. Je pouvais voir le bonheur venant du fond de son cœur. Bientôt, l'étudiante B est arrivée ; l'étudiante A voulait qu'elle démissionne aussi. J'ai parlé à B à propos de démissionner du PCC pour rester en sécurité et elle était heureuse de quitter également. Elle m'a aussi dit qu'un jour, son petit-ami avait demandé de quitter le PCC alors qu'il assistait à une école du PCC. Je lui ai demandé de parler à son petit-ami, parce que ce ne serait véridique que s'il acceptait de le faire lui-même. L'étudiante B était très heureuse et a acquiescé.

Le lendemain, je suis allé travailler, ma famille m'a appelé et m'a dit que le directeur m'avait téléphoné à plusieurs reprises, pour me demander de travailler dans son école. J'ai contacté le directeur et il voulait que je commence à travailler immédiatement. L'école n'était pas très loin d'où je travaillais, alors je suis allé là-bas pour parler au directeur. Il m'a parlé de l'école et m'a demandé de commencer à travailler l'après-midi même. Il m'a aménagé une chambre meublée, récemment rénovée et avec une connexion Internet, cette pièce était également très tranquille. Je savais que le Maître avait arrangé cet environnement pour moi.

Je suis retourné pour donner ma démission et mon patron m'a offert ses félicitations. Les étudiantes A et B n'étaient pas là. J'étais tellement heureux de leur avoir parlé la veille, sinon j'aurais perdu cette occasion pour toujours.

À la nouvelle école, j'ai fait de mon mieux pour me comporter selon les exigences du Fa. J'étais doux, travailleur et je ne me plaignais jamais. Il y avait une pénurie d'enseignants et l'école voulait que je m'occupe de trois classes. Je les ai acceptées sans arrière-pensée et sans négociations pour un salaire plus élevé. Je voulais faire de mon mieux, et j'étais toujours souriant et calme. Les directeurs et mes collègues de travail m'appréciaient et six mois plus tard, j'ai été promu. Je traitais toujours les autres avec humilité et je me comportais comme un pratiquant. De nombreux collègues m'ont dit : « Nous n'aurions pas aimé être guidés par qui que ce soit dans ta position, sauf par toi. Nous te soutenons inconditionnellement ! »

J'ai clarifié la vérité à mes élèves. J'ai choisi de bons articles sur les sites de Minghui.org et de Zhengjian (Pure Insight), je les ai édités, j'y ai inséré de belles images et les ai donnés aux élèves à lire, chaque semaine. Parfois, nous discutions de ces lectures en classe, d'autres fois, je partageais avec eux en petits groupes. Après un certain temps, la pensée des élèves n'était plus rigide et peu à peu, leur croyance en l'athéisme a été ébranlée. La plupart de mes élèves, au sein de cet environnement subtil, ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Certains des élèves diplômés sont revenus me voir chaque année, pour me remercier de ce que j'avais fait pour eux.

J'avais une classe d'une dizaine d'élèves. Un jour, je me suis engagé sur un sujet qui leur tenait vraiment à cœur et j'ai mené le débat vers les critères pour entrer dans la nouvelle époque. Une des filles a dit avec enthousiasme : « Monsieur, dépêchez-vous et sauvez-nous ! » Ce jour-là, ils ont tous démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Parfois, je passais les belles chansons de Minghui.org et ils les adoraient. Un jour, j'ai passé « Éveil » et un garçon de grande taille m'a lancé un regard sérieux. Il a tenu ses mains dans la position heshi (mains jointes) jusqu'à ce que la musique soit terminée. À l'approche de l'examen d'entrée à l'université, la plupart des élèves rentraient chez eux pour s'y préparer, sauf une de mes classes. Les élèves de cette classe sont restés à l'école jusqu'au jour où j'étais parmi eux, après l'école. Les 18 élèves m'ont encerclé et ont dit : « Monsieur, nous allons bientôt partir. Veuillez nous parler, sinon nous n'aurons jamais l'occasion de l'entendre. » En moins de deux heures, j'ai aidé ces 18 élèves à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Le lendemain, ils ont quitté l'école.

J'ai été bien rémunéré dans cet emploi et j'ai éliminé mes dettes en moins de deux ans. Mes parents et amis ont commencé à me comprendre et ont cessé de faire des fausses accusations. Ils ont vu la beauté et la puissance du Falun Dafa. Maintenant, ils sont heureux de m'écouter quand je leur clarifie la vérité et ils acceptent les brochures et les DVD. Certains se sont même inquiétés pour ma propre sécurité en me demandant de faire attention.